015 - Une promenade à cheval bien particulière...
Une promenade
à cheval...
J’emmenais
Chimalis cette journée-là dans un élevage de chevaux amérindiens.
Je montais souvent une jument amérindienne à la robe noire et
blanche Alyana (Fleur éternelle). Une belle pouliche d’un calme
absolue obéissante et avec cette superbe robe. Elle me connaît
bien et je voulais la monter avec Chimalis pour lui faire découvrir
une de nos promenades dans des contrées désertiques où seule la
liaison SOS est disponible sur le cellulaire. Chimalis la voyant
tomba en amour avec cette jument. Les présentations faites
c’est-à-dire se faire sentir cajoler se faire admettre, je la
harnachais de simples rênes. Puis je la montais à cru.
Chimalis
avait un joli chemisier bleu ciel et une jupe évasée flottante
avec des motifs discrets. Je lui avais conseillé cette tenue pour
qu’elle soit à l’aise. Je trottinais un peu avec Alyana
flattant sa crinière et ses flans pour bien la rassurer et je
revenais vers Chimalis pour voir si le courant passait. J’avais
dit à Chimalis l’endroit des caresses sous le cou. Un soupir
ébroué de la bête ponctuait l’accord. Tout était ok.
J’invitais Chimalis à monter devant moi, présentant mon pied
pour faire l’étrier, lui demandant sa main et hop en un coup de
rein Chimalis était assise collée devant moi. Je tenais les
rênes.
Je
dois vous dire que j’avais déjà une petite idée derrière la
tête mais de voir Chimalis juste devant moi, sentir sa chevelure son
parfum si délicat, j’étais déjà aux anges. J’avais une
confiance sans borne dans Alyana. De plus elle venait de se faire
saillir depuis peu. Elle ne pouvait qu’être tranquille. De
toute manière je ne voulais que la faire trottiner sans autre allure
plus rapide.
Chimalis
avait déjà monté et je sentais beaucoup d’assurance dans son
port ce qui me rassurait. C’était la première fois qu’elle
montait à cru en double. Je sentais Chimalis heureuse à la manière
de se coller sur moi. J’avais un gros avantage je la voyais plus
qu’elle ne me voyait.
Je
connaissais bien l’endroit où nous allions aller, sorte de petit
canyon amenant à une clairière avec un petit cours d’eau :
une seule entrée, la tranquillité. Une petite demi-heure de notre
allure paisible.
Je
sentais Chimalis de plus en plus se coller comme si elle
s’abandonnait se laissant bercer par cette allure. Je profitais de
ce moment pour relever ses longs cheveux et butiner son cou. Je
devais la faire tressaillir ou lui donner la chair de poule tellement
elle couchait son cou pour m’éviter. C’est alors que je mis une
main sur l’une de ses dunes la plaquant plus fortement tout contre
moi. Il faut dire que nous savons monter à cheval à cru et que nous
savons nous tenir.
Je
dégrafais quelques boutons. Chimalis, heureuse,
s’abandonnait. Je passais ma main dans le corsage et trouvais le
galbe d’un sein enveloppé dans son nid, un sans doute délicieux
balconnet dont elle a le secret. Je passais délicatement un doigt
sous l’étoffe et sentais l’aréole pigmentée érectée.
J’arrêtais Alyana juste pour passer mon autre main et dégrafer
le soutien-gorge afin de libérer de leur carcan ces deux fruits de
mon Amour. Lourds et rebondis, ils allaient caracoler au rythme des
cahotements de notre monture et j’allais bien m’en occuper.
J’ouvrais grand le chemisier de Chimalis. Je ne voyais juste qu’un
joli petit bout brun pointant son nez par-dessus son épaule et je
m’amusais à faire rouler cette cerise entre les pulpes de mon
pouce et de mon index puis changeant ma tête sur son épaule je
répétais ces caresses sur l’autre afin qu’aucun ne soit
jaloux. Chimalis jeta doucement sa tête en arrière trop heureuse
de telles caresses. Je restais un bon moment à la contenter
savamment ainsi.
Quelques
minutes plus tard je remontais de façon coquine la jupe de Chimalis.
Elle feint de la retenir mais sans trop de conviction. Elle se
laissait guider. J’arrivais à voir ses cuisses ambrées à la peau
si douce, cuisses musclées juste comme elles se doivent d’être ;
bandées du fait qu’il faille garder un certain équilibre ;
des cuisses bandées bandantes et je devenais énorme. Chimalis
devait sentir grossir en son derrière un objet content…dans
quelque temps de se délivrer…
L’allure
était tranquille Alyana sereine comme si elle devinait qu’une
partie d’amour allait se vivre grâce à elle. Le chemin cahotait
et j’en profitais pour passer ma main droite dans la petite culotte
de Chimalis. Je sentis son ventre se crisper, onduler comme si elle
me facilitait le cheminement divin. Au gré d’un cahot plus
prononcé j’atteignais le bourgeon que j’évitais et glissais
facilement en son canyon du plaisir. Il baignait déjà dans son
lit de cyprine tellement l’humidité y régnait. Qu'elle est belle
cette femme coulant, au moindre appel de son être, de son délicieux
nectar. Son coquillage toujours s’ouvrant de désir. Je masturbais
délicatement Chimalis qui au gré des aspérités du chemin
s’adonnait sur mon doigt puis mes doigts car j’en glissais un
deuxième puis un troisième. Chimalis gémissait. Je l’entendais à
peine car nous arrivions près du ruisseau chantant. Mon autre bras
tenait fermement le buste de Chimalis tout contre mon torse car je ne
voulais surtout pas la faire tomber, ses sens s’abandonnant elle ne
répondrait plus d’elle.
