017 - La nouvelle directrice de l'agence bancaire

Je n’aimais pas du tout le courrier que j’avais reçu de mon agence bancaire.

Ma conseillère qui généralement était très compréhensive avait été mutée dans une autre agence et c’est en personne la nouvelle directrice de l’agence qui souhaitait me rencontrer. 

Et son courrier avait la désagréable forme d’une sèche convocation. La mention « L’étude de votre compte nécessite de faire très rapidement un point complet. Veuillez prendre d’urgence rendez-vous par l’intermédiaire de mon assistante » ne présageait rien de bon.

A peine je m’annonçais et indiquez mon rendez-vous à l’accueil que la Directrice qui semblait sermonner une de ses salariés m’interpella.

« Ah, Monsieur Dupuis, très bien, vous êtes venu, entrez dans mon bureau, j’arrive dans deux minutes »

Pas facile, cette prise de fonction, je venais d'être mutée dans cette nouvelle agence pour faire un peu remonté les chiffres.

Mon supérieur, Mr Clerc m'avait clairement faire comprendre que si je voulais poursuivre ma carrière dans cette banque, il faudrait que je fasse mes preuves comme chef d'agence. Et que je redresse certains comptes. Il m'accorda un délai de six mois pour le faire, sinon je redevenais son assistante soumise à tous ces caprices.

J'avais beaucoup de pressions car je voulais me libérer de lui, de l'emprise qu'il avait sur moi, aussi bien dans le domaine privé qu'au travail. En fait ma seule porte de sortie maintenant pour moi était de transformer l'essai de cette mutation.

C'est avec cette pression sur les épaules que j'avais attaqué cette première semaine de travail. J'avais déjà demandé un relevé de tous les comptes débiteurs qui ne retournaient jamais dans le positif. Et nous avions envoyé des convocations

Dans cette agence, chacun des employés avaient sa propre méthode, aucun suivi, j'étais perdue, et je ne voulais pas renoncer. Parfois je m'emportais contre les conseillers, mais il s'agissait aussi de mon avenir.

Quand Virginie me dit qu'elle avait fait une erreur dans les courriers et que finalement seulement 10 sur cent étaient partis.
Je n'ai pu retenir mon sermon. Alors quand j'entendis le premier client qui s'annonçait  encore sur le coup de la colère je le fit passer dans mon bureau un peu sèchement

Il est assis dans le bureau et il m’attend. Je rentre et je le regarde de haut en bas. Humm intéressant,  bel homme, un physique avenant, les épaules assez large mais il semble vouté. Il est dos à la porte du bureau, je m'approche de son siège et je lui tends la main. Cela l'oblige à me regarder en levant la tête. "Bonjour Mr Dupuis" il me sert la main. "Bonjour Madame.»

Je m'installe à mon bureau je cherche son dossier dans une pile, "ah décidément, elle n'aurait pas pu me les classer par ordre d'arrivée tous ces comptes en dysfonctionnement!!!"

Je m'énerve je reprends tout les dossiers "ah ca y est, Mr Dupuis, c'est ca !"

"Oui"

J'ouvre le dossier, je tape son numéro pour l'afficher sur l'ordinateur

"Oulla, mais ca ne va pas du tout, vous vous rendez compte que vous êtes à découvert depuis plus de 6 mois, il va falloir redresser cela, je ne peux pas me permettre de cautionner cela plus longtemps, comment vous en être arrivé là, il va falloir vous reprendre, allez dites moi tout ?

Je n’étais pas du style à partir perdant, j’avais réussi à baratiner la précédente banquière pendant des mois, en lui faisant suffisamment de charme. Cette nouvelle directrice avait l’air bien moins maniable. Vu comment elle semblait rigide et offensive, il ne devait pas être judicieux de prendre avec elle un ton paternel et rassurant. Ton qui avait pourtant si bien réussi avec mon ex chargée de compte. A mon avis il fallait mieux la jouer dos rond.

En lui serrant la main, son regard me fusilla des yeux, un peu comme pour me dire, « vous savez pourquoi vous êtes là ?».

La voir pester sur l’incompétence de son personnel à chaque phrase me confortait dans le portrait du personnage.

Son premier commentaire en voyant l’état de mon compte ne démontrer en rien un esprit diplomate.

« Dites-moi tout », sa formule fit plusieurs fois le tour de ma tête avant que je puis trouver les premiers mots. Le ton de sa voix était, comme son regard, fait pour vous déstabiliser.

« He bien, j’ai eu une très mauvaise passe, mais cela devrait s’arranger dans quelques temps… »
Je me sentais bien moi à l’aise que lors des entretiens avec sa confrère.

« Mon entreprise, enfin celle qui m’employait à fait faillite, et je me suis retrouvé avec une grosse chute de revenu et ce sont surtout les crédits de ma maison qui m’ont fait passer dans le rouge».

Elle regardait ses ongles, ou plutôt elle les admirer, comme si mes paroles ne l’intéressaient  pas. Elle avait dû suivre des cours pour apprendre à déstabiliser son interlocuteur. J’avais l’impression de parler à un mur.

« Cécile, la personne qui s’occupait de mon compte, avait bien compris ma situation et me faisait toujours confiance. J’ai plusieurs pistes pour retrouver un poste avec une rémunération équivalente. J’ai juste besoin d’un peu de temps. »

A ma grande surprise, elle ne me laissa pas poursuivre mon baratin.

Ah oui je vois ENCORE CECILE !!! décidément cette fille, si on l'avait laissé faire elle aurait coulé la banque et tout le groupe.
Bon jouons carte sur table, le baratin que vous serviez à Cécile ne marchera avec moi.

