055 - Deux ans ! Merci à TOI
Ode à Mon Amour, Chimalis
Mercredi 21 janvier 2015
Deux ans, et c’est toujours plus fou…J’en suis heureux!
Volontairement,
pour orner le texte, je l’ai parsemé de photos sans chercher à le
souligner. Elles sont posées comme un langage fait de suggestions entre Chimalis et moi, notre poésie des sens, notre couple de « lumine et sens »…
Deux
ans que je la côtoie, que nous nous confions dans nos mots de tous les
jours. Avons-nous passé un jour sans nous parler d’une manière ou d’une
autre, allant jusqu’à partager dans notre jardin secret des desserts
bien légitimes et ressentis au plus profond de nos cortex cachant notre
intimité, sans nuire aux êtres qui nous entourent et que nous savons
aimer du même élan.
Deux
ans que nous nous abandonnons, que nous naviguons sur des flots de mots
toujours plus ancrés l’un à l’autre dans l’encre des pleins et déliés
emplissant nos Cœurs, construisant un univers complémentaire, et non un
univers de substitution, unis vers un Bien-Être chaque jour plus
gratifiant, renforçant notre besoin d’aimer et de se savoir aimés. Cette
relation se vit dans un partage, ornée de nos photos et vidéos, parfois
de nos visuels et surtout de deux savoureuses rencontres, tout cela rien
que pour nous. Nous n’avons pas besoin de nous exhiber pour exister.
Nous nous aimons à notre façon, dans ce jardin secret qui n’a rien de
secret. Nous sommes bien dans notre peau sans aucune frustration ni
aucun manque.
Nos
esprits, à de judicieux moments, se retrouvent connectés et ainsi
commencent une valse de nos corps en fusion, de nos corps s’embrasant
laissant libre court à nos désirs et envies. Nous étreindre et, dans cet
incendie, nous éteindre en nos orgasmes apaisants.
Je
suis assis sur le divan. La nuit est presque tombée. Seule la télé est
allumée, en sourdine, sur une de nos chaînes « YouTube ». Elle ressemble
plus à un album de photos de nues placées sur un fond de suaves
mélodies, ces tounes que nous aimons. Nous aimons partager ce genre de
vidéos car nous n’y voyons qu’art et esthétisme, ce qui ne peut que nous
pousser à nous lover. Nous aimons ces moments de calme qui débouchent
souvent sur des moments plus tumultueux. La télé agit comme un diffuseur
d’ambiance feutrée. Elle peint une clarté ambiante appelant nos sens à
se sentir reposés. Elle drape la pièce d’une atmosphère coquine comme si
cette clarté jouait à cache-cache. Elle projette ses lueurs changeantes
aux rythmes divers. Elle pianote des couleurs sur le corps totalement
en confiance et abandonné de Mon Amour assoupie sur le divan, ses fesses
sur mes genoux, ses mains sur son ventre, tête tournée vers le dossier.
Elle prend toute la place. Elle est un appel à l’aimer, un appel à oser
la réveiller, un appel à la jouissance, au Bonheur.
Elle
est vêtue d’une robe boutonnée sur le devant. Sa position la rend
impudique et si belle, si désirable qu’il serait pêché de vouloir lui
résister. Elle est là sous mes yeux, une cuisse en grande partie dénudée
et dans les replis du tissu, entre deux boutons, une peau légèrement
ambrée luit sous les rayons de la pièce. Tantôt je l’aperçois, tantôt
elle se fond, n’appelant que mon doigt à la caresser. Une de mes mains
est posée sur sa cuisse la moins dénudée. Je rêvais à je-ne-sais-quoi,
peu importe, le présent est bien présent et je ne peux que désirer jouir
de ce cadeau de la Vie, de cet Être à aimer. La lumière ambiante me
pousse à vouloir apporter à ce corps reposé les feux de son embrasement.
