009 - Une friandise dans sa friandise...moment de doux plaisirs ! (part 1&2)

Pour Ma Little Flea tant aimée.

J’avais envie d’être idiot, taquin, coquin une sorte de chien fou, de sale gosse… Cela ne vous arrive jamais ? 

Je faisais les courses. J’aime bien faire les courses. J’aime regarder les gens, euh les femmes, leur comportement, voler un brin de discussion, de reproche au sein d’un couple, en un mot la vie. Cela me rappelle ma jeunesse où nous passions oisifs des après-midi à glander à la terrasse d’un café. Notre café ! À ennuyer la serveuse tout en matant les gens de la rue. N’y voyez aucune nostalgie, non la vie court sans suit… Euh non suit son cours. 

Je ne sais pas pourquoi devant le rayon des friandises j’eus cette envie d’acheter une grosse boite de Chupas Chupe, chupas en espagnol veut dire sucer et chups pour le petit bruit coquin qu’elle devait faire en sortant de la bouche. Je continuais mes commissions en ayant dans mon imagination toujours fertile en ce domaine une vaste idée.

J’arrivais à la maison rangeais tranquillement mes achats et rejoignais Chimalis tranquillement relaxe sur sa chaise d’ordi à ne parler à je ne sais quel mâle heureux de l’avoir mais pas de la voir car cette femme que j’adore dont je suis fou raide très souvent surtout le matin a établi un code de son jardin secret et moi que voulez-vous je fais confiance à cette femme. J’arrivais sans bruit derrière elle, elle avait le casque sur les oreilles, j’adore… 

Rapide. Je débranche le casque et hop tours de manège en chaise d’ordi, et vas-y que tu tournes manège ma belle. Tout en tournant je remplissais son décolleté de quelques chupas qui glissaient dans sa crac, le grand canyon à côté fait pâle figure… Entre ses deux dunes hyper vallonnées et hop je bloquais le siège et m’asseyais sur ses genoux, collant ma poitrine à la sienne et cherchant ses lèvres. Elle se dérobait car elle sentait bien que je jouais. 

Alors je pris la manière un peu plus forte et bloquais sa tête et nos bouches s’entrouvrirent afin que nos langues commencent leur balai, le premier acte d’un lac des signes avant-coureur. J’avais bien pris soin de placer le bâton de ma chupa sur le côté de ma bouche…Il n’aurait plus manqué que je l’éborgne… Et le balai de la chupa passant de sa bouche à la mienne et inversement commença dans le même temps. Elle était, comme tous les jours, radieuse, en beauté vêtue d’une jupe évasée avec un pull doux comme sa peau ambrée. Je sentais bien les chupas sous son pull, petites boules entre des grosses boules, sorte de cochonnets avec des boules lyonnaises. 
C’est alors que je pris une deuxième chupa et essayais le plus rapidement possible d’ôter son papier de mes deux mains derrière son dossier de chaise. M. chupa n’a pas pensé une seule minute que nous pouvions être pressés d’ôter cet obstacle comme jamais aussi il avait dû penser à l’utilisation qu’on allait pouvoir en faire. Enfin arrivé, je glissais en la bouche de Chimalis cette sublime friandise. Nous jouâmes cinq bonnes minutes à faire tac tac de nos deux boules en bouche riant comme nous pouvions le faire en pareil arrimage.

Cette coquine avait glissé ses deux mains sous mon polo et me caressait délicatement et sensuellement. Avec les images qui défilaient dans ma tête j’étais énorme et Chimalis vint tâter ce gros bâton qui lui a bien aussi deux chupas chupe. Durant ce même temps, je ne pouvais pas m’empêcher de me coller pour que les chupas ne tombent sur le sol. En ayant mes deux mains dans son dos je dégrafais son soutien-gorge. Comme je me collais toujours à elle, il ne se passait trop rien. Nous nous amusions toujours avec nos friandises en bouches. Nos langues virevoltaient entre les boules afin de nous les renvoyer. 

Je me décidais à ôter son pull tout en le faisant juste glisser entre nos peaux pour garder mes chupas toujours contre elle. Enfin j’ôtais le pull et le soutien-gorge. Ma délicieuse Chimalis était nue collée tout contre ma peau. Je sentais la chaleur au sommet de ses dunes qui dardaient comme deux étoiles au firm…amant. Là coquine prit à son tour des chupa et me les glissa dans le pantalon tout en dégrafant à son tour les boutons de mon Lewis. Je sentis ensuite sa main descendre vers chupa chupe à géométrie variable qui là ne variait plus au max de sa grandeur et de sa grosseur. Elle me caressait en bas et moi en haut mais n’était-ce pas que des histoires de boules. 

