047 - Pour un Amour sans fin qui me donne faim...

Nous arrivions à la fin du pique-nique, vous savez le moment du dessert, là où nous vivons nos desserts. Je venais d’aiguiser l’appétit de ses sens avec mes fruits préférés, cerises, raisins.


Pourquoi ? Tout simplement parce que délicatement coupés en deux, noyau ôté pour la cerise, pépin laissé pour le raisin, ces deux fruits deviennent des coupelles moelleuses qui deviennent de  merveilleux objets de stimulation et pour les tétons et pour le bourgeon en érection, turgescent. Il n’y a juste qu’à masturber les fruits de sa passion avec ces fruits faits pour l’Amour. Les tourner, les faire aller et venir, les presser pour les faire juter comme le jus d’Amour de Chimalis coule tranquillement de sa fontaine amoureuse. Je voyais bien que Chimalis regardait en direction d’un tronc d’arbre particulier.
Nous étions nus dans une clairière que nous connaissions pour nous y être promenés et y avoir fait l’amour plusieurs fois sur une couverte, allongée sur un véritable tapis de mousse.


M’attardant avec mes joujoux fruités sur chaque téton dur, en érection, les visitant tour à tour en alternant avec son bourgeon décapuchonné, je tirais des sons mélodieux du corps de ma Chima qui montait au diapason de son désir. Brusquement, à la faveur d’une ultime caresse de mes demi-cerises que nous mangions d’ailleurs au fur et à mesure de nos ébats, un long soupir suivi d’un long gémissement puis quelques « OoooH »marquant sa surprise ou sa délivrance, Chima jouissait de son clito. Elle était parsemée de spasmes. Ses yeux battaient aussi vite que les contractions de sa vulve, mais surtout de son œillet brun qui applaudissait ne pouvant résister à l’appel de la forêt. Quelques instants savourés de son délice puis Chima se leva.

Elle me prit par la main, arracha la couverte du sol et me conduisit vers ce tronc. Elle me dit de m’allonger curieusement la tête vers la racine de ce tronc penché. Je sentais dans sa façon d’être, dans la malice de ses yeux qu’elle voulait me donner comme elle savait donner sur notre table de massage où, celui qui est allongé, devient le receveur.
Une fois étendu  elle prit l’élastique porte-bonheur de son poignet, me caressa mes mains, elle adore les mains, les plaça au-dessus de ma tête, les attacha de cet élastique. J’étais prisonnier, son prisonnier, sur mon tronc, nu comme un vert une branche d’arbre énorme se fondait dans le paysage, mon mât bandé comme un arc aussi dur de désir.


Chima écarta les jambes le plus possible puis se glissa le long du tronc penché. Elle vint se placer au-dessus de ma tête. Je voyais son abricot béant avec les stigmates de la jouissance de son clito, ses fils amants. Elle s’accroupit en direction de ma bouche et je devins l’abeille butineuse de son nectar. Ma langue dur et tendu écarta les nymphes encore toutes collées et se glissaient « inquisiteuse » dans l’encrier que j’adore voir crier, bien ancré. De ses mains derrière son dos, elle lustrait savamment la branche de mon arbre. Elle se faisait aller et venir doucement sur ma langue où je sentais un élixir sucré couler en ma gorge avide de ce met délicieux.