J’aime
ce genre de robe où il faut une éternité pour dégrafer tous ces boutons
afin qu’elle livre un corps qui ne demande que plaisirs. J’aime ce jeu
où je vais essayer de ne pas la réveiller, pris entre deux feux : le
fait-elle exprès ou est-elle plongée dans un rêve comateux, une douce
ouate cotonneuse, un nuage de laine vierge duveteuse…
Vais-je
réussir à l’emporter au plus loin de sa jouissance juste en la
touchant, que dis-je en l’effleurant tout en l’effeuillant. Mon
obsession devant un tel tableau est bien de la faire jouir dans son
rêve. Je me veux le plus doux, le plus léger possible et commence à
déboutonner les plis où elle ne sentira pas grand-chose. Elle est
assoupie depuis un bon moment et je peux penser qu’elle est dans un de
ses mondes secrets que je ne veux connaître la désirant libre de ses
images intimes. De doux soubresauts me font pressentir qu’elle est dans
un monde paisible. Je vais essayer de m’immiscer dans son monde pour
l’emporter au plus haut de ses sommets. Boutons après boutons, le tissu
se libère de ses tensions et, tel un enfant consciencieux devant son
cadeau, l’emballage va dévoiler délicatement ses propres secrets.
D’ailleurs sont-ils secrets ? Bien sûr que non ! Mais lorsque j’aime, je
me dois de toujours agir comme si c’était une première fois. Dans le
sablier du temps, le mouvement perpétuel, n’est-ce pas toujours un temps
nouveau ! Cette approche décuple mon désir de la vouloir toujours plus.
Comme
à son habitude dans la maison, elle est nue sous sa robe et je vois les
joyaux étinceler au gré de la lumière la rendant encore plus désirable.
J’en suis au plaisir des yeux. La contempler avec tout plein d’idées
qui traversent mon esprit, voulant me précipiter à la prendre. Je veux
résister à cette folle tentation accroissant la puissance où je ne
pourrais plus me retenir, moment qui sera d’une violence absolue tout
comme elle. Mon stylo doit se faire sentir sous sa robe tout près de ses
fesses. Il a du mal à se frayer un chemin tellement il est comprimé par
son poids inerte. Je bouge délicatement et enfin il est déployé, déjà
énorme d’envie, prêt à nous satisfaire.
Que
c’est bon de vivre ces délicieux moments. En pareil cas il ne faut pas
se presser. Il faut savoir préparer pour ensuite déguster. Ce doit être
comme un plat de cuisine, les prémices doivent conduire à l’explosion en
bouches, ces bouches à langues qui conduiront à l’apaisement attendu.
Il
y a des moments où il faut être vif mais il y en a d’autres où il faut
savoir prendre son temps pour faire durer le plaisir. Il est bien connu
qu’on ne commence pas par le dessert même si nous savons tous que nous
pourrions le faire. Je veux lui donner l’envie, je veux qu’elle soit au
bord de ne plus pouvoir me résister et je ne vais donc pas commencer par
son dessert. Son intimité, son puits d’Amour est du genre abricot. Vous
savez cet écrin qui ne livre le diamant que quand le fruit est mûr et
s’’écale de ses désirs humides, la sève filtrant de son philtre d’Amour,
cheminant en un mignonnet ru pour irriguer sa noisette brune.
Il ne me reste que cinq à six boutons, les parties du tissu
très tendu. J’arrive à l’instant qui illuminera le splendide tableau
qu’elle va devenir au gré des couleurs projetées par la télé et du feu
crépitant de la cheminée. La pulpe de mon index gauche commence à
caresser les parties de son corps qu’elle me dévoile. Elle dort toujours
paisiblement. Je n’ai pas fait croître ses soubresauts. J’arrive à mes
fins : dans un premier temps la contempler, conscient de la chance
d’avoir rencontré une femme comme elle.
Doucement,
lentement, délicatement le dernier rempart va céder. J’en suis encore
plus énorme. Elle doit bien sentir sous elle mon dard gonflé de désirs,
rien que pour Elle.
Enfin
la robe se fend en deux, tel le rideau s’ouvrant sur un acte restant à
écrire. Elle doit ressentir les appels de son « brigadier » chéri qui
tapent, tressaillant, bien plus que les trois coups d’usage sur ses
fesses!
Qu’elle
est belle, resplendissante. Ce corps magnifique que, jamais, je ne me
lasse ni lasserai de contempler. J’en connais le moindre recoin allant
de ses cicatrices en passant par ses grains de beauté que je surveille
pour, bien évidemment goûter à ses délices. Aimer est un tout!