Il va me falloir plus de certitudes pour vous accorder du temps...."

Vous vous rendez compte que vos Assedic s'élèvent à 1000 Euros par mois et que vous en dépenser presque 2000.

Il va falloir que vous soyez très convainquant mon petit monsieur pour que je vous accorde du temps pour recouvrir votre découvert et repasser en positif.

Vous savez si vous n'avez plus les moyens de vivre dans une maison , il vous faudra peut être envisager une autre solution.

Enfin je ne sais pas, quel sont vos pistes, vous avez envisagé de faire des petits boulots. Pour essayer de compléter un peu votre revenu.

Sinon on va devoir passer ensemble au peigne fin toutes vos dépenses afin de voir lesquelles vous pourriez réduire.

Nous allons commencer par passer en revue vos prélèvements mensuels.

Voyons voir je tire la liste de vos prélèvements

                                               - la chaine du X
                                               - F party
                                               - Erosty blog
                                               -Canal FC
                                               Etc. etc. ainsi que d'autres

A quoi correspondent ces sommes, ces dépenses sont elles vraiment indispensable ?

Passons maintenant aux dépenses de votre carte bleue, je vous édite la liste des dépenses depuis trois mois.

Je sors deux feuilles de l'imprimante et je lui tends.

Je le regarde la tête rentrée dans les épaules, et décidément je le trouve bel homme. Cela fait longtemps que je n'ai plus eu de relation avec un homme. 


Mon intuition se vérifia en moins d’un battement de cils. Cette directrice était tout sauf une âme sensible.
Avec Cécile, j’aurais pu terminer mon séduisant argumentaire et après avoir bu mes paroles, elle aurait simplement dit « Bien Monsieur Dupuis, je compte sur vous ».
Je n’aimais pas du tout le la tournure que commençait à prendre cet entretien. Le fait de la voir énoncer à haute voix mes revenus et mes dépenses était très désagréable. C’était légèrement humiliant de recevoir ces chiffres en pleine figure. Cécile ne se serait jamais permis de m’étaler ainsi des éléments aussi intimes.
Je dû me contenir, pour ne pas réagir lorsqu’elle m’appela « mon petit monsieur ». Je me disais, reste calme Alain, reste calme, si tu t’énerves tu vas sortir de ce bureau sans ton chéquier ni ta carte de crédit.
Elle commençait à pousser le bouchon en me voulant me faire vivre en appartement et aller faire à gauche et droite des petits boulots.
Mais, je restai sans réaction lorsqu’elle eut le vice de me citer les abonnements à des sites de rencontre. Sa question et son commentaire sur le côté indispensable me figèrent sur la chaise.
Elle me regardait fixement, attendant une réponse de ma part. Je ne pouvais pas lui dire de quoi il s’agissait et en mon fort intérieur, je m’estimai chanceux qu’elle ne connaisse pas ces services. J’esquivai sa question en lui répondant :
« Heuuu, je vais voir, oui sans doute, je dois pouvoir en faire l’économie »
Je regardai les deux pages de mon relevé carte bleue, et de plus en plus gêné, je repris ma formule.
« Oui, là aussi, je dois pouvoir faire des économies ».
J’avais certes un peu abusé des clubs privés et j’avais l’impression qu’elle n’allait pas tarder à me faire la morale. En plus, ces idiots de club, pourraient faire apparaitre différemment le nom des débits au lieu de marquer en clair « Club privé… ». Le pire c’est que je la sentais en train de lire les mêmes lignes sur son écran.
Je pris les deux feuilles et les pliai avant de les mettre dans ma poche pour les faire oublier.
Je devais reprendre la main.
Je fis un effort pour sortir mon ton le plus poli possible.
« Oui Madame, je peux faire des efforts, je vais voir tout cela en détail en attendant que je retrouve un travail bien rémunéré. »
Elle continuait à lire son écran, comme si mes paroles étaient sans intérêts.
« Je vous propose Madame la Directrice de refaire un point le mois prochain ».
Non Mr Dupuis vous en tirerez pas à si bon compte dans quinze jours vous devrez être en mesure de me  présenter un plan de redressement de vos dépenses en me marquant celles dont vous ferez l économie et de plus je veux avoir une attestation de pôle emploi qui me certifie que vous êtes bien en recherche d emploi

Je continue de lire à l écran tous les noms de débits de sur les écritures de débits de carte bleue c est drôle on dirait de noms de boîte de nuit. Je prends une feuille et je note ses noms
L un d entre eux revenais sous "les cinq sens" l autre sous celui de l orchidées  

Je me disais qu’il ne se gênait pas pour en pus fréquente les salons de massage et les boîtes de nuit.

Je regardais dans l annuaire pour trouver les adresses et décidais de m y rendre des le soir même.

