056 - Mon Cœur en cadeau de fête!
À CHIMALIS, pour sa fête
Deux nombres : 46
64
Pré en bulles
Je ne suis pas un écrivain, je suis TON écrivain.
J’aime T’écrire, essayant, avec mes petits moyens, de TE rendre heureuse.
J’aime TE cacher derrière mes mots TE mettant à nu. J’aime en tricoter TA robe.
J’aime que mes mots T’apportent cette petite clé, cette divine sensation au creux de TES reins, qui ouvre inexorablement TON écrin où TU caches TES Trésors que TU m’offres.
J’aime, avant toute chose, que TU TE sentes bien, de tout TON Être, car il n’y a que cela qui puisse TE donner la force de T’épanouir.
Bien sûr, qui dit bien-être, dit explosion du trop-plein de Bonheur dans la recherche de TES orgasmes puissants.
Alors, dans ces moments-là, j’aime devenir le pâtissier de TES desserts,
…que TU sentes mes mains TE pétrir, TE rouler comme pour affoler TES sens, que TU sentes l’effleurement de dessins ornementaux sur TA peau, que TU sentes mon rouleau à pâtisserie caresser délicatement les franges de TES lèvres béantes d’envies pour y déposer un nectar au parfum de TON jour de fête, que TU sentes la chaleur de mon Amour qui cuit en TOI, à petit feu,
...pour TE croquer à point et TE voir exploser de Bonheur dans TES jouissances infinies.
J’aime la bande de TON gazon, où s’y déposent de si délicieuses bulles que TON abricot distille au rythme de la montée de TES plaisirs.
J’aime agrémenter TES bulles de ma perle d’Amour, rosée de pré-jouissances rejoignant TON pré en bulles.
Je ne suis pas un écrivain, je suis TON écrivain car seule, TOI, CHIMALIS, TU m’inspires et je TE veux vibrante d’AMOUR.
Bonne fête Amour !
Yahto qui T’aime.
Un anniversaire inoubliable
Notre
blog n’aura pas eu la primeur de ce texte. Il est bien plus important à
mes yeux de l’avoir offert à Mon Amour à l’occasion de sa fête en live
sur mYahoo.Chimalis, cette femme que j’adore, que je vénère, fait partie intégrante de l’univers qui me permet de me sentir bien, heureux, ne faisant qu’un avec Elle.
Elle y a sa place au même titre que tout ÊTRE cher, chère de nos entourages. En effet, pour se tourner vers les autres, dans un couple, vers l’autre, il faut avoir su se donner les moyens de se sentir bien. Vous allez me dire que c’est une chaîne sans fin car, pour se sentir bien, nous avons besoin de L’AUTRE. Je vais vous dire OUI, ce pourquoi le symbole approprié est bien celui-ci-dessous que je n’hésiterais pas à nous faire tatouer :
Chimalis est comme la fleur qui éclot et s’épanouit de jour en jour avec une différence énorme par rapport à toutes les fleurs, elle est éternelle.
Quand je me rappelle, deux ans en arrière, sa pudeur excessive noyée dans une volonté de se révéler, de respirer, de vivre pour elle ayant beaucoup trop donné aux autres, j’avais été intrigué par ses contradictions. Je m’étais arrêté pour cueillir cette fleur délicate, fragile, sans la couper de ses racines car elle me disait (et me dit encore) qu’elle voulait s’agripper à sa terre amoureuse. Comme moi, elle sait qu’il y a divers Amours possibles et respectables.
À force de discussions, je comprenais qu’elle voulait s’embellir dans un magnifique jardin secret sans casser son autre jardin où je voulais la cueillir. Il m’a fallu l’accueillir et construire ce jardin que nous connaissons ici, où nous sommes blottis. Je n’avais pas hésité car j’épousais le même désir, celui de ne pas détruire en faisant du mal au jardin déjà en place. Nous voulions juste ajouter un jardin superposé aux nôtres, sorte de jardin suspendu de Babylone ou de hamac entre deux arbres, ceux de nos Vies.