Je me soulevais et remontais sa robe sur son ventre découvrant ses cuisses magnifiques couronnées de leur petit fichu de coton vert clair cachant je ne sais trop quoi. Malicieusement je glissais de chaque côté de sa fente deux chupas à la menthe galcial. Elles seraient là à prendre le parfum du roudoudou. Sous sa petite culotte je l’avais parée de deux petites boules comme cela, elle ne pouvait plus être jalouse des miennes… J’avais quitté ses lèvres pour m’occuper des cerises naturelles de ses tétons que je pétrissais pas du tout à tâtons. 

Je roulais ma langue savamment comme si je voulais les voir s’étirer encore plus de leur langueur amoureuse. Je sentais ma Chimalis commencer à tressaillir légèrement sur sa chaise. Ma main en profitait pour se glisser en arrière aveugle sur ses genoux et à remonter vers le Y que mon cul obstruait. En fait, je couvais mes deux chupas au bord du nid d’amour de ma cocotte. Sa main en avait plein son panier et moi je caressais son ventre qui ondulait et laissait glisser les quelques autres chupas. 

Je sentais le petit duvet rasé de son minou naissant. Il n’allait pas tarder à miauler tel que je connaissais ma Chimalis. Je me reculais et caressais le bourgeon arrachant de petites décharges électriques au sens de cet Amour qu’elle est pour moi. Elle rendait la liberté au voyou qui était con…cassé dans son boxer. Tel un diable bondissant hors de sa boîte il pavoisait entre nos deux ventres. Je sentais sa main le décalotter bien à fond et son index de l’autre main allié à sa salive tournait sur l’œil magique de mon doigt d’Amour. 

Je me disais que si je la laissais faire je ne pourrais m’amuser de mes chupas. Je me levais et la prenais par la main pour la conduire sur le divan de notre salle de projection. Là je la basculais tendrement en arrière lui posant un coussin sous sa tête et Chimalis était totalement offerte vêtue que de sa petite culotte aux deux boules toujours coincées. Je lui déposais dans son canyon une chupa et me mis en quête d’ôter ce dernier rempart. 

Je remontais sur chaque jambe le plus doucement possible, arrivé au Y je prenais ma chupa de ma bouche et appuyais délicatement sur l’étoffe qui recouvrait sa fente laissant apparaître les deux renflements sculptés, délicieusement provocateurs de ses petites lèvres. 

Je limais tendrement Chimalis de ma chupa et je voyais ce corps qui commençait à s’agiter de Bonheur.
De mon autre main je proposais à Chimalis une chupa dans sa bouche que je me plaisais à twister et retirer. Chimalis se plaisait à serrer un peu ses lèvres pour que j’entende le petit bruit du shups… elle était totalement détendue et de petits gémissements se faisaient entendre. 

Inexorablement Chimalis cheminait vers son abîme. Je faisais plusieurs allers et retour. C’est alors que je vis la petite auréole se former sur sa petite culotte. Chimalis coulait de son sirop d’érable, je n’avais plus qu’à aller le récolter pour nos plus grandes joies. Je déposais mes lèvres sur son étoffe humide et je soufflais à m’en étourdir sur son minou toute la chaleur de mon haleine. 

Chimalis se tortilla un peu plus sentant cette chaleur qui la faisait un peu plus brûler de désirs. Tout en faisant cela, je déroulais méthodiquement sa culotte vers le bas découvrant petit à petit, comme dans un montage vidéo, le coquillage gorgé de cyprine, totalement ouvert à son envie. Elle avait les yeux mi-clos, elle était heureuse.


(à suivre)  Une friandise dans sa friandise...moment de doux plaisir ! (part 2) - 

Elle avait replié sa jambe son pied sur son genou apportant encore plus de sensualité à cette anatomie faite pour la jouissance des sens. J’approchais mes lèvres sur ses petites lèvres, ma langue écarta l’algue marine, un flot un peu plus impétueux coula sur ma langue se mélangeant à la chupa, l’extase était là de cette communion de nos êtres.

Je remontais sur son bouton nacré collais ma narine dessus et aspirais rejetais cette petite bite amoureuse. J’écartais délicatement les franges découvrant le coquillage baillant couvert de filets de cyprine. 

Que c’est beau un coquillage d’Amour gorgé de sa laitance. Je reprenais une chupa à la menthe glaciale et la twistais dans les entrailles de Chimalis d’abord effleurant le bourgeon puis glissant entre les lèvres pour s’abîmer dans les flots blancs. 


Je branlais ma chupa extirpant des tressaillements et des gémissements à Chimalis qui avait déjà fermé les volets de ses jolis yeux pour rêver fuir échapper décoller vriller… Ressortant la chupa ruisselante je la portais en sa bouche elle allait goûter vraisemblablement pour la première fois une chupa cyprine. 

J’avais bien l’idée d’envoyer une photo à M. Chupa mais aurait-il assez d’humour… d’une main je replongeais ma friandise dans sa friandise et de l’autre aussi avec une chupa enduite de cyprine je glissais sur ses dunes et sur ses aréoles divines. Je parcourais les monts et merveilles et allais descendre retrouver ma chupa disparu comme une boule de geisha.