J arrive au premier lieu il s agit d une tour en pierre carrée avec une porte noire avec une trappe 
Tiens c est bizarre pas d enseigne, juste un battoir de porte et une boite à lettre 
Je vérifie le nom sur la boite à lettre c est bien ici les cinq sens
J actionné le battoir une fois le coup retenti dans la porte
La trappe soir et je vois un homme avec un masque que me demande le mot de  passe
Je lui dis euh sésame ouvre toi
Non donc en deuxième chance donnez moi le nom d un membre et s il est présent on vous fait entrer
Dans mon élan de curiosité, je vous savoir se qui se passait derrière cette porte
Je lui dis Mr Dupuis euh c est Alain Dupuis qui m à proposer de venir
La porte s ouvrit et je fus introduite dans un long couloir sombre noir et rouge les murs tapissés de velours
Le mur laisse apparaître des ouvertures masqués par de lourds rideaux épais
On attendait une musique de fond assez chaude et de nombreux soupirs et gémissements qui s intégraient bien dans cette musique sans doute l artiste avait voulu créer une ambiance particulière et il avait plutôt bien réussi son effet
Le corridor semblait long et immense bien plus long que la tour extérieur il s agissait sûrement d une maison troglodyte creusée dans la roche 
Au fil des couloirs l ambiance était de plus en plus lourd et dans mon tailleur tirée à quatre épingles et mes talons je me sentais de moins en moins à l aisé.  Je crois que je me suis encore fourre dans un truc bizarre
L homme s arrête devant une tenture il passe la tête et dit Alain ton invitée est là
Et la je me suis rendue compte du ridicule de la situation dans laquelle je me suis encore fourrée
Intérieurement je poussai un demi ouf de soulagement, je n’avais pas mon mois habituel, mais quinze jours c’était toujours cela. Je ne me fie pas prier et la salua sans demander mon reste.
« Oui, je m’occupe de tout cela Madame la Directrice, à dans quinze jours ».
Je passai l’après-midi à faire le point sur cet entretien, j’avais beaucoup de mal à renoncer à mes abonnements préférés et encore plus à mes soirées en club. Finalement, c’était assez pour une même journée, je verrai cela tranquillement demain. Pour le moment, je vais aller me changer les idées au Cinq Sens et retrouver la belle Natacha.
J’étais en train de déguster tranquillement ma première coupe de champagne en attendant que Natacha se libère, lorsque Peter m’annonça l’arrivée de mon invitée. Peter devait encore confondre, mise à part Natacha, je n’attendais personne.
Je me levai, la coupe à la main, et entrouvris la tenture, curieux de voir la belle plante qui ne m’était pas destinée.
Je failli renverser la coupe, étant sûr d’être plongé dans un de mes cauchemars habituels. Planté, derrière le rideau je mis quelques secondes à me rendre compte que c’était bien la Directrice de ma banque. Si sa présence était incompréhensible en ce lieu, son tailleur de cadre supérieur aux dents longues était assez excitant mais dénoté totalement avec l’ambiance du lieu.
Je fus prie d’un effroi inconnu, et l’idée de cette banquière me poursuivant pour me faire la morale et déjà vérifier mes résolutions me traversa l’esprit.
« Madame, Madame la Directrice, je… je… vous ici…»
« Je, je…, je vais vous expliquer »
« J’ai…, j’ai fait le point cette après-midi »

A mesure que je bafouillai n’importe quoi, je me rendais compte du ridicule de mes propos et de la situation.

« Je, je, je suis venu ici comme pour une sorte, une sorte d’au revoir »
« Hé bien entrez… »
J’avais l’habitude de dominer la situation, et là, j’avais l’impression que le poids de mes vices était en train de s’abattre sur moi.
« Vous, vous prendrez bien une coupe ? »
Elle pénétra dans l’alcôve sans un mot, après avoir regardé chaque recoin, son regard me détailla des pieds à la tête. Je l’imaginais déjà en train de calculer le montant de ma carte bleue, à y ajoutant la coupe de champagne que je lui avais proposé.
Quand le rideau s'ouvrit et que je le vit habillé très chic, il se dégage de lui une assurance et un charisme que j'étais loin de ressentir à cet instant.
Autant dans ma banque, j'étais sure de moi, mon statut, mon assurance, autant ici j'étais un peu perdue. Je ne m'attendais pas à cela, et petit à petit je me rendais compte du lieu ou je me trouvais.
Ce lieu me rappelait aussi les endroits ou Mr Clerc me forçait à l'accompagner pour aller boire des verres en compagnie des bons clients.
Mais je n'avais jamais imaginé qu'un jour je m'y retrouverais en y venant par moi même. Me retrouver dans ce milieu me fit l'effet de sentir un feu qui commençait à couver à l'intérieur de mon corps.
Il me balbutiait au début quelques paroles, que je ne comprenais pas, quand il me demanda si je voulais prendre une coupe. Je n'arrivais rien à dire, j'entrais dans la pièce, je jetais un regard circulaire sur les lieux. Des images me revenaient par flash en mémoire
La seule chose que je pu répondre fut "oui merci". Puis d'un coup mes jambes me lâchèrent et je dus m'assoir sur un canapé pour ne pas tomber.
Je garde le visage fermé, puis je regardais Mr Dupuis, heureusement il ne s'est rendu compte de rien.

Je n’en revenais toujours pas de sa présence ici. La jupe légèrement relevée, laissant apparaitre ses genoux, à la place habituelle de Natacha.

Elle ne disait rien et se contentait de me fixer.

« Je reviens, je vais vous chercher une coupe »

Arrivé au bar, Peter m’adressa son sourire discret et coquin.
« Alors Monsieur Dupuis, c’est un plan à trois ce soir !!!! »
« Mais non Peter, j’ai un gros gros problème là. C’est la directrice de ma banque et je ne sais pas ce qu’elle fait là. »
Peter me regarda l’air ahuri.
« Il faut absolument que tu interceptes Natacha, je suis suffisamment grillé là. »
Peter acquiesça et ajouta
« Natacha va être déçue Monsieur Dupuis, mais elle va beaucoup rire je pense »
Je n'avais pas l'envie de rire.
"Autre chose Peter, si jamais elle te demande le prix des coupes du champagne, tu lui dis que c'était offert par la maison"

Ma coupe de champagne à la main, devant le rideau de l’alcôve, je n’arrivais toujours pas à comprendre la situation. Mais il était hors de question de me laisser faire la leçon. J’étais sur mon terrain ici.
Son regard était vraiment déstabilisant, je lui tendis la coupe et prenant l’air naturel.