Ce qui m’avait plu en elle est qu’un jour, lors d’une fiévreuse discussion sur « Comment agir dans un couple pour qu’il ne se meure ! », elle m’avait dit qu’elle voulait que je la mène sur le chemin de mes désirs. Je lui avais répondu, qu’avant, il fallait qu’elle partage mes désirs mais que pour partager il fallait goûter à ces expériences, et, que nous ne pourrions cheminer qu’à la seule condition de vouloir ce partage dans un accord total et profond et non pas un vulgaire compromis.
Ce cheminement est en cour. Dans sa vie, comme beaucoup, elle a vécu quelques accidents qui l’ont freinée, bloquée…Ma douceur, ma patience, mon Amour pour Elle, font qu’elle désire à nouveau vivre dans ce partage, ce « donner/recevoir », ces échanges, ce Bonheur qui ne peut s’épanouir que lorsqu’on se sent aimé(e), entouré(e), baigné(e) de sentiments entiers.
Pour qu’elle soit bien certaine de ma sincérité, je voulais absolument la rencontrer.
Rien que pour TOI…MON CŒUR!
J’ai eu la chance de rencontrer aussi son amie Anne. Femme superbe, intelligente, agréable, vive, que de gros « matous imbéciles » avaient griffée de blessures pas encore refermées. Depuis quelques mois déjà, elle venait de renouer avec Chimalis.
Lors de cette visite, Chimalis avait dû s’absenter. Avec Anne, en attendant, nous avons donc passé quelques heures ensemble, nous permettant de mieux nous connaître et surtout d’évoquer de bien belles choses. Nous avions parlé de tout librement, de sa vie, de son désir de rencontrer un homme meilleur. Elle semblait, elle aussi, prise dans ses contradictions, ses incertitudes, ses doutes. Elle m’avait parlé de ses expériences féminines, que parfois elle se demandait si elle ne serait pas mieux avec une femme et avait ajouté : « Tu sais si Chimalis était libre je sais que je la solliciterais, la draguerais… ». Je lui avais répondu que Chimalis avait émis, dans de nombreuses discussions, qu’elle s’interrogeait et ne savait pas trop si elle ne voudrait avoir une expérience féminine.
Début 2015, je décidais de revenir rencontrer Mon Amour et je demandais à Anne, sachant qu’elle attendait vraisemblablement depuis longtemps, si nous ne ferions pas une surprise, à savoir organiser cette rencontre entre elles.
Anne fut enchantée que je puisse vouloir cela. Je lui répondais que pour moi ce n’était surtout pas contradictoire avec mon Amour pour Chimalis. Bien sûr, je prenais un risque énorme, si cela lui plaisait, qu’elle devienne lesbienne. Mais j’avais confiance en mes qualités de séducteur et surtout mon ouverture d’esprit à vouloir satisfaire bon nombre de ses désirs. Puis certaines femmes ne se plaisent pas à n’avoir que des godes entre leurs cuisses. Alors je décidais de courir ce risque avec l’immense peur de la décevoir.
Il me restait à être inventif une fois de plus en mettant en place un scénario qui mènerait à cette situation.
C’est comme cela que, pour l’anniversaire de Chimalis, j’organisais ma venue.
Je ne suis pas candauliste et je ne désirais pas assister aux ébats de ces deux femmes. , Anne m’avait d’ailleurs fait sentir qu’elle non plus. Nous n’avons pas besoin de cela pour avoir une sexualité des plus épanouies. Je voulais surtout offrir à Chimalis un formidable cadeau en cédant aux désirs de son amie qui en rêvait. Peut-être que Chimalis fuirait, ne voulant vivre cela, mais ses dires dans nos discussions me laissaient entrevoir une certaine tentation de vivre cette expérience et la présence d’Anne la rassurerait très certainement.
Je mettais donc au point avec Anne un scénario qui conduirait Chimalis dans son lit ou du moins sa chambre.