Ses délices, bien sûr, les sources de ses plaisirs devenant les sources de nos plaisirs :
-
Sa chevelure soyeuse, douce, avec laquelle je joue, caressant ses épaules, sa nuque, tombant sur ses dunes, m’amusant, comme si j’avais un pinceau, à la faire frissonner en son cou, parfois la faisant chavirer si j’y mêle mes baisers…
-
Le grain de sa peau surtout lorsqu’elle se pigmente de l’appel de ses sens ressemblant à une plage de sable chaud où l’écume d’un petit ru chantant entre des lèvres rosies coule entre des replis lissés attendant la vague déferlante qui engloutira son plaisir…
-
Ses yeux encore clos qui me renseignent si bien sur son état, comme si je lisais en elle, à livre ouvert, sa partition d’Amour…
-
Ses deux dunes où s’accrochent deux pics qui s’érigent au gré du degré de la montée de sa jouissance…
-
Ses aréoles, cercles souvent érigés de multiples pointes et, plus il y en a, plus son état est second…
-
Ses cuisses et jambes que j’adore caresser en leur intérieur la laissant croire que je vais noyer mes index dans son Y, son intimité, ce puits d’où naît l’orgasme remerciement du corps qui a tant besoin d’être aimé.
Bien
sûr il est difficile de voir tout d’un astre, il y a des faces cachées
et ce n’est que dans l’emmêlement des corps changeant de position que
tout peut se dévoiler. Là, assis, je ne peux voir la face cachée de la
lune. Ces épaules, la courbe de ses reins, ses deux hémisphères séparés
par un canyon que petit à petit elle aime entrouvrir pour certainement
un jour me l’offrir. Cet orifice souvent martyrisé, souvent blessé doit
être digne d’une énorme attention pour lui faire un énorme plaisir et
non être une contrainte. Pour cela je la laisse tranquillement cheminer,
il y a tant d’autres merveilles à découvrir.
Comme souvent, lors de nos veillées, la table est parée d’une assiette de crudités (1) : grains de raisin, tomates cerises,
petites têtes de chou-fleur ou de brocoli, carottes, céleri branche,
cubes de fromage blanc ou jaune, cubes de melon au miel ou de pastèque,
miel, sirop d’érable, confiture etc. Au milieu du plat ou à côté des
« trempettes » (1). Vous comprendrez bien en voyant ce plat que j’aime
trop faire « trempette » ailleurs…
Nous
aimons prendre aussi une bonne coupe de vin. Souvent nos ébats se
parent eux aussi de ces artifices. J’aime beaucoup jouer avec les gros
grains de raisin ou les tomates cerises (voire les petites carottes...).
Leur pulpe juteuse est très appréciée sur les tétons ou sur le clito,
lorsque ce dernier est tout heureux de montrer sa petite tête nacrée. Je
sais que twister la pulpe de ce fruit sur ses parties la fait gémir et
se tortiller admirablement.(2)
Je réfléchis surtout pour continuer à l’émoustiller sans trop la réveiller tout en sachant que cela va devenir peine perdue.
Je
commence donc à juste effleurer ce qui est à ma portée : ses jambes,
son ventre, sans toujours, pour le moment, stimuler ses endroits qui,
là, à coup sûr, la réveilleraient. Au bout d’un petit moment elle
tressaille un peu plus violemment et change de position. Son réveil ne
va pas tarder alors je continue mes caresses pour qu’elles éveillent ses
sens encore plus. J’aime tourner autour de ses grains de beauté. Comme
elle en a quelques-uns cela fait du divertissement.
La
sentant prête à émerger avant de s’immerger dans le tumulte
bouillonnant de sa chute en son abysse où elle se noie, se débat allant
chercher sa jouissance…Puis d’où elle revient
apaisée, légère et heureuse. Je prends un grain de raisin que je croque
en deux et j’emplis son nombril pour en faire un petit lac sucré tandis
que je caresse au gré de mes envies toutes parcelles de sa peau. Elle
tressaille un peu plus, murmure quelque chose d’inaudible puis enfin ses
paupières s’ouvrent. Ah ses yeux, son sourire, sa joie de vivre! Elle
est un peu hagarde, sans doute un peu perdue ne sachant trop ce qui lui
arrive. Le temps que ses yeux s’habituent à ce clair-obscur, le temps
qu’elle réalise sa situation. Enfin elle me sourit de plus belle
devenant provocante, écartant ses cuisses. Là je sais qu’elle me veut,
qu’elle m’appelle, qu’elle veut prendre son plaisir, qu’elle va se
laisser guider. Inconsciemment mes attouchements dans son demi-sommeil
ont aiguisé l’appétit de ses sens.