« Voilà pour vous… Au fait, je viens de me rendre compte que je ne connais ni votre nom, ni votre prénom »

 Le temps qu'il part chercher les coupes. Je continuais de me demander ce que je faisais là. Et dans quelque traquenard je me suis encore fourrée. J'avais encore les reflexes conditionnés par ses soirées avec Mr Clerc où.... Enfin, non je ne peux toujours pas vivre éternellement dans ce souvenir. Il faut que je me reprenne. Je dois changer, je suis devenue maintenant de l'autre clan, celui des dominants. Même si pour l'instant mes reflexes sont encore les anciens.

Je reprends contenance, et lorsqu'il rentre dans le boudoir, je le toise. Il me tend la coupe et me demande mon nom.

Je me cale dans le fauteuil et je croise les jambes. Je le regarde et je lui réponds

'Mademoiselle Grandin, Sarah" et j'enchaine sur ce que je voulais lui dire

"Je vois que vous continuez vos frasques. On se voit le matin vous me dites que vous ferez attention et là je constate combien vous faites attention!"

Comment voulez vous vous en sortir ? Expliquez-moi un peu quel genre d'endroit est-ce ici...?

Vous veniez faire quoi ici, je ne vois personne à par moi dans cette pièce. Votre attitude est très étrange.

Vous savez j'aimerais bien vous aider mais si vous n'y mettez pas un peu du votre. Je ne vais pas y arriver et ensuite je ne pourrais empêcher la banque de vous poursuivre. Vous vous mettez dans une situation très délicate.
Il va falloir me fournir quelque explication...mais avant tout raconter moi ce que vous faites ici ?

Même pas un merci, un regard limite méprisant et le même ton hautain que dans son bureau.
Elle avait vraiment décidé de me gâcher la soirée. Dans d’autres circonstances, ce « Mademoiselle » aurait dû me remplir de joie, « Sarah » un de mes prénoms favoris très évocateur pour moi aurait dû être l’augure d’une soirée coquine à souhait.
Je dû refaire un effort encore plus intense que dans son bureau pour ne pas exploser et lui dire « Mais de quel droit ».  Reste calme Alain, reste calme, cette femme à le pouvoir, en un clic de souris, de te mettre à poil en te sucrant ta carte bleue et ton chéquier.
Sa façon de me parler était incroyable, jamais on ne m’avait fait la leçon ainsi. Sa curiosité, ou plutôt son toupet me laissait sans voix. Quel genre de lieu ? Pourquoi je suis seul ? Ce que je fais ici ? Je restai médusé.
Je ne pouvais tout de même pas lui dire que j’attendais Natacha, que Natacha était une de ces rares filles à raffoler de la fessée et que je prenais mon pied à la lui donner. Tiens, d’ailleurs cette Sarah en mériterait bien une. Je me vois bien lui soulever la jupe, baisser sa petite culote et lui faire rougir ses petites fesses de garce.
Qu’est-ce que je pouvais bien lui raconter. Ses questions si intimes et si indiscrètes mettaient à mal mes facultés de baratineur.
« Heuuuuu, et bien, et bien Madame Grandin. Heuu, Mademoiselle Grandin. »
Voilà que je bafouillais maintenant, un comble. 
« Eh bien, vous savez, le stress de ne pas retrouver un emploi, j’ai besoin, j’ai besoin de me détendre un peu. Mais, mais, c’est promis, je sais que je dois faire des économies et limiter mes sorties en club privé. Je vais voir aussi pour des petits boulots comme vous me l’avez conseillé».
En la voyant déguster son champagne, j’avais la désagréable impression qu’elle prenait plaisir à me voir dans un tel embarras. Avec elle je savais que mon légendaire baratin ne serait pas efficace, je devais mettre de côté mon amour propre et me montrer plutôt docile. 
Je l'observais gêné par mes questions, embarrassé dans ses réponses. Il était mal à la l'aise. Je sentais un sentiment de puissance m'envahir. Et si maintenant c'était mon tour de prendre le dessus sur les hommes. Pourquoi n'aurais je pas droit moi aussi d'essayer, de connaitre ce que ressentait Mr Clerc, lorsqu'il abusait de la situation.

Vous ne répondez pas à ma question, Mr Dupuis, je vous demandais en quoi venir boire un verre ici vous détendait spécialement d'autant plus que les consommations ne doivent pas être bon marché ici
...
Il ne s'agit pas d'un club échangisme, on dirais plus un club très particulier. N'ayez crainte dites moi tout, et je dois avouer que vous avez piquer ma curiosité. Je vous promet de vous donner un délai supplémentaire si vous la satisfaisiez.

Il reste toujours immobile sans piper mot.

Je me demandais vraiment de quel coté il se plaçait celui des prédominants, ou celui des dociles.

Je m'installe encore plus au fond du canapé, les jambes croisées, ma jupe à mi cuisse et je déguste ma flute de champagne les yeux mi clos.