Je donnais rendez-vous à Chimalis dans un petit village que nous connaissons bien le matin pour le petit-déjeuner. J’étais fiévreux de revivre ce que j’avais vécu courant 2014. La voir arriver dans sa voiture et l’accompagner au parking, puis la serrer fort tout contre moi nos langues se mêlant, mes mains plaquant sa nuque tout contre moi et glissant pour finir par lui déposer de suaves bisous dans son cou.
Ensuite nous avions pris le petit-déjeuner, yeux dans les yeux, parlant de nous. Elle ne mangeait pas trop sans doute à cause d’une émotion palpable. Nos mains se rejoignaient souvent se caressant entre un croissant et quelques tartines prises.
Je passais de sa main à sa cuisse. Cette petite table était vraiment parfaite pour des amoureux. Ma main réussissait même à remonter sur la chaire chaude, tendre et douce en haut de sa cuisse ce qui lui avait permis de fermer un long moment ses yeux puis, après une forte respiration, de les rouvrir avec un superbe sourire coquin tout en me tirant la langue me montrant son plaisir. Le repas se termina ainsi avec de gentilles attentions en alternance.
Plus le temps passait plus arrivait l’heure que je redoutais un peu. Nous avions élaboré une « charte d’amour » entre nous. Il me fallait donc respecter cette charte c’est-à-dire ne pas l’effrayer. Nous avions comparé notre relation à un escalier dont la dernière marche conduisait au palier de notre fusion totale.
Chimalis ne voulait pas, tout comme moi, gravir l’ultime marche conduisant au palier redouté et dangereux.
Avouer que je conduisais Chimalis dans une chambre d’hôtel la bloquerait sans doute ou la mettrait mal à l’aise.
Je prenais la décision de lui dire que je voulais l’y conduire. Sa réaction ne tarda pas mais je fus heureux de ce qu’elle me dit :
-
Tu sais que c’est très dangereux ! Tu sais ce que nous avons toujours dit !
-
Oui je sais alors fais-moi confiance.
-
Au moins savourer des moments de douceurs comme en 2014, nous étendre coller/serrer, nous étreindre.
-
Pourras-tu résister ?
-
Je te retourne la question ?
-
J’aime mon mari !
-
J’aime ma femme !
-
S’il te plaît…
-
Oui j’ai envie…
Je prenais la main tremblante de Chimalis et entrant :
-
Je suis folle…
-
Oui nous sommes fous amoureux…
Nous entrions dans la chambre et dos à la porte je me collais à Elle échangeant un nouveau long et fougueux baiser, passant une de mes mains toujours dans ses cheveux et l’autre sur sa peau sous son chemisier, avant de descendre finir mes bisous dans son cou, Elle plaçant ses deux mains sur mes flancs.
-
Quel idiot, j’ai oublié quelque chose de très important dans la voiture. Oh quel idiot… Je fais vite !
Il était convenu qu’Anne entreprendrait Chimalis et que si tout se passait comme convenu, c’est-à-dire que Chimalis envisage de vivre cette expérience, nous souperions tous ensemble nous retrouvant au même restaurant que celui du midi vers 19 heures. Il n’était pas loin de 15 heures, cela leur laissait du temps pour s’aimer.
Je ne peux maintenant que laisser Anne vous raconter.
(Anne)
J’étais dans le hall à attendre le signal, tendue, un peu angoissée mais aussi très excitée de retrouver Chimalis avec qui j’avais passé de merveilleux moments.
Je croisais Yahto qui me souriait.
-
Tu
lui donneras quand tu seras au lit et que tu la caresseras, s’il te
plaît. Tu vois tu n’auras qu’à appuyer ici… Ce sont des mots tendres, un
« wave », pour la mettre en confiance… Vivre ce moment, sereine,
légère…Qu’elle prenne autant de plaisir que tu en auras !
-
J’espère qu’elle va bien le prendre.
-
Je le pense! Je lui ai parlé de bisexualité au repas et elle ne disait pas non. Ne me la vole surtout pas !
-
Allons
Yahto tu sais trop bien que moi aussi j’ai besoin de votre trompe ! Non
c’est une autre façon d’aimer, qui n’a rien à voir avec vous les
hommes…
-
Oui je sais !
