Autre Mise

La feuille, quelle feuille, celle où je me penche et souris, Celle de mon érable dont elle tient la branche heureuse,   L’une, pour l’enivrer de mots plus doux, qu’elle en rit, L’autre, pour la caresser de toutes ses pointes gracieuses. Les deux, pour la voir se pâmer de leurs atours, Vêtues de nervures, de mots apportant douceur, Source de vie, rangées dans le livre de son Cœur Posé sur sa table de chevet, marque d’Amour.   L’Automne paré de tes belles couleurs, tu frémis,   Voletant au gré de la folie du souffle de leurs appétits.     La feuille immortelle tant que son feu la fait bruire   Se cache entre deux pages de son idylle, blottie.   Colorée de sa teinte préférée, bleu azur,   Je la couvre de signes dessinés par mon stylo,   Qu’elle tient de sa tendre main sous la couverture   Voulant s’abreuver de ce vit, source de son eau.   Feuille d’Automne gronde de tes envies, éclaire nos joies   Tu es éternelle, seul l’idiot la voit fane

Chimalis, tu es cette merveilleuse femme, Ma CYreine, qui ne supporte pas un brin de vulgarité mais bien des ressacs, des déferlantes, ces doux mouvements perpétuels d’une mer remplie de besoins d’Amour. Tu es en déplacement et es dans ta chambre. Je t’écris que je suis arrivé et pour nous blottir encore plus. Nous allumons nos cams… Que tu es radieuse. Ton Bonheur, ton bien-être se lit sur ton visage ensoleillé par la lumière à la tête de lit. Tu es là, sous mes yeux. Je vais t’écrire mes mots. Tu les boiras, t’en imprégnant pour qu’ils deviennent la vidéo de ton mental, défilant sans les apprendre par cœur au plus profond de toi. Tu voulais les garder ouverts pour te délecter de mes mots, pour me regarder te les écrire avec le plaisir que je mets à te les choisir. Puis tu les fermes pour entrer dans ton monde de plaisir d’où tu vas ressortir apaisée. Je te vois t’adonner, mes mots défilent en ta tête, ton corps résonne de leur force puis à un moment tu te con

Ils ont construit leur relation,   Ils s’aiment à des mils de distance,   Sans contact physique et ils jouissent.   Certains les disent fous mais ils pimentent leur vie.   Leur Cœur pare de beaux atours leurs alcôves d’Amour.   Ils s’enivrent d’images folles qui décuplent leurs envies.   L’Amour légitime tout aussi beau que leur amour mental,   L’un étant devenu nécessité de l’autre,   Sans quoi ils s’assècheraient de leur source d’ambroisie.   Leurs mots transcendent de beauté leurs désirs, plaisir.   Ils ne se quittent plus. Chutt, ils s’aiment et dorment blottis.   ( sans fin )

Seulement pour TOI Quand je ferme les yeux       Aide moi à passer la nuit...     Je rêve encore ...et tu sais à quoi...   Bisoussssssssssss JE T'AIME  

Hummmm, quand exotisme rime avec érotisme...    L'air du temps...vivez en !   Ah que j'aimais le va et vient De mon sexe entre ses seins   Sentir le désir de mon corps   Monter en moi toujours plus fort   Assouvir nos tendres passions Proche de la déraison Repos du soir à la maison   Se toucher sans télévision Maintenant tout ce monde se perd   La jeunesse se désespère, erre,   Oisive, passant souvent son temps   Affamée devant leurs écrans   Allez vivez, courez la gueuse   Disait grand-père dans sa bonne Meuse   C’est tell’ment plus enrichissant De respirer cet air du temps.     Yahto M Chimalis -  24 juin 2013