(Soyez indulgent! Ceci est une photo érotique assez ancienne du temps de la censure...)
Elle resta un petit moment ainsi. Je me doutais qu’elle clignait des yeux les fermant  puis les rouvrant pour s’imprégner de ce spectacle et goûter au silence de cette forêt, comme si les oiseaux voulaient nous laisser en paix ou être voyeur d’un moment d’amour fou entre deux êtres qui s’aiment. Elle quitta ma branche une fraction de seconde pour se lever de sur ma bouche et se recula. Je la voyais magnifiquement belle, rayonnante, heureuse du petit tour qu’elle allait me jouer. Il est vrai, qui ne voudrait pas se faire jouer ce tour…Humm.
Ses yeux ne quittaient pas les miens. Lorsqu’elle arriva à hauteur de mes cuisses, elle colla ses fesses. Je sentais l’adhérence de leur moiteur, sa vulve ayant légèrement coulée sur elles. Elle reprit sa branche aimée, la décalotta à nouveau bien à fond ne perdant pas une goutte de son spectacle. Elle se mit sur la pointe des pieds. Moi non plus, je n’en perdais pas une bouchée.  J’allais venir déboucher sur l’abricot de son Amour pour Moi.
Elle se hissa du plus haut, me plaça bien au bord de son calice, joua quelques secondes de mon gland embrassant son bourgeon. Sa respiration était haletante. La montée de sa frénésie amoureuse la parcourait, heureuse. Chima n’allait pas tarder à entrer dans son monde dont elle ne doit revenir qu’apaisée.
Alors je sentis qu’elle se laissait glisser contre ma hampe savourant cette entrée en elle, profitant de chaque centimètre pour se délecter.

Elle ne quitta pas un seul instant mes yeux, me souriant détendue et gourmande, assoiffée de jouissance. Je gémissais sans m’en rendre compte tellement ce moment est un véritable cadeau. Elle prit au-dessus de sa tête appui sur une branche. Elle allait s’en servir pour s’y tenir et se faire aller et venir. Je donnais bien quelques coups de rein mais le bois du tronc ne m’y invitait pas trop trop.
Non Chima avait bien calculé son coup, se donner entière afin que je ne bouge pas mais que je jouisse en elle très fort, de cette douce violence qu’elle me témoignait. Que c’est merveilleux d’avoir une femme amoureuse de la sorte qui vous donne son plus précieux des cadeaux avec autant de passion : l’orgasme salutaire. Chima, aidée de sa branche, se donnait de plus en plus vite, ouvrant, fermant les yeux comme le métronome sur le piano, elle rythmait la montée de son envie.
Je n’en pouvais plus. Je me crispais, ondulais sous la puissance de ses allers et retours. J’aurai voulu lui caresser sa noisette brune comme elle m’y autorise de plus en plus, jouant avec ses contractions/décontractions. Cet orifice secret, précieux qui n’appartient qu’à elle, elle avait commencé à me laisser engloutir le bout de mon index, merveilleuse Chima sur le chemin de toutes ses envies les plus folles ou de mes envies les plus folles : l’apprivoiser, la rassurer de troubles trop traumatisant d’un passé pas si lointain. Hélas je ne pouvais pas entravé mais ces images trottant dans ma tête me faisaient être encore plus énorme en elle.
Chima miaulait de Bonheur, je le voyais dans ses yeux. Elle se donnait entière. Énorme, gonflé de mon  désir depuis un long moment, en fait depuis les coupelles charnues de nos fruits préférés, je sentis ma liqueur monter et dans un râle digne du cerf au fond des bois, un râle sans fin traversa le silence de la clairière. J’inondais Chima qui dans le même instant explosa à son tour. Elle se bloqua cria Yahtoooooooooooooo…
Je sentais ses contractions pelviennes m’enserrer comme pour ne pas me perdre. Elle continua de miauler quelques instants. Alors elle lâcha sa branche et s’écroula sur moi cherchant ma bouche comme pour y venir reprendre son souffle. Elle venait de jouir comme elle aime le faire. Elle chercha mes mains, me détacha et je pus la serrer contre moi, ses seins s’écrasaient contre mon torse. Elle ne quittait pas ma langue comme pour me remercier puis elle me glissa à L’oreille dans un murmure de femme amoureuse : « Je t’aime à l’infiny ».  Je lui répondis : « Oh que moi aussi ! ». Je la pris dans mes bras quittant non sans mal ce tronc, jetais la couverte à terre et la déposais délicatement sur la mousse tendre. Nous restâmes un très long moment lovés à ne vouloir ne faire qu’un avant que je ne la pénètre à nouveau pour la remercier à mon tour de tant de Bonheur.

Texte écrit d'un seul jet venant de jouir pour elle au téléphone. Que je t'aime!

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