Je
deviens de plus en plus pressant. Elle s’est soulevée pour prendre à
pleine main mon stylo voulant elle aussi participer à l’écriture de
cette nouvelle page de Notre Amour.
Elle
glisse son doigt dans son abricot. Elle le fait aller et venir au
rythme de mes caresses ou de la musique. Elle sait que de la voir se
caresser me rend fou, que cela me procure un autre genre de Bonheur :
plaisir de la voir heureuse de se donner aussi son plaisir. Puis,
surtout depuis quelque temps, elle adore ce court moment avant sa
jouissance où elle éjacule dans une sérénité profonde de son être. Je
sais qu’elle a laissé glisser son doigt sur la tête de son bourgeon,
savamment, doucement, tout en stimulant son petit orifice d’où sortira
le geyser abondant qui inonde ses cuisses, la conduisant vers une
apothéose encore plus puissante, ne me laissant que quelques secondes
pour me frayer un chemin entre ses nymphes pour la rattraper et
l’accompagner dans son orgasme provoquant le mien.
Tout
en la regardant dans la clarté changeante faite d’ombre et lumière je
joue avec ses dunes. Je prends la bague de mon auriculaire pour la
passer autour de l’un de ses tétons. Elle a le même genre de bague et je
la lui prends pour parer son autre joyau, les faire se gonfler encore
plus, strangulés à leur base.
Là
ils deviennent très sensibles et, ainsi, le moindre effleurement de ma
part arrache à son corps de doux soubresauts qui se répercutent au creux
de ses reins, dans des désirs plus profonds.
Elle
se redresse, tétons ornés, brillants sous la clarté. Ils sont énormes.
Elle vient me chevaucher, assise sur mes genoux et cherche mes lèvres.
Sa langue glisse entre les miennes pour se caresser mutuellement. Je
prends un grain de raisin et le glisse entre nos lèvres pour le faire
éclater en sa bouche et boire ce jus dans un savant partage.
De
la pulpe de mes doigts, dans son dos, je suis la courbe de ses reins
tandis que mon autre main soupèse un sein, recherche et parcours
l’aréole pour enfin arriver au sommet, reconquérir ses tétons. Elle se
renverse en arrière profitant de son plaisir, appelant de tous ses sens
son dessert si délicieux. Je les pince tendrement, tapote la tête,
presse, tourne autour recommençant inlassablement mes stimulations
changeant de sommet pour ne pas faire de jaloux. Pendant ce temps, j’ai
quitté sa bouche et je couvre de bisous son cou près de son oreille
soufflant sur ses cheveux comme le sirocco sur des dunes; ce qui la fait
deux fois plus se tortiller, vibrer, presque gémir. Cela a le don de la
mettre en transe, s’appliquer à lui donner ses envies. J’affole de mes
mains son corps. Elle se colle plus fortement contre mon torse, tenant
toujours comme pour ne pas me perdre ma baguette magique. Enfin c’est
elle qui la qualifie de magique sans doute car je la transporte dans son
monde d’où elle revient apaisée. Je sens frémir son être, sa chaleur,
son haleine, sa respiration tous ces indicateurs font que je sais
exactement où elle en est dans son désir d’évasion.
Mes
deux mains sont passées sous ses fesses. Je caresse au passage sa
noisette brune ce qui a pour effet de lui apporter un premier violent
sursaut. Je ne sais jamais si c’est toujours de l’appréhension ou un
appel à aller plus loin. Une chose est sûre ce n’est pas ainsi qu’elle
jouira très fortement. D’une main, je parcours le sillon m’approchant de
l’écrin, autre sillon très intime et excitant, de l’autre je caresse
son ventre, ma bouche titillant un mamelon. Ma Belle est hameçonnée.
