042 - Cela devait arriver...c'est arrivé!
Cette
femme je l’aime. Je veux qu’elle soit heureuse. Je lui écris des
mots comme des cadeaux pour lui dire mon Amour, lui faire comprendre
qu’elle est importante à mes yeux.
Je
lui recherche des photos lui montrant les situations que je voudrais
vivre avec elle car pour moi cela
ne peut être qu’elle sur toutes ces photos.
Je
lui recherche des musiques pour la transporter .
Cette
femme je l’aime parce qu’elle a voulu qu’en premier je captive
son Cœur pour en arriver à lui offrir ses desserts. Lui écrire des
mots qui lui fassent naître ses envies. Elle est de plus en plus
libérer n’hésitant plus à se confier nous connaissant chaque
jour un peu plus. Elle aime parler de toutes ces choses de la vie que
je ne sais pourquoi beaucoup oublient. Elle se confie en confiance.
Je la calle rarement à son travail mais parfois nos heures se
croisent. J’avais manqué un RDV dernièrement car nous avions été
interrompus dans son bureau. Aujourd’hui j’ai eu la possibilité
de la caller à nouveau. Je voulais depuis un bout lui donner envie
de son dessert,
du
dessert de son Cœur que j’aime bien avant son petit cul. Mais qui
dit dessert dit Amour pour nous deux. Je voulais ayant cette
opportunité lui faire naitre l’envie de se masturber soit derrière
son bureau soit aux toilettes. Écrire un texte qui l’ouvre de
désirs, lui faire l’Amour car je ne baise pas, je ne sais faire
(je ne parle pas « Quickly » car ce n’est pas baiser
c’est montrer la fièvre, la fougue de son Amour et c’est donc
totalement différent). Alors dans le bureau je la prendrai comme je
l’entends. Elle me dira ensuite si elle attendait autre chose.
C’est ainsi que je conçois le partage : se parler pour se
découvrir!
Reçois
mes bisoussssssssssss de mon matin.Tu es toujours à ta réunion
Amour?
-
Bisousssss
-
Bisoussssssssssssssssssss je t'en fais plein partout partout
-
Non je fais un truc dans mon bureau
-
Hummmmmmmmmmmmmm sous le bureau ou à ton bureau coquine…La femme de ménage rode-t-elle?
-
Je veux retrouver aussi les mots que tu avais écrit ici
-
RHOOOOO Nannananana
-
Oui oui
-
Quels mots ? J’écris tant de choses que je veux belles RIEN QUE POUR TOI que je me noie de mon Bonheur dans tout cet Amour pour Toi. Tu es en jean ?
-
Ici je les ai découverts un matin! Oui jean
-
Hummmmmmmmm je pourrais sentir en t'embrassant dans ton cou tes cuisses chaudes emprisonnées dans ce tissu, remonter sur la ceinture pour tenter de caresser la peau chaude de mon index entre chair et ceinture. Pull ou chemisier?
-
Mmmn tu es infernal / je t'aime. Tee-shirt
-
Moi aussi je t’aime. Je veux te faire jouir au bureau hummmmmmmmmmmmmmm
-
Large avec col ouvert
-
Sens mes mains de chaque côté de tes hanches remonter sous le tee
-
Hummm
-
…pencher sur ton cou tête dans tes cheveux qui sentent bon ton parfum
-
J’adore
-
…une vue plongeante attire mon œil coquin et je plonge un doigt dans la crac des deux dunes si tentantes. Je caresse chacune de mon index entre chair et tissu descendant vers chaque cerise, les effleurant à chaque passage te faisant déjà tressaillir. Mon autre main soutient la dune gauche caressant le dessous tendrement
-
Juste te sentir dans la pièce me fait tressaillir
-
…mes deux mains se rejoignent et caressent savamment les pointes à travers l'étoffe. Je les sens se durcir imperceptiblement. Tes cuisses se sont légèrement écartées m'indiquant qu'au creux de tes reins un appel nait
-
Mes seins sont chauds
-
Je replonge une main sur une cuisse passant en son intérieur caresser pour qu'elles s'ouvrent encore plus. Je retourne brusquement ton fauteuil vers moi et me met à genou entre tes cuisses. Mes mains replongent sous ton tee le remonte sur tes épaules. Tu m'apparais en SG belle et désirable. Je me relève un peu pour prendre ta bouche. Nos langues se mêlent tout en dégrafant ce SG qui m’affole avec son déboutonnage par devant ce qui accentue l’explosion de liberté de tes globes en mon visage. Que tu es belle. Nous sommes seuls
-
Mmmm
-
…les collègues sont partis. Je savais que tu resterais. Je te devine de plus en plus facilement. Je t'épiais. Tu es là, belle, seins nus sous mes mains avides de caresses. Je soupèse chaque globe, porte entre mes lèvres chaque cerise tout à tour. Je les fais rouler entre mes lèvres et ma langue. Ta main s'est glissée sous ma chemise, l'autre caresse mes cheveux. Ma main saute de tes globes à ton dos à ton ventre glissant vers les boutons de ton jean que je dégrafe et dézippe
-
Tu aimes attendre que nous soyons seuls!