Beaucoup
de frustration était en moi car je ne voyais pratiquement rien de
mes agissements aveugles, juste des touchés attentionnés.
Je
masturbais depuis deux ou trois minutes et je capturais enfin le
bourgeon. Chimalis émit un petit cri. Je le malaxais quelque temps,
jamais plus de quatre minutes lui suffisait pour atteindre la
jouissance de son clito. Je le roulais puis le pinçais fermement.
J'arrachais dans le silence de la forêt un long miaulement ;
Chimalis jouissait de son clito. Elle se cramponnait ferment à mon
mât qu’elle avait, après quelques contorsions, réussi à
extraire de mon pantalon; je ne porte pas de slip. Sa tête était
tout contre ma joue et nos bouches se rencontrèrent, nos langues
dansèrent au rythme de la chevauchée.
Arrivés
à la clairière, j’attachais un peu serré Alyana afin d’avoir
enfin les mains vraiment libres. Je prenais Chimalis dans mes bras et
la retournais tout contre moi me faisant face. Elle se blottit très
fort et nous nous embrassâmes longuement. Je défaisais son
chemisier elle était les seins nus dans la bise d’une superbe
journée d’été. Délicatement je la renversais sur la crinière
d’Alyana qui ne bougeait pas (Quand je vous dis que les bêtes
ressentent ce qui est beau et bon). J’ôtais la jupe et remontant
lentement mais mains sur toute la longueur de ses jambes et de
ses cuisses je prenais la petite culotte de Chimalis tout en
caressant ses lèvres humides puis laissant toujours mes mains
trainées sur sa peau je l'ôtais. Elle était nue, allait
s’abandonner à ces délices. J’avais une vue imprenable sur le
mont-de-vénus et les dunes du désert, elle était prête pour son
dessert. Je ne vous dis pas comment en quelques acrobaties je me
retrouvais aussi nu qu’un ver.
Je
caressais les superbes cuisses de Chimalis, les tirais vers moi pour
qu’elle les mette autour de mon bassin et je portais à ma bouche,
mes mains sous ses fesses, son calice afin de communier avec elle de
sa cyprine si délicieuse. J'enfouissais ma langue à s'assiettée
caressant de mon nez le bourgeon ressorti et gonflé de désir. Je
buvais tout son nectar m’en emplissant les narines comme une drogue
enivrante. Que c’est un délice le sirop d’érable de son
Amour.
Je
déposais la vulve de Chimalis au bout de mon gland, la prenais par
les hanches et d’un coup doux et délicieux je l’empalais sur mon
dard. J’allais prendre Chimalis sur le dos de ma jument.
Elle
se cramponnait à la crinière et se laissait aller et venir sous mes
coups de boutoirs. Elle me souriait, ne me perdait pas des yeux un
seul instant et moi je guettais ce délicieux moment où ses yeux
chavireraient m’indiquant qu’elle sera sur le chemin de ses
délices. J’accélérais mes va et vient. Elle se donnait corps et
âme, gémissait, laissait échapper de longs soupirs entrecoupés de
petits cris. Elle allait se donner entière dans cette clairière,
sans retenue, crierait de toutes ses forces sa joie de jouir, car
rien est plus fort en ce monde. Je la faisais bien aller et venir. Sa
tête roulait de long en large et soudain son corps s’arc-bouta,
ses reins se cambrèrent, ses seins durs et gonflés aux aréoles
complètement brunes, elle banda son corps et elle cria si fort
qu'Alyana eu un sursaut...Chimalis ondulait de ses sens en fusion son
orgasme la transcendait dans sa beauté. Je n’en pouvais plus et
dans un râle d’ours en rut je m’épandais en elle, la faisant à
nouveau gémir de plaisir dans de douces répliques, je giclais fort
contre ses parois… Chimalis rouvrit ses jolis yeux. Elle me
souriait béate, heureuse d’un si bon moment. Je l’agrippais par
les mains pour sentir ses seins tout contre mon torse nu et nos
langues se mêlèrent dans un bal comme pour nous remercier. Chimalis
était heureuse de cette expérience. Gageons qu’elle voudra bien
la réitérer !
Nous
descendîmes enfin sur terre, roulâmes sur une couverture
rapidement jeter au sol et Chimalis se mit en tête de me remercier
de sa belle gorge profonde pendant que je caressais sa petite
noisette d’un profond anulingus. Je jouis en un tour de main dans
la bouche de Chimalis qui vint partager son précieux butin en ma
bouche tout aussi gourmande. Nous nous serrâmes fort l’un
contre l’autre, restâmes un long moment écoutant le doux bruit
du ruisseau et les cris des divers animaux. Puis nous rentrâmes
heureux de ce si merveilleux moment.
Yahto
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