-
Bien oui tu es trop bien placé pour savoir tout cela. Combien de femmes de ton entourage sont bi ?
-
Cinq !
-
Alors tu vois ne t’inquiète pas, cela risque de faire deux de plus…
-
Oh là pas si vite j’espère que vous allez vous « régalez » ensemble, je l’espère tant! Tu peux m’accompagner à la voiture ?
-
Bien sûr, pourquoi ?
-
Elle
est juste à deux pas d’ici. Je voudrais que tu lui donnes à un moment
que tu jugeras opportun un autre petit cadeau. Tu le découvriras en même
temps qu’elle. J’aimerais que tu t’en serves pour elle, non pour toi, à
moins qu’elle te le demande ou s’en serve…Enfin tu comprendras…
-
Monte et je croise les doigts, elle doit être morte de peur là ! N’oublie pas mes deux cadeaux, je te fais confiance.
-
Promis… Si elle se refuse je te contacte ! Si rien nous faisons comme nous avons dit, vers 19h au restau.
-
Ok Anne
Je prenais une bonne respiration et entrais. Je ne la voyais pas. Cela me rassurait un peu car ainsi je ne tombais pas nez à nez avec elle. J’entendais l’eau coulée. Elle devait être sous la douche. Je dois dire que j’étais très excitée à cette idée. Il me fallait juste ne pas l’effrayer. Avec Yahto nous avions convenu que je me présenterais comme son cadeau d’anniversaire. Je me déshabillais en moins de temps qu’il faut pour le dire. Il est vrai que talon, chemisier, jupe, bas, tanga et soutif cela volait dans les quatre coins de la chambre. J’avançais vers la salle de bain, ouvrais la porte en grand et déguisant un peu ma voix :
-
La femme de chambre pour vous dire que votre cadeau est arrivé…
-
Anne ?
-
Non la femme de chambre…
-
Que fais-tu là? En plus tu es nue !
-
Oui, nue pour toi…
-
Pousse toi un peu tu prends toute la place…
-
Tu es gonflée… Que fai…
-
Oui
Chima oui prends le je te l’offre, suce le comme un bonbon de sirop
d’érable, aspire-le, mordille-le, pince le entre tes dents, tu es belle
j’ai tellement envie de toi…
Je glissais un doigt en son abricot pour mesurer son humidité et goûter à sa cyprine. Elle était assez abondante. Je glissais un peu plus mes deux doigts en elle. Un doux gémissement monta. Je caressais sa petite bille qui roulait sous mon index… Elle se donnait un peu plus vite…Je reprenais sa bouche,
-
Ohhhhhhhhhhhhhhhhhh…Anne je jouiiiiiiiiiiiis…Ohhhh c'est bon…Ohhh c'est doux...
-
Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ahhhhhhhhhhhh Chimaaaa Merciiiiii…
Toutes deux encore mouillées, je tirais les draps et nous nous affalions liées sur le lit…
-
Pour
toi de qui tu sais, tu n’auras qu’à juste mettre en route et écouter.
Il m’a aussi donné ce cadeau pour toi et il m’a bien précisé que tu
devais l’ouvrir, que je devais m’en servir que sur toi à moins que tu
veuilles sur moi. Je devine ce que c’est…
Elle
me remerciait tout en ouvrant l’écrin. Un magnifique sourire traversa
son minois. Je venais de comprendre que c’était plus qu’un gode mais la
réplique du sexe de son amant...
