Autre Mise

Au repos, ce guerrier se prélasse indolent. Il ressemble à un phoque dormant sur sa banquise. Dès qu’une idée le traverse, il prend son élan.   Mais rien ne remplacera son amante exquise...  Elle, seule, sait comment, de joie, il se met en pleur. Des orifices de son choix, elle s’offre et l’attend.    Elle adore sa présence en son intimité,    Ce plaisir grandissant, tout en humidité,   La transporte dans son monde où chacun est partant, Pour mêler leurs sens en des geysers de douceurs. Elle aime le remercier de ses belles attentions. Alors, elle le porte à ses lèvres pour le sucer   Comme un bonbon fond sous l’effet de son action.   Il explose en elle de son nectar expulsé. Elle lui sourit heureuse d’avoir tant redonné. De son sourire coquin, mutin   et triomphant,   Elle range son trophée dans son écrin, pour demain,    Trop heureuse de savoir que cette trompe d’éléphant   Adore l’asperger de lait d’Amour en son sein   Où elle sait

J’aime tant l’exciter au bureau, Lui donner de suaves flashs d’envies Qu’elle me réponde ses coquins « RHoooo » Mais qu’elle veuille s’ouvrir à mon vit. Reprendre chacun de ses mots Pour les transformer en désirs, Interruptions dans ses travaux Pour la distraire, la faire s’ouvrir. Faire naître en elle plein d’images, Qu’elle ressente en sa douce corolle L’appel de mon doigt en hommage Pour que sa tête en devienne folle.   Lui prodiguer de forts plaisirs Qui montent inexorablement. Ses sens envers son fol amant Ne sont que pour la conquérir. De l’ultime envoi d’une photo, Elle veut exploser, qu’elle se rend Dans l’intime coin à son travail, Où elle va s’offrir ses orgasmes, Écartant de son index glissant Les nymphes de son coffret corail Et, en quelques caresses, ses spasmes La submergent, la plongent dans ses flots. Tels des ricochets, elle ondule, Se tend, se bloque, retient ses cris, Elle jouiiiiiit..Cou

Sommaire Impatient (M. QUENTIN) Pour une fois, cette journée de travail commence bien avec cette enveloppe de la médecine du travail dans la case de mon courrier. Je souris en découvrant ma convocation pour le lendemain 17 h 30. Cela fait un mois que je repense à ce moment où elle m’avait masturbé l’anus et le sexe avec une sublime dextérité. Arrivé cette fois-ci presque trop en avance, excité à l’idée de la revoir, je regarde impatient les minutes s’écouler. Je suis bien loin de ma mauvaise humeur du mois dernier. Mon esprit est partagé. Je ressens des pulsions dans mon membre à l’idée de la voir apparaître dans l’encadrement de la porte de son bureau tout en ayant aussi une sorte d’appréhension, de fébrilité à me trouver à nouveau face à elle. Mon cœur s’emballe lorsque j’entends ses pas et sa voix, raccompagnant le patient précédent. Je me dis, l’espace d’un court instant : « Pourvu qu’elle ne soit si « coquine » qu’en ma présence ! » (La doctoresse) Il f