001 - Aventures ou méaventures de l'auto-stop

 RISQUE OU PLAISIR (29/09/2011)
Quand j'étais étudiante, le lycée était à une trentaine de kilomètres de chez moi.
 J'étais déjà avec mon mari à l'époque et nous n'avions pas beaucoup d'argent. Je rentrais tous les jours chez nous. Il y avait bien une ligne SNCF mais les forfaits n'existaient encore pas et il fallait acheter les billets allez retour plein tarif. De plus la gare était assez loin de notre immeuble. 
Un jour le train est tombé en panne. Il est revenu en gare de nuit. J'ai dû rentrer chez moi en traversant des quartiers assez mal fréquentés. Je suis tombée sur un groupe de trois jeunes. Ils ont commencé par me suivre puis ils se rapprochaient de plus en plus. Ils n’arrêtaient pas de m'interpeller en me lançant des sifflements ou en me faisant des commentaires sur mes fesses…L'un d'entre eux s'est mis à me les caresser… À l'époque, je n'ai pas su saisir l'occasion. Et je me suis enfuie en courant… Je suis rentrée chez moi hors d'haleine.
À la suite de cet incident, j'ai décidé de faire du stop pour aller au lycée. J'habitais proche de la nationale… Le lendemain, je me mettais au bord de la route et je tendais timidement mon pouce…


Une voiture s'arrêta, une grosse voiture noire avec une boîte automatique… Le gars au volant « costard cravate » pas vraiment mon style… mais bon il me dit :
 -          Dépêche-toi si tu veux venir !
Je pressais le pas et je sautais dans sa voiture, je me suis tellement dépêchée que ma jupe du côté gauche s'est coincée sous mes fesses. Je ne m'en suis pas rendu compte tout de suite.
   C'est quand j'ai vu son regard appuyé que je m'en suis aperçu. J'ai rougi comme une tomate et j'ai essayé d'améliorer les choses mais comme j'avais mon sac de cours sur les cuisses, cela ne faisait qu'empirer. D'un ton sec, il me dit :  
 -          Arrêtez de gigoter comme cela et mettez votre ceinture ! Vous allez me mettre en retard. Posez votre sac à vos pieds  cela me gêne pour voir dans le rétroviseur !

 Une fois le sac au sol, je me rendis compte que ma jupe était toujours toute coincée et entourée autour de moi.

Il démarra et je vis dans son regard ce qu'il pensait… il se disait qu'il avait une ouverture… La voiture avançait et il commença à mettre sa main sur mon genou. Je n'osais pas bouger de peur qu'il arrête la voiture et je le laissais donc faire. Je sentais sa main qui remontait petit à petit à l'intérieur de mes cuisses tout doucement.
Là j'hésitais entre l'abandon ou le rejet… finalement sa caresse était tellement douce que je choisis l'abandon et je posais ma tête sur le repose-tête. Je fermais les yeux pour en profiter. Je me disais qu'une petite caresse sur la cuisse, ce n'était pas tromper mon homme. Je me laissais aller, ma langue passait sur mes lèvres desserrées. Sa main remonta encore plus le long de ma cuisse pour approcher mon entrejambe… Il dut certainement sentir la chaleur que dégageait mon sexe à travers le fin tissu de ma culotte. Je sentais sa main insidieuse qui se glissait sur le côté.
Il posa son doigt sur mes lèvres intimes qui étaient gonflées par l'excitation. Je sentais mon jus couler sur son doigt. Une pointe de honte me submergea. Je n'arrivais plus à garder mes pensées en ordre et mon esprit s'enflamma. Mon bassin fit de petits mouvements, si bien que son doigt entra dans mon sexe.
Soudain, il se gara sur un parking et dégrafa sa ceinture. Il continuait avec son doigt jusqu'à me mouiller suffisamment.
Moi les yeux fermés je profitais de la caresse. Il continua à glisser trois autres de ces doigts à l'intérieur, son auriculaire me caressait l'anus… La caresse se voulait plus rapide… et mon bassin se cambrait de plus en plus… Tout s'accélérait… Je jouis en un feu d'étincelles de sensations… puis je retournais ma tête vers lui et je m'aperçus que lui aussi avait joui en se masturbant. J'entraperçus quelques gouttes de sperme sur le volant.

 (29/09/2011)

FROID OU CHAUD (08/10/2011)

Dans mon récit précédent, je vous expliquais comment j'en étais arrivée à faire de l'auto-stop ce qui m'avait valu quelques aventures ou mésaventures…
Un autre jour, je me postais au bord de la nationale dans le sens du retour.

