017 - La vie n’est pas un long fleuve tranquille!
« Le beau temps succèdera toujours à la tempête » Yahto
DÉCHIREMENT
Mon
poème restait inachevé car ,trop contente de te voir, je te l’ai envoyé
et j’ai juste écrit « Je t’aime » à la fin tout à ma joie. GROSSIÉRE
ERREUR : « TROP DE BONHEUR TUE LE BONHEUR! »
Ma phrase n’était pas ambigüe. J’essaie d’être pour tous en même temps. Je t’explique à la fin du poème.
Je
le recopie ici dans les mêmes termes. Je ne te ferai pas l’injure de
changer un mot même celui qui est répété, je le mets entre parenthèse :
« Je sais que je ne suis pas facile à vivre. (Lire) »POÈME
POÈME du xx xx 2012
Je sais que je ne suis pas facile à vivre.
J’essaie d’être pour tous en même temps.
Mais je vis juste toujours au présent.
Aussi incroyable que cela puisse paraitre
Aujourd’hui je me sens soudain renaître
Envie d’écrire ces quelques mots
Tellement hier soir tu étais beau
Là je souris t’imaginant
Secouant la tête un instant
Juste ce petit « Ah » qui sort de toi
Et là je te vois je saute sur toi
Je t’aime
ÉPILOGUE
Ce
poème était destiné à toi et pas à une strophe des échanges bienheureux
sous C…. Donc pas besoin de se concerter pour publier. De toute façon,
pour l’instant mes écrits restent en stand bye sous Evernote.Je les reprendrais pour qu’ils soient moins nuls enfin ce n’est pas le sujet.
Vu que pas trop douée pour faire passer mes idées je vais dire les choses clairement.
Dans ma vie, j’ai toujours fait ce que l’on attendait de moi.
Un bon bébé, un enfant sage, une ado sage...Électrochoque à 14 ans! Il fallait briser le corset, je ne pouvais plus respirer puis la vie m’a matée. Je suis redevenue fille. une bonne épouse, une bonne Maman.
En fait, c’est très facile d’être un mouton. Il te suffit de faire tout ce que l’on souhaite que tu fasses. Tu dis ce qu’on attend de toi. Ton loisir est de regarder les autres vivre et tu calques tes envies, enfin non, en fait, tu n’as pas d’envies…Pas le temps. Tu fais passer celles des autres avant les tiennes.
Tu es infaillible, une façade de marbre, tu ne trébuches jamais jusqu’au jour où tout s’écroule. Tu te demandes à quoi tu sers. Si tu es malade, tu sers à rien alors là tu réfléchis : certains choisissent la rivière, d’autre autre chose.
Et tu te réveilles à 40 ans. Tu te rends compte que tu n’as rien vécu pour toi. Tu n’as rien fait pour toi. Que tu as tout fait en même temps pour tous les autres et que pas un ne s’est soucié de toi. Savoir si tu étais heureuse ou pas, que bientôt arrivera la fin et que tu n’auras pas pris le temps de vivre pour toi.
Et puis tu rencontres un ange qui te dit beaucoup de chose. Il te maintient la tête hors de l’eau. Finalement tu échappes à la noyade. Il te fais croire des choses les plus incroyables. Tu touches le Bonheur du bout des doigts.
ENFIN AUPRES DE QUELQU UN J’ÉTAIS MOI-MÊME, LIBRE DE VIVRE, DE PARLER, DE PENSER.
DONC, NON TU N’ÉTAIS PAS COMME « TOUS »
VOILÀ ce que voulais dire cette phrase et tu n’étais pas dans ce « TOUS » enfin c’est ce que je pensais ce matin.
Je pensais que tu étais de ceux qui ne souhaitaient pas me formater à leur image ou qui essayaient de me faire rentrer dans la boite pré formatée de ce qu’ils souhaitent que je sois. Je pensais que tu étais de ceux qui placent la liberté de tous au- dessus de toi. C’est surement le cas avec les personnes qui te sont proches.
Plusieurs fois j’ai doute quand tu m’attaquais SUITE à des coms ou des likes que je plaçais. Ensuite devant ton mal-être, au début, j’allais modifier, non par conviction, mais pour te faire plaisir. Puis une fois cela n’allait pas assez vite alors tu as monté le ton, montré ta colère. Ta phrase ultime dans ce chantage affectif (chantage n’est pas le bon mot) c’est l’ignorance....tout en sachant apparemment que je souffrais.
Donc ce soir de chez moi, alors que je t’attendais en jouant sur Fb, je me suis dit : « Mais que ce passe-t-il...Les choses dérapent, peut-être fait-il partie des « TOUS » dont il a envie de faire partie.
Il ne veut pas être le seul qui me laisserait vivre auprès de lui, libre.
Alors oui j’ai mis ce com et observé. VOILA.
J’ai retiré ce com comme tu le voulais Y...
INCOMPRÉHENSION
Ou « Il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veux pas comprendre » Moi
ou « Parfois il doit falloir accepter de se faire du mal pour avancer » Moi
ou « Comme un mot, un seul, peut aveugler »
Parfois
on reste aveuglé et l'on fait des fixations par souvent manque de
confiance en soi ou par peur, peur de perdre celle en qui on a mis un
espoir.
Il faut se replacer dans ce contexte ou te voir évoluer me faisait mal, car on a aussi le droit d'avoir mal. Ce fameux « TOUS » mêlé au contexte de tes agissements en effet je n'avais pas su l'analyser, l'ayant pris pour « TOUS les
autres » Et justement je ne voulais aps être tous ces autres mais bien
désirer ton exclusivité, réaction fondamentalemnt égoïste.
(je n'ai pas terminé)
(j'attends la suite avec impatience mon ange)
Commentaires
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