Je tentais d'en savoir plus. "Alors comme ca, vous venez ici pour vous détendre  Je crois plutôt que vous avez besoin d'une bonne reprise en main pour éviter de faire des bêtises". Je dois dire que je suis très tentée d'être cette personne qui vous remettra dans le droit chemin"
Un délai supplémentaire, sa phrase fit tilt dans mon esprit, mais je ne pouvais quand même pas lui dire que je venais ici assouvir quelques passions que la plupart des gens ne comprennent pas et trouvent malsaines. J’essayai de préparer une phrase plutôt neutre dans ma tête, mais peu habitué à ce genre d’exercice, j’avais du mal à construire un argument.
Pourtant il fallait que j’obtienne ce délai.
A mesure que mon cerveau tenter de trouver la bonne formule, elle me donnait une image d’elle plutôt différente de mes premières impressions. J’avais encore plus de mal à me concentrer. Sans doute mon apparente docilité commençait à faire son effet. Elle semblait maintenant très à l’aise dans cette alcôve.
Elle faillit de nouveau me faire sortir de mes gongs lorsqu’elle me parla d’une bonne reprise en main,  et de me remettre dans le droit chemin. Mais, je devais rester zen, je n’avais guère le choix.
J’essayai de me rassurer en me disant, toi ma petite, tu n’as pas l’air de connaître certaines pratiques sexuelles. Ses cuisses, de plus en plus découvertes étaient craquantes et pendant quelques secondes j’imaginais lui faire découvrir la sensation de se faire caresser les cuisses et le dessous de son sexe par le bout de ma cravache. Puis lui infliger la honte de lui faire remarquer que sa jolie petite culotte était toute trempée.
Je commençai à m’exciter avec toutes ces pensées, et je n’avais pas avancé dans mon argumentaire. Le silence devenait pesant et je me mis à improviser.
« En fait Mademoiselle, pour tout vous dire, c’est une sorte de club avec des entraineuses ici. Et, et, pour tout vous dire, il y a une fille que j’apprécie beaucoup. »
Cette façon de parler ne me ressemblait pas, à ce rythme j’allais bientôt avoir honte de moi.
« Oui, oui Mademoiselle, j’ai, j’ai besoin en effet, d’être, je veux dire j’ai besoin d’être aidé. »
J’avais un mal fou à la cerner, elle buvait son champagne avec de toutes petites gorgées, en me regardant des pieds à la tête comme si elle dégustait le fait de me voir si minable à me justifier et à demander de l’aide. Je commençais à me dire qu’elle devait avoir un problème avec les hommes et qu’elle avait des besoins de vengeance.
 Tiens donc un club avec des entraineuses et en plus vous avez une favorite 
Le champagne commençait à faire son effet et ma tête tournait

Je riais "et elle vous entraîne ou votre entraîneuse au fond du gouffre de votre découvert " 

Ah les bulles me font dirent n importe quoi 
Vous savez mon petit monsieur il va falloir vous entraîner ailleurs, ah ah si vous voulez je vous entraîne pour un tarif plus raisonnable

Mais votre entraîneuse, elle monte à cheval sur vous pour vous mener par le bout du nez

Allez Mr Dupuis si vous voulez un délai supplémentaire il faudra être très gentil avec moi ou alors devenir mon maitre

J aimerais que vous soyez à mes pieds ce soir
assis comme u n bon ......

Soudain ma tête tournait de plus en plus, une nausée puis le trou noir 

Je voulais bien lui donner une impression de docilité, mais il y avait des limites quand même. Voilà que son comportement hautain se transformait en moquerie maintenant. Et s’il y avait bien une expression qui me hérissait c’était sa façon de m’appeler « mon petit monsieur ».

Cela ne pouvait être quelques gorgées de champagnes qui la mettaient dans cet état-là lui faisant dire de telles choses. Elle mélangeait tout et ses propos étaient de plus en plus incohérents.
J’hallucinai, en me disant, « tu vas voir ma cocotte qui va être le canasson et qui va être le cavalier. « Etre à ses pieds comme un bon », j’hallucinai encore plus lorsque je la vis tourner de l’œil et laisser tomber sa coupe de champagne.

Il ne manquait plus que cela. Après quelques hésitations, je me levai et m’approchai d’elle.

« Mademoiselle, Mademoiselle ça va ? »

Elle ne pouvait quand même pas me faire un coma éthylique avec trois goutes de champagne.

« Mademoiselle, Mademoiselle ça va ? »

Je lui tapotai les joues, sans réaction. Par réflexe, je déboutonnai sa veste de tailleur ainsi que  les deux boutons du haut de son chemisier. Tiens, cette coquine avait l’air de porter de la belle lingerie comme j’aime, son soutien-gorge en dentelle noire et la forme de ses seins étaient des plus sexy.  

« Mademoiselle, Mademoiselle ça va ? »

Je dégrafai un troisième bouton de son chemisier, pour lui permettre de mieux respirer. Décidément ses seins étaient adorables, voire même exquis.
Elle semblait commencer à revenir lentement à elle et je m’agenouillai pour ramasser la coupe de champagne qui s’était brisé en deux sur le sol. 

Le noir se dissipe, et je vois un homme charmant, penché sur moi, je mets un moment avant de me rendre compte ou je suis. Ah oui, bon sang, je me rappelle ou je suis et pourquoi. Je suis arrivée là mue par ma curiosité. Encore une fois, j'avais le don de me mettre dans des situations les plus inextricables. En plus, avant de venir, j'avais du prendre de la codéine pour le mal de dos, cela n'a pas du faire bon effet avec le champagne. Mon dieu, j'espère que je n'ai pas trop dit ou fait d'âneries.

La dernière fois qu'un malaise comme cela m'était arrivé, c'était lors d'une soirée très étrange, et mes souvenirs l'étaient encore plus. La je n'avais pas de souvenirs de ce que j'avais fait avant le trou noir. Je regarde ma tenue et je me rend compte que mes seins sont presque en dehors de mon chemisier.

D'un bon, je me redresse et je referme les pans, je jette un regard vers Mr Dupuis, un éclair d'effroi me traverse l'esprit.
Je me rassure Non il n'aurait pas osé  faire cela.

Il me regardait en semblant quand même un peu inquiet, et me redemanda encore une fois si cela allait....