-
Je vous veux tous les deux…
J’écartais bien ses cuisses, jouais à nouveau à effleurer tout autour de son Y, me glissant en rampant sur son être. Mes seins étaient aussi gonflés que les siens, tétons durs en totale érection. J’humidifiais bien le gode dans sa cyprine, jouais à écarter ses lèvres, tout en le glissant petit à petit… Chimalis s’offrait, se décontractait, son abricot était béant d’envie, ruisselant. Elle allait profiter et se donner. C’est alors qu’elle mit en route le wave :
-
Si
tu m’entends, c’est que tu veux vivre cette expérience et je veux que
tu comprennes bien la valeur de ce cadeau : Ta liberté d’aimer. Je suis
là Amour, que tu es belle ! Je veux que tu goûtes à ton cadeau, que tu
sois heureuse, que tu te donnes… Laisse-toi conduire, abandonne-toi. Tu
as deviné, je suis en Toi, tu me sens ? Sens mes caresses sur ta peau,
mes bisous en ton cou, passe ton doigt sur tes dunes, prends le téton
gauche et mets-le en ta bouche… Abandonne-toi, donne-toi, place ton
autre index sur ton bourgeon, sens comme c’est bon, comme ton envie
monte, donne-toi…comme je roule ton bouton, comme je t’affole…
(Anne)
Je ne sais trop ce que Yahto avait bien pu enregistrer mais elle ondulait de plus en plus donnant de forts et brefs petits coups de rein. Il devait la placer dans un monde d’où elle ne pourrait que revenir heureuse.
(Le wave)
-
Donne-toi
du plaisir avec ton amie qui te désire plus que tout. Offre lui aussi
du plaisir. Je vais me taire et te laisser avec Anne. Elle a tellement
envie de toi, de te voir jouir entre ses doigts. Prenez mes toutes
Belles vos plaisirs, jouissez fort. Je t’attends et te veux mienne quand
je vais te retrouver. Jouis Tite Puce adorée jouisssssss fort avec
Anne, jouissez mes Belles…
Le wave devait être terminé car elle posa l’appareil puis se tourna vers moi me demandant de me placer en 69 tout en continuant de la masturber. Je comprenais qu’elle allait aussi me donner. Elle caressa mes cuisses. Elle était douce, tendre, ses doigts glissaient sur ma peau comme les doigts du pianiste sur le clavier. Elle tournait autour de mon coquillage. Sous mes va-et-vient, elle gémissait plus fort. Elle n’arrivait plus à suivre et à me donner. Elle plongeait dans son monde, miaulait. Je prenais alors le gode gonflant...
-
Merci
Anne pour ce merveilleux cadeau. J’en avais envie sans oser… Merci à
vous deux de votre folie…Cet homme je l’aime et qu’il me permette de
t’aimer c’est fou…
Cela dura un petit moment. Nous savourions notre Bonheur. Chimalis me demanda comment Yahto et moi avions manigancé cela. Elle riait aux éclats heureuse comme je pouvais l’être aussi.
Au bout d’un moment :
- Il est où ?
- Ne t’inquiète pas il n’est pas loin. Nous le retrouvons au restau vers 19 heures Nous allons prendre notre douche ensemble et nous prendrons un taxi pour le retrouver. Tu en as de la chance d’avoir un homme comme lui !
-
Oui
je l’aime très fort. Il a su me donner confiance en moi, à m’accepter
et surtout il m’a fait comprendre que je devais vivre mes envies ou,
tout au moins les lui exprimer pour en discuter. Je sais qu’il m’aime
pour moi avant tout.
-
Tu es heureuse ? Moi aussi…
Par la suite, j’ai su que leur nuit fut une nuit blanche, une nuit de folie. Elle me dit que cette liberté qu’elle avait transcendait ses envies pour son homme. Je n’ai aucune peine à la croire, lire dans ses yeux brillant sa joie est quelque chose de sublime.
(Yahto)
J’étais totalement fou de Bonheur de savoir qu’elle avait aimé son expérience. Je la vis arrivant d’un pas décidé. Sa joie se lisait sur son doux visage souriant, j’aime tant la savoir heureuse, enjouée…Elle se colla à ma bouche, cherchant ma langue, une longue étreinte s’en suivit. Je sentais battre très fort son Cœur puis dans un murmure langoureux :
-
Merci adorable Ange, jamais je ne pourrai oublier!
Yahto aime Chimalis qui le rend le plus heureux des hommes – février 2015
« Une sensation indéfinie de l’infini traversa mon esprit : N’existe-t-il pas entre zéro et un, un espace infini : 0,01 - 0,001 - 0,1101 – 0,99999 l’un finy existe…Nous nous y sommes rencontrés, partant de rien arrivant à TOUT! »
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