Elle est à moi. Elle chemine vers son monde. Mes deux index convergent
aussi vers son intimité d’où ruisselle un jus divin. Je lui murmure de
se pendre à mon cou. Je me lève pour la déposer sur l’accoudoir offerte à
ma langue, sa tête repoussée tout en arrière, sur le divan. Elle
regarde en direction de la vitrine du meuble où elle doit nous voir. Je
m’agenouille devant son écrin qui est tout béant. Je lape son jus
d’Amour, écarte entre pouce et index ses lèvres et, là, dans son écrin
de beauté, m’apparait, étincelant, son bourgeon que je m’empresse de
titiller, écartant encore plus les nymphes pour le voir timidement
dresser sa petite tête fragile. Je la sens couverte de frissons. Je ne
la lâcherai plus jusqu’au moment où je saurais qu’elle est prête à jouir
ou du moins très proche. Mon autre main affole son être se posant un
peu n’importe où puis virevoltant vers un autre point. Elle se fait
aller et venir la tête de droite et de gauche. Elle s’adonne de plus en
plus sur ma langue qui pénètre en elle. J’ai pris trois ou quatre
raisins que j’ai placés en elle. Je la goûte les aspirant l’un après
l’autre. Je lui en tends un qu’elle aspire aussi de sa bouche, gémissant
de plus en plus. Elle appuie sur ma tête comme si elle voulait que je
la pénètre encore plus. Je ne tiens plus et je sens qu’elle aussi veut
me sentir me glisser en elle.
Je
me relève, la prends par les cuisses pour bien la relever tout contre
moi. Je suis énorme, elle est ravissante, gémissante… Je l’applique tout
contre mon mât, tirant bien sur mon prépuce, caresse son bourgeon de ma
tête chercheuse, coulisse en son entrée divine, préparant la mienne,
sentant le puits baignant de rosée, grand ouvert… Et là, enfin, elle me
prend et me glisse imparablement dans les délices de son antre.
Je
m’empare de ses hanches et la fais aller et venir vivement. Cela claque
dans le silence de la pièce. Elle gémit de plus en plus fortement, se
bloque un court instant. Je n’en peux plus et dans un râle que je ne
sais contenir j’inonde son abricot provoquant à son tour ses miaulements
qui répondent à l’unisson de nos orgasmes partagés. Je la fais aller
jusqu’à ma dernière goutte lui favorisant la cascade de son éjaculation,
ce phénomène qu’elle vit de mieux en mieux lui apportant un apaisement
encore plus profond. Ses yeux se rouvrent, elle me sourit, quémande mes
lèvres comme pour me remercier de lui avoir prodigué ses plaisirs.
Souvent, ensuite, elle sait venir me remercier, prenant le temps d’une
fellation dont elle a le secret,
…me
faisant vibrer encore, elle, goûtant mon sperme chaud. Elle l’adore
chaud. Moi je l’adore comme elle est, JE L’AIMEEEEEEEEEE.
Joyeux anniversaire de rencontre My Litlle Flea.
Deux
ans ! Que cela passe vite. Une première année de découverte, de
cheminement. Il fallait établir nos certitudes dans une confiance totale
que nous avions de suite ressentie.
La
deuxième année fut celle de nos rencontres. Elles scellèrent une union
que nous voulons indestructibles, sans faire de mal à ceux qui nous
entourent.
Yahto M Chimalis depuis deux ans, c’était hier ,ce sera deux mains !
Que j’aime t’écrire pour que mon stylo devienne en ta main le tien!
(1)
Très souvent au Québec ce genre d’assiette trône sur une table, ce qui
en fait un plat de crudité conviviale, frais et sain, joignant l’utile à
l’agréable!
En son milieu se trouve souvent une trempette alors quoi de mieux pour faire trempette…à deux!
(2)
Lorsque vous jouez avec des aliments dans le minou de Madame, vous vous
devez d’avoir une hygiène irréprochable : avant, des ingrédients bien
lavés à l’eau claire et ensuite, vous devez prolonger vos ébats sous la
douche pour bien laver cette antre du plaisir afin qu’il ne reste pas de
« nourriture » dans ces replis divins. Certaines se sont retrouvées aux
urgences ayant négligé cet aspect, contractant, hélas, une infection.
Les plaisirs ne sont jamais anodins et il faut toujours tout faire pour
qu’il reste des plaisirs et non des contraintes. Rompre la monotonie a
aussi ces attentions. Mais cela ne fait-il pas aussi partie des plaisirs
que de se laver après ce genre de plaisir, et à deux ce ne peut être
qu’encore du plaisir…La poire à lavement savamment utilisée est aussi un
objet de jouissance…
Je
te remercie pour les deux cadeaux que tu m'as offerts et que tu n'as
voulus rien que pour Moi. Je suis très sensible envers la portée de ce
que tu as fait. J'en ai apprécié toute la sincérité, tout l'Amour et
toute l'émotion qui s'y cachait. L'un se cache dans notre coffre.
Merci My Little Flea
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