Autre Mise

À tire-d’Elle. La Vie, contrairement au titre du film, n’est pas un long fleuve tranquille. Si l’on ne se suicide pas, cette vie qui nous arrive a, à ses deux bouts, deux faits identiques : « On ne demande RIEN, ni de naître ni de mourir » et entre ces deux RIENS il y a TOUT. Alors la construction du fleuve Vie s’élabore. De cette source naissance, il y a tous les méandres de la vie, toutes les cascades, tous les torrents, les tumultes, les fracas et heureusement pour nous les lacs langoureux, ou bien, il(elle) s’élargit, s’étale paisible. Souvent lors d’un confluent, il(elle) rencontre un autre cours d’eau pour se fondre et devenir en principe plus fort(e)... Parfois hélas, il(elle) disparaît dans un gouffre puis il y a résurgence. Je te souhaite ces Belles résurgences...et suis à tes côtés pour trouver, si tu as besoin, cet endroit de l’envers. YmC - Panser de ce 6 mai 2017

Ondes Ondes infinies, courent sans raison! Six mille kilomètres, elles ont su Vous pensez bien que ce chemin Si court pourtant, reste trop long Patience est remède de l’issue Attente de la toucher demain Connexion, couleur préférée, Son bleu moelleux qu’elle aime tant Nous nous parlons, réconfortons Puisant nos forces éclairées Je sais en moi qu’elle les entend Pour le moment, nous chuchotons Ondes infinies, courent sans raison! Tes synapses me parlent Belle personne Tu refusais tant de t’aimer Regarde ce nouvel horizon Il n’est que clochettes qui résonnent Pour que tu te sentes bien armée Connexion, couleur préférée Ciel bleu-azur pour te bercer Repose-toi, ressource-toi Au temps de te régénérer Aucune urgence à s’empresser Je t’attends, calme, sous notre toit YmC ce 4 mai 2017

Petite pensée matinale, enjouée et heureuse Petite pensée matinale, enjouée et heureuse : Ah ce Facebook, il n’a pas toujours une face de bouc… Créer un groupe « Famille » peut se révéler important. Ce net n’a pas que des mauvais aspects, il a aussi ses côtés formidables, avec une grande signification. Il est cet oxymore(*) de LA VIE : rendre les « LOINTAINS PROCHES » À nous de savoir le cultiver. Bon matin à toutes et tous. (*) Mot en forme de petit clin d’œil envers Toi qui te fera rire! YmC le 04 mai 2017

Sans les mots, il y a toujours l'essence des sens... À l’Être Aimée Ton absence n’est que présence, attente d’un retour Tu m’effleures, je te sens et ressens, ma belle fleur Tes mots résonnent, tes murmures sont tes douces caresses Je t’entends et tu me rassures, chasse ses vautours Rien n’est déraison,   plus forte la raison effleure Je t’attends, prends ton temps, nous ne sommes que tendresse Dans ce monde sans pitié, exaltons le bon sens Insidieux est bien celui qui se cache et ment Ce traître en habit de velours brillant, mais terne Aucun triomphe, il le paiera sans contresens Unité, accords, cett’ musique des gens s’aimant Sera notre force, éloignant les subalternes Dans ce monde sans pitié, exaltons le bon sens Vie reste suspendue l’espace d’un contretemps Reconstruction d’une gravité qui nous échappe Méconnaissance, machine orpheline de sa science Déraison,étant raison confrontée au temps Cernée d’un mur qui ne nous appelle qu...

EXTRÊME COLÈRE Comment pouvons nous tolérer, sans impunité, que dans le monde du travail, certaine HIÉRARCHIE puisse faire des VIOLS MENTAUX sur les employé(e)s ou salarié(e)s. Et on nous parle de la déréglementation du travail, de la destruction des prud'hommes. Le fasciste est celui qui prône cela et, aujourd’hui, ne vous trompez pas, le fasciste n'est pas celui que l'on vous laisse croire. Réfléchissez et ne vous trompez pas de bulletin. Le fascisme a revêtu de nouveaux habits. C'est le fascisme supporté par la finance et incarné par un seul homme: Macron. J'en ai aujourd'hui l'intime conviction. Réfléchissez et ne vous trompez pas de bulletin. Tout au moins, si vous doutez, surtout abstenez-vous de faire un choix YmC Le 02 mai 2017 .

  2016 Année de genèse Je repense à Bèze Ce jour où je te vois Les sens en émoi   Maintenant que nous sommes libres Désormais nous pouvons vivre Le temps avec toi est si doux Je sens ton souffle sur mon cou     Je t'aime je te veux toujours et encore Chaque instant avec toi est en or Le temps lent bientôt passera Et on sera si bien dans nos bras       Je t'aime mon Ange Bisoussssssssssssssssssssss     Tendresse

Tes doigts coulissaient sur ta flûte M’arrachant de très doux contre-ut Le plaisir grandissant montait Tout au long je m’abandonnais Je te sentais remplie d’Amour Dans l’ardeur dont tu as le tour Je ne pouvais plus me cont’nir Tes yeux rivés au fond des miens Je savais que j’étais le tien Et dans un râle rauque j’explosais Tu goûtais la saveur exquise Chaleur d’une belle gourmandise Que je ne pouvais plus ret’nir Pressé de te l’offrir à souhait Merci de ce suave beau cadeau T’offrir la puissance de mes mots.   Yahto M Chimalis (17 avril 2016)