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Affichage des articles du mars, 2015

007 - Tumultes - Mon esprit en ce moment

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010 - Démons et merveilles (Anne)

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C'était le temps d'avant Où l'on était enfants Ou gentils simplement On se bisait tout le temps Maintenant on nous promène D'actus, de news, et même De grandes prises sur le vif On s'accroche aux récifs Tumulte de nos mouvements Ne perdons pas notre temps Gardons précieux ces moments Se biser chaque instant Des jours pour se faire Lever tous les mystères Te voilà bien vivant Devant moi nu maintenant Partir ou bien s'enfuir Qu'ai-je fait pour souffrir Je n'ai pas pu résister À ce besoin de pleurer Retrouver un instant Ce joli temps d'avant Juste passer à se biser Et tendrement s'aimer Mes peurs soudaines remontent Les joues rouges pleines de honte Ton visage se transforme Ce n'est plus toi mais l'homme Je ne vois que ce sexe Celui qui m'emprisonne Ce noir qui nous entoure Ma frayeur me joue des tours Est-ce lui ou est-ce toi Toi qui n'es que mon roi Mais au grand désesp

013 - XI - L'écriture, l'essence même de notre Amour !

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Cette encre qui m’ancre à tes pores   D’effleurements de pleins et déliés Conduisant tes plaintes te reliant   De mon écriture attachée Te retenant libre de m’aimer   Entends les bruire dans les ramées   Je te crie supplie haut et fort   De phrases comme des lianes t’enlaçant Bâties pour capturer ton Cœur   Ces mots jets de nectar desserts   Résonne t’apportant leur douceur    T’entendre jouir et t’apaiser Heureuse du Bonheur rencontré   À la croisée d’un homme sincère. Doux souffle court sur mon cou sans détour   Je suis sûre que tu m'aimes toujours mon amour   N'aie crainte je sais combien tu penses à moi   Combien parfois ton Cœur est en émoi   Quand nous sommes deux unis sans voix   Amoureux et émus sur un banc plein de joie. « L’Amour est comme une plante grimpante qui se dessèche et meurt si elle n’a rien à enlacer » anonyme

005 - Que penser de cette journée de la femme (8 mars 2015) par Anne

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La journée de la femme,... Dans mon entourage, j'entends beaucoup de personnes dirent qu'il n'y a pas besoin de faire une journée de la femme, tous les hommes de l'entourage que je cotoie désormais dont un qui est plus cher en mon Cœur , me disent que cela devrait être tous les jours que l'on fête la femme. Qu'il n'y aurait donc pas besoin de cette journée de la femme ! Je suis heureuse de leurs attentions sincères. MAIS je me dis que pourtant, beaucoup d'entre nous ont besoin viscéralement de cette journée. Dieu sait que j'en ai eu des journées dans ma vie où chaque jour était l'occasion pour mon époux de me montrer une attention malsaine et de me rabaisser voire bien pire, presque 23 ans durant. Mais comme par miracle, ce jour, il redevenait mon Guy l'homme d'avant guerre, celui qui m'avait charmée. J'avais un jour dans l'année où je redevenais une femme normale, épouse et mère comblée. Peut-être dans l

058 - LES VAGUES DE L’ÂME, L’ARME DES LARMES !

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« Larmes de JOIE, larmes de tristesse, vagues de l’âme…Seul, l’instant le sait! » Yahto   Cette rubrique, je la veux, en premier POUR TOI, puis ensuite pour NOUS Chimalis et moi, voudrions ici apporter un témoignage par rapport à ce que nous vivons actuellement. La VIE n’est pas un long fleuve tranquille, loin de là.  La force d’un Amour réside sur les fondations qui vont permettre à l’édifice « couple » de s’ériger. Déjà vous verrez que NOTRE couple ne vient pas en « contre » de nos couples « physiques » établis. Nous ne voulons pas comme disent certains « placer un coup de canif dans le contrat de nos couples établis ». Dernièrement nous avons employé le mot « Jardin suspendu ». Oui nous voyons notre Amour comme venir se superposer à nos deux autres déjà établis,  renforçant nos bien-être nous apportant ce que nous recherchions à savoir cultiver notre jardin secret qui n’a de secret que ce que nous gardons dans notre coffre fermé à double tour.

017 - La vie n’est pas un long fleuve tranquille!

  « Le beau temps succèdera toujours à la tempête » Yahto DÉCHIREMENT     Mon poème restait inachevé car ,trop contente de te voir, je te l’ai envoyé et j’ai juste écrit « Je t’aime » à la fin tout à ma joie. GROSSIÉRE ERREUR : « TROP DE BONHEUR TUE LE BONHEUR! » Ma phrase n’était pas ambigüe. J’essaie d’être pour tous en même temps. Je t’explique à la fin du poème. Je le recopie ici dans les mêmes termes. Je ne te ferai pas l’injure de changer un mot même celui qui est répété, je le mets entre parenthèse : « Je sais que je ne suis pas facile à vivre. (Lire) » POÈME POÈME du xx xx 2012 Je sais que je ne suis pas facile à vivre.   J’essaie d’être pour tous en même temps. Mais je vis juste toujours au présent. Aussi incroyable que cela puisse paraitre Aujourd’hui je me sens soudain renaître Envie d’écrire ces quelques mots Tellement hier soir tu étais beau   Là je souris t’imaginant Secouant la tête un instant Juste ce petit « Ah » qui sort de

082 - Les douze coups de mes nuits

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  Comme le coucou de la pendule crie sa joie au monde d’antan   Mes mots crient mon Amour pour Elle, les murmures qu’elle entend   Chaque jour, elle remonte les poids qui ne sont plus son fardeau Mais ceux qui donnent vie au nouveau cours en ses veines de sang chaud Elle ne demeure pas loin de la forêt des coucous Et mon Cœur est pendu à son cou. J’aime les douze coups de minuit qui résonnent comme elle dans mes nuits Appelant à la couche pour s'aimer sur un lit de mousse Allongée, contemplant, abandonnée, l’étoile qui lui est aussi douce   Accompagnée de l’astre qui nous réunit et luit   Lorsque la porte se referme, je la vois sereine dans son habit de nuit s’endormir    Je ne veux faire que le silence pour entendre ses soupirs. Elle est dans le chalet qu’elle admire, sa cabane au Canada   Où elle aime se reposer afin de vivre de son doigt délicieux Une descente en ses nymphes qui la propulsera, apaisée, dans mes yeux,   Au domaine de ses aurores boréale