"Oui ca va ...." je restais silencieuse en essayant de recouvrer mes souvenirs mais impossible de me rappeler quoique ce soit. Je regarde encore vers mes seins, pensant le pire, mon dieu pourvu que je ne me sois pas donner en spectacle.

"Euh, excuse moi mais je ne sais pas si qui c'est passé. Vous pourriez me le dire ?"


Vraiment, je n’avais jamais vécu une situation aussi cocasse. En une journée, cette femme, Directrice de ma banque avait été odieuse, puis arrogante, elle m’avait gâché la soirée et maintenant elle se trouvait toute perdue à s’excuser et à me demander ce qui s’était passé.
La voyant regarder autour d’elle, puis se rendre compte que son chemisier avait était déboutonné, un sentiment d’effroi m’envahit. Elle était bien capable de m’accuser de viol ou d’avoir tenté d’abuser d’elle.
« Tout va bien Mademoiselle »
« Tout va bien, vous avez eu une sorte de vertige »
« Je, je, je me suis permis de vous déboutonner un peu pour vous aider à respirer »
Elle restait immobile, et semblait toujours aussi perdue.
« Si vous voulez Mademoiselle, je peux vous raccompagner chez vous »
Ce fut mon premier éclair de génie de la soirée. Je la raccompagne chez elle, je m’assure qu’elle dort et je reviens retrouver ma Natacha.
« Vous voulez que je vous raccompagne Mademoiselle ? Je pense que cela serait mieux pour vous.
Ecoutez Mr ..Dupuis, puis je me réveille devant vous à moitié déshabillée, je ne me souviens de rien, je vous demande de me dire ce qu'il s'est passé avant que vous ne "m'aidiez à respirer". La j'ai la tête qui tourne et je me sens pas trop bien.
Alors oui j'aimerais oui si cela ne vous dérange pas que vous me raccompagnez chez moi, en toute discrétion. Vous comprenez avec mon poste à l'agence. Je ne peux pas me permettre que l'on confonde ce vertige avec un comas éthylique.
Je sens encore la nausée, et il me tend la main, pour m'aider à me relever.
Ma main est glacée, il s'en rend compte et il prend ma main entre ces deux mains et la frictionne pour la réchauffer.
C'est la premier fois qu'un homme prend soin de moi comme cela sans arrière pensées.
Je le regarde et je le vois sous un angle nouveau.
Finalement, sa perte de connaissance était la bonne surprise du jour. Pour la première fois je pouvais reprendre le dessus.
 En passant devant le bar, j’adressai un regard complice à Peter, et lui murmura.
« Je raccompagne la rabat joie chez elle et je reviens, préviens Natacha ».

Cette coquine logeait dans un superbe appartement, quand je pense qu’elle me faisait la leçon sur ma petite maison, me suggérant même de me loger dans du plus modeste. Décidément, ces gens de la banque, ils n’ont honte de rien.

Je refermai la porte, et lui demandai ou se trouvait sa chambre. Puis je l’accompagnai jusqu’à son lit.
Voir sa chambre si spacieuse, avec ce lit si parfait, ce miroir immense qui couvrait l’un des murs, hummm, je n’étais pas du genre à abuser de la situation, mais quand même.

Je lui apportai un verre d’eau tout en commençant mon numéro de charme.

« Buvez Mademoiselle, cela vous fera du bien »

« Je peux rester un peu si vous le souhaitez »

« Je vais vous aider à enlever vos escarpins, vous serez plus à l’aise »

Humm merci, beaucoup Mr Dupuis, vous savez j'ai impression d'être dans un manège,  si vous pouviez rester et m'aider un peu. Je m'assois sur le lit et mes jambes penchent dans le vide face au miroir

Je lui tend ma jambe pour qu'il puisse me retire ma chaussure.

Il prend ma cheville dans sa main, le sentir sa chaleur à travers mes bas, je ne peux m'empêcher de pousser un gémissement.

Sa façon de retirer mon escarpins, un vrai délice. hummm. J'avais un peu plus chaud, cela faisait longtemps que je n'avais été touchée par un homme.

Et celui ci commençait à enflammer mon imaginaire, je voulais qu'il reste là au petit soin pour moi, mais je ne savais pas comment le retenir. la seule chose que je pouvais faire était de feindre la faiblesse pour le faire rester plus longtemps
ou alors le forcer à rester par un autre moyen. Mais je préférais l'attirer avec mes atouts plutôt qu'avec ma position mais l'un ne va pas sans l'autre.

"Oui restez un peu s'il vous plait, je ne me sens pas encore bien"

Il prend mon deuxième escarpin dans sa main, et j'en profite pour faire glisser mon pied sur sa cuisse. Négligemment celui ci effleure son entrejambe.


Finalement, mon stratagème fonctionnait à merveille. Plus question de « mon petit monsieur », mais un charmant et distingué « Merci beaucoup Monsieur Dupuis ». C’est ainsi que je préférais la voir me parler.

Voyons voir, si cette coquine est facilement excitable.

Je m’amuser à faire durer le plaisir et à prendre tout mon temps à la libérer de ses escarpins. Mes doigts flirtaient avec la lanière, avec la boucle, et un peu avec la texture de son bas. Humm, j’adorais cela…
Je prenais plaisir à faire de même avec sa deuxième chaussure. M’amusant à faire glisser mes doigts sur son bas comme un pauvre maladroit. Elle allait forcément ressentir quelques frissons.

Oh la coquine… je sentis son pied effleurer, puis glisser sur mon pantalon. Oh la coquine… Elle va finir par me faire bander avant même que je la fasse frissonner…

Je posai sa deuxième chaussure, tout en essayant de rester de marbre. Puis je pris son pied entre mes deux mains.