Elle allait être comme moi parée de ses deux boules en son sexe. De petits clapotis se faisaient entendre et en effet en retirant rapidement une des chupas de son vagin on entendait un shups shups. Cette femme produisait en quantité incroyable sa cyprine. Lorsqu’elle était excitée il lui fallait changer de petite culotte tellement elle les mouillait.


Je jouais de mes petites boules comme un fou trempant suçant goûtant partageant son nectar. Elle avait agrippé mon phare comme pour se guider dans l'océan de ses sens, attendant calme et reposée la tempête poindre. Au moindre tressaillement de son corps sa main se crispait sur mon phallus. Il lui fallait le pouce de son enfance pour la rassurer, sentir ma présence était tout pour elle. 

Que c’est bon de se sentir aimé ainsi. Je perlais et dans son inconscient sommeil la conduisant vers une libération totale de son être, de la pulpe de son index elle essuyait mes perles qui se formaient sur mon œil d’amour, mon méat et machinalement les portait à sa bouche léchant son index maculé de ce filet soyeux et transparent. Dans la rosée du matin cela ressemblerait à un fil de la vierge.

Il y a longtemps qu’elle n’était plus vierge mais pour moi elle l’était, tout auréolée du rayonnement de sa beauté. Je jouais avec mes boules pour notre plus grand plaisir de temps à autre elle rouvrait ses jolis yeux me souriant elle attendait que je la prenne que je la pénètre que je lui appartienne la conduisant vers ses orgasmes salvateurs.

Je la prenais par les hanches l’attirant au bord du divan elle était béante d’attente, on voyait tous les replis de ses draperies le rideau était levé, l’acte en lui-même pouvait commencer, l’ouverture se finissait pour donner suite au premier acte celui de la pénétration triomphale du mâle sans mal pour le plus grand Bonheur de la Belle aux abois non dormant. Elle ne m’avait toujours pas lâché.

Elle se laissa glisser sur la moquette épaisse de la salle, m’invita à m’agenouiller à hauteur de son ventre et glissa mon bâton entre ses deux belles boules. Elle me fit aller et venir et à chaque fois sa langue tapotait le gland qu’elle lapait tel un petit chat. Je n’en pouvais plus. Je me fis glisser le long de son corps elle ne me lâchait toujours pas, elle aimait me conduire en elle afin de bien me ressentir. 


Dans un sensuel bruit de schups ses petites lèvres se décollèrent. J’avais pris soin de retirer trois bâtons de leur chupa. Mon bâton allait et venait avec trois petites boules de geisha, je les sentais sur ma hampe rouler et Chimalis sombrait corps et âme dans son monde, les yeux mi-clos, le corps parcouru d’infimes spasmes, elle émettait de doux et longs gémissements, sa respiration s’accélérait, elle plongeait dans son monde, monde dont elle ne reviendrait que comblée.

Je lui prenais les mains pour la relever tout contre mon torse pour sentir ses seins fermes aux tétons érigés tout aussi durs. Je la prenais une main sous chaque fesse et calquais mon rythme sur le sien. Je n’allais pas tarder en prendre le contrôle pour la faire aller et venir plus vite. 

Je caressais sa noisette brune, recherchant un peu de sa cyprine, mon doigt se glissait en elle, je sentais qu’elle me faisait la même chose cherchant la stimulation de ma prostate nous étions en symbiose nos langues emmêlées tous nos orifices sous contrôles de stimulations en stimulations nous cheminions vers nos orgasmes doux et violents. 

Nous nous appliquions à bien caresser de nos doigts nos conduits anaux. Je la sentais me répondre des contractions de sa voûte pelvienne et sur mon doigt et sur ma hampe. 

Elle se donnait de plus en plus fort, se collait tout contre moi, sa tête était dans mon cou, je sentais la chaleur de son haleine, j’accélérais nos va et vient, pinçais délicatement son clito arrachant un fort tressaillement et dans un miaulement elle se bloqua son corps se tendit et un long cri plaintif traversa la pièce , elle me mordit l’oreille cria longuement mon prénom , elle jouissait sa tête dodelinait de droite à gauche, je sentais de douces contractions de son vagin étreindre mon mât …Dans un profond râle je giclais en elle mon nectar chaud la serrant fort contre mon torse comme lorsqu’on veut protéger quelque chose qui nous est précieux elle se souleva sur moi tressaillit à nouveau de ses douces répliques. 

Qu’elle était Amour de jouir ainsi. Nous restâmes un court moment blottis l’un contre l’autre puis nous nous désaccouplâmes. Elle s’accroupit pour chasser ses boules de chupa allant les cueillir de ses fins doigts. Puis elle se rassit sur le divan, culbuta ses jambes sur ses épaules, les bloqua de ses avant- bras. Elle avait décidé, apaisée, de m’offrir sa récompense, elle m’offrait son petit cul. Chimalis je suis le plus heureux des hommes, t’avoir à mes côtés ne peut être que du Bonheur. 

Merci ma Douce Little Flea.

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