-
…que tout cela est trop emprisonné dans ce jean. Oui je ne partage PAS! Tu voudrais être vue ?
-
Non, que par toi seulement
-
Non moi je ne veux être qu'avec toi car tu m'occupes TOI et personne d'autre. Ce moment ne peut être QUE POUR TOI et pour moi
-
Moi aussi
-
Il NOUS appartient…alors je te lève doucement, te serre tout contre moi, pendant que nos pantalons tombent à nos pieds, juste le temps de libérer tes jambes de leur entrave pour te laisser libre, entière de te donner. Ton bureau est encombrée de dossiers cela sera moins froid et fera un parfait matelas. Je te couche sur le bureau. Ton pied caresse mon stylo essayant de m’ôter mon boxer. Je t'aide et suis nu tout contre tes cuisses.
-
Mmmm sur le dossier des risques…
-
…ta petite culotte me montre une auréole humide que je viens caresser. Mon index sens chaque lèvre rebondit. Tu frissonnes. La vallée du désir est bien dessinée et l’auréole grandit lorsque j'appuie délicatement l'étoffe. Mon autre main caresse toute les parcelles de ta peau, de tes genoux, en passant sur ton ventre qui se creuse pour aller caresser les aréoles de chaque dune
-
J’ai envie…
-
Je te tire vers moi pour sentir tes dunes au contact de ta peau. De mon autre main j'écarte l'étoffe et plonge mon index dans le délice humide.
-
...j’entre un premier doigt qui se faufile tellement il baigne dans ton miel d’Amour, un autre suit. Je caresse le pied du bourgeon à la recherche de ta zone qui te met sur la piste du décollage de tes sens en direction du pays de tes envies d’où tu ne peux et dois revenir qu’apaiser, libérée, sereine et heureuse. Tu cherches ma bouche, tes mains mes fesses. Nous sommes presque collés, tu tressailles, je sens ta chaleur, tes seins dardent sous la lampe de bureau. Tu es assises et c'est extra on dirait que ceux qui font les bureaux pensent à tout, à la bonne hauteur…
-
Tu t’avances sur mon sexe, le prends, le décalottes bien à fond et le places à la porte de ton intimité. Je ne retire par mes doigts. J’aime sentir ce moment où je glisse en toi comme quand tu as tes boules de geisha, sentir t’emplir tout en te caressant tellement tu es béante d’envies. Enfin je retire mes doigts qui viennent caresser ton bourgeon que je capte entre index et majeur. Je ne te laisserai pas le soin de le faire, je le ferai pour toi. Tu te colles encore plus. Tu me veux et tu es bien empalée sur moi. Que je suis bien en toi.
-
Nous sommes dans le noir ... presque. Mmmm. Je te vois ombre et lumière des phares des voitures qui passent sur le boulevard accentuant l’érotisme torride de cette chaude situation…Tu t'accroches à mon cou. Je passe une main sous chaque fesse. Je soulève, me retourne et t'accote sur le mur du bureau. Tu te donnes pour le moment doucement et je te réponds à l'unisson. Je te maintiens fermement contre le mur et le balai de notre Amour, celui de nos reins commencent à se répondre…Mon index caresse d'un côté le bouton et l'autre index est venu s'humecter de ton miel pour glisser caresser la noisette brune. Tu gémis. Tu te donnes, tressailles, vibres…Ta bouche s'est collée dans mon cou, remontant par moment sur mon lobe d'oreille que tu commences à mordiller
-
Mmmmm
-
Je sens ton haleine chaude, tes seins se gonfler à chaque coup de rein, ta respiration s'accélère. Tu ne vas pas tarder à sombrer dans ton monde de jouissance, monde que je veux voir t’appartenir, te faire crier de tes Joies
-
Ouiiiii
-
Mes index caressent savamment. Tu te remontes en rythme prenant appui sur mon cou. Je ne te soutiens pratiquement pas, juste te maintenir tout contre le mur me laissant tout le loisir de laisser mes doigts furetés. J’accélère mes coups de rein, tu laisses échapper de petits miaulements rythmés
-
Oui des ronronnements au myahoooooooooooo
-
Ta tête change de coté sur mon épaule. Tu halètes de désirs. Je pince le bouton un violent soubresaut te traverse, j’accélère et dans un cri doux et long tu laisses échapper amourrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr je sens les contractions de tes anneaux, l'un sur ma hampe l'autre sur mon index qui est entré juste un petit peu…Tu jouisssssssssssssssssssssss. Tu me serres, je sens tes ongles dans mon dos. Tu es contractée tout est là pour me dire que tu es dans tes jouissances…Tu me mordilles et, n’en pouvant plus, je ne peux que te suivre…Je t'inonde à mon tour te répondant, te donnant encore des répliques douces et suaves
-
Ouiiiiiiiiiiiiii
-
Je râle de ce râle rauque que tu aimes entendre, qui te fait te coller encore plus
-
J’adore te sentir en moi…Ouiii ton râle je l’aimeeeeee rauque
-
Tu es toute chaude. Nous nous donnons encore puis je te repose sur le bureau.