« Voilà Mademoiselle, j’espère que vous vous sentez mieux maintenant. »
Je lui prodiguai un léger massage du pied, tout en remontant sur sa cheville.

« Il faut vous détendre, après ce choc Mademoiselle »

Son autre pied, reprit sa position et glissa sur mon pantalon droit vers mon sexe qui se dressait.

« il, il faut, il faut vous détendre Mademoiselle »

Quand il me demanda si je me sentais mieux, il ne pouvait pas deviner à quel point je me sentais mieux.
Mon pied se posa sur son sexe et subrepticement je lui fis faire des petits mouvements, je le sentais grandir sous la plante de mon pied

Quand je le vis fermer les yeux, un frisson me parcourut et je ne put retenir mes cuisses de se serrer convulsivement.

il lâcha mon pied et je puis ainsi lui faire de lent massage entre la plante de mes pieds. Ce massage avait pour effet de le faire grandir encore plus et de faire relever ma jupe encore plus haut. On pouvait maintenant voir le bout de ma guêpière et les attaches de mes bas.

Humm j'aime qu'il me voit ainsi, offerte à son envie. Cela décuple la mienne. Je le regardais dans les yeux en continuant de le masturber et je relevais ma jupe encore plus.

Ces yeux étaient fixées sur mon corps, et plus il me fixait plus l'audace montait. Je voulais lui faire oublier son entraineuse préféré. Je voulais qu'il ne pense qu'à moi. je relevais encore ma jupe et je commençais à me caresser les cuisses.

Mon regard lui disait combien j'avais envie de lui appartenir entièrement. J'écartais mon string et je fit glisser mon doigt dans mon sexe. Je me masturbe de plus en plus fort en lui disant que c'étais lui qui me faisait cet effet.

Je me caressais tellement que je fus surprise par l'orgasme là sous ces yeux. Et dans le délire orgasmique,  je le suppliais de faire de moi sa chose.

Découvrir à quel point cette coquine cachait bien son jeu me ravit. En plus d’être une sacrée coquine elle savait se servir de ses deux petits pieds à la perfection. A mesure que la dextérité de ses pieds firent gonfler mon sexe je me disais, « vas-y ma petite, continue ».

En plus de ce petit plaisir, elle commençait à m’offrir un joli plaisir visuel. Très jolie lingerie, Mademoiselle avait du gout. J’eu la puissante impression qu’elle obéissait à mes pensées. A peine mon esprit exprimait le souhait de la voir se caresser, que ses doigts se posaient sur ses cuisses. Oui c’est ça, montre-moi comment tu te donnes du plaisir. Elle se masturbait de plus en plus et obéissait à chacun des encouragements de mon esprit.

Elle ne se contrôlait plus et à ma grande satisfaction elle était en train de se faire jouir sous mes yeux.

« Hummm, ma chose…. »

Je me levai, et la regardai comme si j’hésitai à savoir si elle en valait la peine.

« Ma chose… Mais cela se mérite Sarah »

Mon plaisir était doublé par l’idée que le matin même elle me faisait la leçon dans son bureau.

Je me dirigeai vers le fauteuil et m’installai confortablement, puis je la fixai du regard.
« Lève-toi et enlève moi ce tailleur que je puisse admirer ta lingerie »

J étais surexcité et je voulais qu il me désire encore plus comme il n avait jamais désire une autre avant moi. Pendant ma première jouissance, j avais du laisser les mots sortir de ma bouche puis maintenant il me demandait de le mériter et me donnait des ordres
Une part de mon esprit se rebellait à cette idée et j aurais du mettre cet impudent dehors mais déjà mon corps ne m appartenait plus et je me mis debout devant lui 
Beaucoup plus petite sans talon, je commençais à défaire les boutons de ma veste de tailleur timidement lorsque sa voix claqua dans l air "mieux que cela" 
Cela déclencha en moi l envie de voir s allumer dans son regard l étincelle de désir qui l embrasserait en entier. Je lui fit alors un show digne des plus grande danseuse de peepshow.
J étamais une danse de la séduction alternant déshabillage et caresses voluptueuses sur mon corps. J allais même sur la fin frotter mon sexe sur son genoux en lui tendant mes seins
Une fois nue, je me mis à genoux devant lui les yeux baissés tenant mes seins en offrandes

La voir ainsi toute appliquée, toute obéissance me comblait de joie. C’était parfait, cette coquine  allait me permettre d’assouvir mes envies à moindre frais.
Elle se déhanchait à mes genoux comme une petite gamine en chaleur.

« C’est pas mal Sarah, on dirait même que tu as fait cela toute ta vie »

« Lève-toi ! »

Je posai la main sur sa fesse, et la caressa lentement.

« Hummm, très jolie et douce petite fesse »

Je cessai de la caresser et lui donna une toute petite claque qui à mon grand plaisir fit rebondir sa petite fesse.

« Très jolies petites fesses Sarah, il me semble qu’elles méritent une petite fessée, n’est-ce pas ? »
Elle restait silencieuse.
« Si, si, j’en suis sûr maintenant »

Une deuxième claque légèrement plus forte.
« Par exemple pour m’avoir appelé mon petit monsieur…»

Une troisième claque un peu plus forte.

« Par exemple pour avoir menti au portier de mon club en lui disant que tu étais mon invité…»

Elle ne disait toujours rien, et en plus du plaisir de voir ses fesses rebondir sous ma main, je dégustai pleinement ma revanche. J’adorai la voir ainsi, les yeux baissés se faire gronder comme une petite écolière. C’était encore plus excitant de fesser sa banquière que cette belle Natacha.