Cette fois, j’étais en pantalon avec un tee-shirt ample avec une encolure ronde, comme cela « plus de jupe plus de risque » Du moins c'était ce que je pensais.
Une petite voiture s'arrêta, un homme assez trapu à l'allure plutôt sympathique au premier abord.
Je lui indiquais ma destination. Cela tombait bien, c’était aussi la sienne. Je posais mon sac au sol… puis je ne savais trop… quelque chose m'inquiétait… Mon sixième sens sans doute…
Après plusieurs kilomètres, il s'arrêtait sur un parking… et il me dit :
-Nous allons faire une p’tite pause !
Je pensais qu'il allait faire juste un petit arrêt pipi. Il sortit de la voiture, s'absenta puis après un instant il revint et remonta…
Il me regardait et me dit :
-          Tu sais dès fois, je prends en stop des filles sympathiques… Je leur donne la pièce… et elles acceptent d'être encore plus gentilles !
Je lui répondis :
-          Vous savez je ne suis pas intéressée. (Là cela allait trop loin.)
-          Dans ce cas, tu n'as qu'à descendre de la voiture et tu finis à pied.
Je descendis. L'homme repartit dans sa voiture et j’étais coincée sur un parking en bordure de la nationale, sans possibilité d'appeler quelqu'un à l'aide. Il était déjà sept heures du soir. Il commençait à faire froid. Après une bonne dizaine de minutes, je vis des phares au loin, c'était un camion…
J'hésitais. Il était tard. Il faisait noir, mais bon je n'avais pas le choix, les véhicules ne passaient pas si souvent par ici… C’était donc avec appréhension je me décidais. Je faisais de grands signes pour qu'il s'arrête.
Après plusieurs mètres, le camion s'immobilisait. Je courais jusqu'à la porte passager que j'ouvrais. Je prenais place. Le conducteur plutôt jeune, environ 21 ans - 22 ans, me demande ce que je faisais là, seule dans le noir de ce parking…
Confiante vue son âge proche du mien, je lui racontais mon histoire. Il me dit avec un grand sourire :
-C'est sûr ! Si tu étais habillée comme ça, euh si je puis dire, le conducteur de la voiture a dû avoir du mal à résister et il n'a pas pu tenir…
Surprise par la remarque, je me regardais et je constatais qu'avec le froid mes seins pointaient sous le tee-shirt. Gênée, je croisais les bras sur ma poitrine. Il me dit :
-Ben non, il ne faut pas cacher ce qui est beau… Tu sais l'autre, c'était un rustre ! Moi je ne suis pas comme ça, je peux regarder sans forcément te sauter dessus…
Ses paroles m'avaient troublée et j'ai eu envie de lui faire plaisir. Après tout il m'avait sortie d'un mauvais pas… En plus tant qu'il roulait, il n'y avait pas de risque qu'il ne m'approche avec le capot du moteur entre les sièges. J'ai donc commencé à effleurer l'un de mes bouts de seins avec la paume de ma main pour le faire gonfler encore plus… Je fis pareil avec l'autre et je regardais sa réaction… Son regard de braise m'avait incitée à aller plus loin… J’ai commencé à passer la main sous mon tee-shirt… Pour tirer les pointes… Mon excitation allait en grandissant.

Encore un regard vers lui et je me rendis compte qu'il avait dégrafé son pantalon, et doucement il caressait son sexe gonflé… Nous n'échangions plus un mot, juste des regards… Le voir se caresser, me fit monter la pression d'un cran, et je commençais à ouvrir le bouton de mon pantalon pour y glisser ma main…
Ma main se posait sur mon sexe et je commençais aussi à me masturber, à prendre du plaisir. Lui aussi se caressait de plus en plus vite, et j'avais envie de lui donner plus… Je le regardais.
Il devait le voir dans mes yeux. Il me dit :
-          Seulement si tu le souhaites, tu peux venir te rapprocher de moi, et profiter de ce que je veux te donner…
Je m'approchais de lui et m'asseyais sur le capot du moteur. Je regardais sa main caresser son sexe et après un moment ma main se posa sur la sienne. Il me laissa la place. Je le pris dans ma main…
Je le caressais sur toute sa longueur et petit à petit, je le faisais de plus en plus vite. Il me dit /
-          Tu vois, parfois tu peux être maîtresse du jeu… hummmmmmmmm
D'un coup son bassin se releva et sa semence gicla se répandant sur ma main. Il me tendit son mouchoir en me remerciant. C’était la première fois que je masturbais un inconnu. Cela m'avait troublée au plus haut point.
(08/10/2011)


 SECRÈTE ENVIE (11/10/2011)
Sur un site internet, j'ai commencé à raconter ce qui m'était arrivé quand j'étais jeune et que je faisais de l'auto-stop pour aller au lycée pro.
Un membre du forum m'a demandé comment se passeraient les choses maintenant avec mon expérience. Cela m'a donné matière à réflexion. Voici le fruit de mon dernier fantasme…
En fait sur le chemin du retour du travail, juste avant de reprendre la nationale, il y avait un homme d'une trentaine d'années en débardeur et jean avec un sac à dos qui faisait du stop.
Il avait un petit carton, avec le nom de ma ville dessus… Je ne sais pas ce qui m'a pris mais il dégageait quelque chose… Un je-ne-sais-quoi qui m'a fait m'arrêter.
Nous avons roulé un peu et je lui ai demandé son prénom. Il s'appelait Jean-Marc. Nous avons commencé à discuter… Lui me jetait des regards un peu discret. Je m'apercevais qu'il regardait l'échancrure de mon corsage.