-
...tu restes collée à moi comme pour ne pas me perdre. Je me retire et tu tends ta main vers mon stylo qui vient de gicler les mots de mon Cœur en ton être si délicieux. Tu l’agrippes je sais que, pas si tard, tu le voudrais en ta bouche comme pour le vider de toutes ses gouttes d’Amour pour toi quitte à lui prodiguer un autre vent de folie,
..sentir
mon ambroisie couler en ta bouche, me goûter et ensuite me partager
en nos bouches emmêlées. Il est tard. La nuit tombe. Nous
nous rhabillons et sortons main dans la main en nous bécotant tout
au long du couloir jusqu’à l'ascenseur. Que c’est bon de
s’aimer?
-
Quand j’ai joui, j’ai crié « Je t'aime » Tu l’as vu arriver et tu as prévenu mes cris en les étouffant dans ton cou au moment où la femme de ménage passait dans le couloir
-
Hummmmmmmmmmmmmmmm
-
Mmmm j’ai très envie, trop envie
-
Nous croisons juste en sortant la femme de ménage. Elle a un large sourire. A-t-elle vu, entendu personne ne le saura
-
Je dois quitter le travail
-
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Amour
-
Oui nous ne saurons pas, elle est sympa et discrète
-
Seul son intelligence fera la différence
-
J’adore ton cadeau. Elle est intelligente…
-
J’adore te l'écrire et je t'ai imaginée te caresser derrière ton bureau. Je t’ai vue passer ton index pour sentir tes lèvres rebondies, pleines du désir de vibrer
-
Je veux tellement te relire. Je vais passer aux toilettes...
-
Une auréole humide pointant son petit nez. Hummmmmmm
-
…avant de partir
Ouiiiiiiii
Amour tu jouis de plus en plus vite m'aimant toujours plus fort. Un
petit 5 à 6 minutes et tu jouiras je le sais Amour fais-toi à ton
tour ton cadeau, cadeau de mes mots, cadeau de Mon Cœur pour Toi.
-
Oui je le veux et je sais que tu vas être heureux, j’ai tant envie de Toi et de te faire plaisir…
-
Voila ce que je suis capable de te faire au bureau. Si je travaillais avec Toi cela aurait forcément lieu.
-
Oui j’en aurais envie aussi…À tantôt
-
Te faire naitre de folles envies. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii Bisoussssssssssssssssssssss Amour. Attention à toi
-
Tu viens de le faire là!
-
Hummmmmmmmmmm
-
Me faire naitre une folle envie
-
Oui JE T'AIMEEEEEEEEEEEEEEEE. Je te veux heureuse de TOUS LES PORES DE TA PEAU
-
Dès que je rentre je sauvegarde ton texte Mmmmmn Mi too
-
Je vais le publier
-
Je t’aime
-
Oh que moi aussi
-
Ouiiiii
-
On ne peut écrire ainsi que si on aime
-
Je n'osais pas te le demander!
-
Tu savais que j'en ai très envie que tu te masturbes sous mes mots à ton bureau Amour
-
Oui je sais que cela devait arriver. Je dois rentrer chez moi là!
-
Oui file vite surtout si tu passes par le stoilettes coquines. Tu me diras et attention à toi pour rentrer. Bisousssssssssss Je t’aime, à tantôt.
Commentaires
Enregistrer un commentaire
Bonjour
Merci pour votre avis. (Il est soumis à modération)