052 - Nouvelle année, CYgnes de nos Cœurs (Yahto - Chimalis)

Un 21 janvier quelqu’un
Qui est-elle pour frapper ma porte
Est-elle perdue cherchant un Cœur
Se rassurer, angoisser, morte
Je lui tends ma main accroche-cœur
Elle revit réveil du matin
Deux Cygnes sur un plan d’eau Amour
Est-ce un signe de les voir ainsi
Ils se regardent font un détour
Vont-ils  se Lover en Cœur, CY!
Dans la rivière qui suit son cours
Nagent les CYgnes de notre amour
Regarde-les s'aimant toujours
Ils attendent sagement la fin du jour

Que f’ront-ils cette nuit blottis
Gorger du jus de leurs envies
Plongeront-ils au pays des songes
Assouviront-ils le besoin qui les ronge
Se désirant toujours plus sans mensonge
Finalement le soir sur la mousse ils s'allongent


De doux baisés dans le cou pour la belle
L’effleurant de  suaves caresses rien que pour elle
De longs soupirs résonnent pour lui à ses oreilles
Souvent le soir doux et tendre il veille
À son bonheur et l'émerveille
Se plait à rêver dans son sommeil

Le matin elle se réveille toujours heureuse
Elle prend ses bisous et ses mots, vaporeuse
Envers lui elle ne se sent pas généreuse
Et pense qu'elle devient pour lui dévoreuse
Il l'a rassure lui assurant que non
Ses mots sont ceux de la passion
Aimons-nous encore longtemps à l'unisson
Comme ces CYgnes roulant dans le gazon
Qu’il est agréable de se promener
Dans les paysages de cette Femme
Superbe gorge déployée
Qui n’attend que visite de l’Âme
Voir rougir ses joues, son sourire
Faire mûrir son doux abricot
Donner le désir de l’ouvrir
Aller sur une plage, s’isoler
Avec elle dans son abri côtier
L’entendre gémir, tressaillir
Crier sa Joie à fleur de peau
Noyer dans ses orgasmes chavire

J’aime sucer ses cerises si belles
Illuminées de douces couleurs pastelles
Ses doigts deviennent féériques
Traversés d’envies frénétiques
  
Parent de couleurs mon doigt d'Amour
Cet œil perle d’une larme qu’elle savoure
Déposant ses lèvres elle m'aspire
Mon encre en sa bouche elle respire


Être la plus heureuse est son aveu
Cette nouvelle année de Bonheur
Je lui voue tous mes Sincères Vœux
Bientôt viendra cette belle heure
J’pourrais la serrer sur Mon Cœur
Être plus heureux, je le veux

Je t’aime, je désire être en Toi
Pénétrer dur, béante d’envies
Te sentir engloutir mes émois
Faire aller et venir mon vit
Elle en se mordillant les lèvres
Je m’occupe de ses bouches à langues
Je la sens contracter sa mangue
Monter doucement toute sa fièvre
Dans un ultime cri elle jouit
Je suis dans son monde infini.


Être apaisée est son aveu
Vivre des années de Bonheur
Lui offrir des mots merveilleux
Bientôt viendra cette belle heure
J’pourrais la serrer sur Mon Cœur
Plus heureuse sans aucune peur.


 Chimalis et Yahto s'aiment - Poème à quatre mains

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