Après plusieurs kilomètres, l'air était de plus en plus chaud… Enfin c'était surtout moi qui avais de plus en plus chaud. Ses regards appuyés commençaient à faire naître en moi des envies particulières. Mes seins commençaient à pointer à travers le fin tissu… Je jetais un œil vers son entrejambe… Plus on se regardait et plus cela la température grimpait.
Il était un peu plus jeune que moi, et je me suis surprise à penser qu'il ne ferait pas le premier pas.
Un peu plus loin sur le trajet, j'ai mis ma main sur le levier de frein pour la glisser ensuite sur sa cuisse… Je l'ai senti se durcir et son corps frémir… Il a fermé les yeux… J'ai continué à lui caresser la cuisse doucement, la bosse dans son jean grossissait de plus en plus…
Doucement il gémissait, Hummmm ! Un son rauque très excitant qui me donnait envie d'explorer un peu plus loin cette opportunité… Au loin j'aperçus un parking suffisamment large sur le bord de la route pour que nous ne soyons pas trop dérangés par les voitures qui passaient.
Une fois arrêté, j'ai dégrafé ma ceinture et la sienne… J'ai continué à le caresser pour passer ma main au milieu de ses cuisses pour remonter lentement vers son entrejambe… Il ondulait légèrement du bassin. J'ai appuyé sur le bouton pour mettre son siège en position couchette… Il a gardé les yeux fermés… Tout doucement, en le caressant, j'ai défait un à un les boutons de son jean pour apercevoir sa toison brune fournie…
J'ai soulevé son débardeur pour lui caresser le bas du ventre dont la toison était aussi très douce… J'ai eu envie d'y poser ma joue tout en continuant à le caresser… Il a posé une main sur mes cheveux et m'a caressé la tête pour me signifier son accord… Son bout était gros et gonflé, j'avais une grande envie de le sentir sur mes lèvres…
J'ai commencé par lui donner de petits coups de langue… J’ai pris son sexe entre mes lèvres. Ma langue s’est enroulée dans une douce caresse puis j'ai continué sur le dessous de son gland pour descendre plus bas vers son périnée pour le frotter lentement. Je sentais son sexe grossir contre l'intérieur de mes joues… Je faisais de lents va-et-vient avec ma bouche puis je sentis son corps se contracter. J’ai alors attendu qu'il vienne pour goûter sa saveur…
Ensuite, je me suis rassise sur le siège, des étoiles plein la tête, abasourdie parce que je venais d'oser faire voire un peu honteuse aussi. J'ai fermé les yeux un instant, pour me remettre de tant d'émotions…
C'est alors que j’ai senti sa main effleurer mon bras ainsi que son souffle court sur mon visage.
Doucement, il faisait descendre le dossier de mon siège. Ses lèvres se posèrent sur les miennes en un langoureux baiser. Tout en m'embrassant, il m'effleurait le visage avec douceur. Sa bouche descendait le long de mon cou pour venir en embrasser la base dans une caresse douce et sensuelle. Je frémissais de tout mon être. Je gémissais de plaisir et mon corps se tendit pour l'inviter à aller plus encore.
Un à un, il défaisait les boutons de mon corsage. À chaque bouton, il léchait ma peau qu'il découvrait au fur et à mesure. Son exploration achevée, il écarta les deux pans et s'arrêta un instant pour admirer ma poitrine moulée dans un soutien-gorge de dentelle noire.
Soudain, il en voulut plus, je le sentais impatient. D'une main fébrile, il délaça ce dernier rempart par-devant, libérant ainsi mes seins de toute entrave. Sa tête s'approcha encore. Il me couvrit d'une pluie de baisers. Je sentais sa peau, sa bouche, sa langue frotter mes seins. C'était un tel déluge de sensations que j'en restais paralysée de désir. Mon excitation allait grandissante.
Avec sa langue, il joua sur mes tétons une délicieuse symphonie qui les faisait se gonfler encore plus. Lentement sa main descendit le long de mon corps, me frôla délicatement le ventre. Il dégrafa mon pantalon qu'il fit glisser le long de mes cuisses. Sa main se fraya un chemin à l'intérieur pour venir se glisser sous l'élastique de mon string en dentelle dont le fond était tout humide de tant de bonheur.
Son index se posa sur mon intimité, puis commença un lent et… au combien… délicieux massage. Si bon que mon bourgeon sortit de son écrin.
Sa main se fit plus coquine, son pouce remplaça son doigt et le reste se glissa au chaud sans aucun effort.
Sa langue vint rejoindre son pouce pour mon plus grand bonheur…

Au rythme de ses mains, mon bassin ondulait en de lents va-et-vient. Et c'est dans un plaisir intense que je ne pus retenir mon long cri de jouissance.
Après d'intenses tremblements, j'ouvrais enfin les yeux et je plongeais mon regard dans le sien…
Allions-nous aller plus loin ?
(11/10/2011)
F I N



 

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