« Au fait Sarah, aimes-tu que je te fesse ainsi en te grondant comme une gamine ? »

Son silence déclencha une nouvelle tape.

« Eh bien répond »

La première claque sur mes fesses, me fit retourner des années plus tôt, et instinctivement mes anciens reflexes revenaient et  je baissais les yeux. Je ne disais rien. Il me demandais si j'aimais cela. C'est vrai qu'être traité ainsi alors que sur mon lieu de travail, je devais me comporter en vrai dragon, me faisait des sensations troublantes que je commençais à apprécier.

Cela me donnais un peu l'impression d'expier, toutes les choses que je devais faire auprès des clients en difficultés, leur couper les vivres, leur retirer leur carte, ou leurs chéquiers. Toutes ces actions pesaient sur ma conscience.

Et là recevoir la fessée par ce client, me donnait un peu le sentiment de recevoir enfin une punition pour toutes les choses que j'avais faîtes. La sensation était encore plus excitante que tout ce que j'avais été obligée de faire pour Mr Clerc.

A chaque claque sur mes fesses, je sentais que mon excitation allait en grandissant, mes seins se durcissaient et pointaient sous le soutien gorge. La gorge serrée par l'émotion, je ne respirais que par petite inspiration.

Quand il me demanda si j'aimais me faire gronder comme un gamine, je sentais mon désir coulé de mon sexe.

Je baissais les yeux en lui répondant "Euh je ne sais pas Monsieur, je crois que oui"

« Tu crois que oui ! »

« Moi je suis sûr que tu aimes Sarah »

Je passai le dos de mes doigts sur ton sexe, l’effleurant, le caressant.

« Tu vois, regarde toute cette humidité sur mes doigts, c’est un signe qui ne trompe pas. »
« Et puis tes petits seins, qui pointent, c’est un autre signe »

« Tu sais, faut pas avoir honte, il y a pas mal de femmes qui adorent se faire fesser, qui adorent se retrouver au bon vieux temps de leur puberté. Si tu veux être ma chose, comme tu la si joliment dit, il va falloir que tu apprennes à me dire les choses sans retenues, sans honte. Cela m’évitera de te faire la leçon en permanence. »

Je fis glisser ma main de tes fesses vers le bas de ton sexe, puis entre tes cuisses, te caressant doucement le sexe.

« Tu vois Sarah, ça c’est un bon point pour m’avoir dit Monsieur. Tu vois, je sais gronder quand c’est nécessaire et donner des points quand tu t’appliques. C’est une règle très simple ».

Je prenais un grand plaisir à te masturber un peu le sexe, tout en te parlant.

Puis, regardant ma montre, zut, le temps était passé trop vite, Natacha allait m’attendre.

« Bien Sarah, j’ai un peu à faire ce soir »

Mes doigts palper avec plus d’insistance ton sexe, toujours entre tes cuisses.

« Demain midi, juste avant la fermeture de ton agence, tu me recevras dans ton bureau pour ta première leçon »

J’accélérai la masturbation, puis j’ôtai ma main de ton sexe et te faisais un bisou sur la joue.

« A demain donc Sarah… Ah au fait, pour demain, je te veux en sous-vêtements blancs. Cela fait plus petite fille ».

« Et quand je refermerai la porte de ton bureau, ne me fait pas te demander d’ôter tes habits, reçois moi juste parée de tes dessous ».

Etre traiter à mon âge comme cela, me faisait l'effet d'être revenue au temps de mon adolescence, ou  à l 'école le professeur
déjà me mettez au coin et me faisait subir mille et une punition.

Entendre sa voix de velours, me sermonner, me faire la leçon, sa main me caressant le sexe, mon bassin se tendait vers elle pour réclamer encore plus, et bougeait au rythme de sa masturbation.

Puis au moment ou je me laissais aller, des mots traversaient les brumes de mon cerveau , demain midi, leçon....

Puis le vide plus rien, un bisou sur la joue et à demain.

Je reste debout désemparer, pendant dix minutes, puis je me décidais à aller prendre une douche.

Sous la douche, je retrouvais mes gestes d'adolescentes, et je sus me redonner du plaisir comme avant.

Je me couchais épuiser et ma nuit fut peuplé de rêve mouvementé.

Le lendemain, je n'entends pas le réveil, c'est le soleil qui me fait de l'œil à travers le rideau.

Vite je vais être en retard, j'enfile ma tenue de cadre dynamique. Et je file à la banque.

L'heure tourne vite et quand on m'annonce l'arrivée de Mr Dupuis, je sens mon cœur battre plus fort.

Je dis à Virginie de fermer en partant.

Je m'apprête à le recevoir quand je me souviens de sa requête d'hier. Mince, je me déshabille, mais je porte une guêpière rouge et noir, un tanga de dentelle noir et des bas noirs.

C’était bien la première fois que j’entrais dans ma banque le cœur si léger. Je pris un malin plaisir à faire un peu de charme à l’hôtesse et à lui dire, « Monsieur Dupuis, pour Sarah votre directrice ». Son air légèrement surpris m’enchanta.

Je ne pris pas la peine de frapper à la porte du bureau qui portait la mention « Direction ». Ayant entendu l’hôtesse fermer la porte principale de l’agence, je ne pris pas la peine de refermer la porte de ton bureau.

Je te regarde, à la fois enchanté par la vue de ces mignons dessous et agacé par le non-respect de ma consigne. Je ne fais mine de rien, m’avance vers ton bureau, pose ma mallette dessus et prend place dans ton fauteuil.

« Alors Sarah, tête en l’air ou rebelle, il me semble que je te voulais en blanc comme une petite pucelle pour sa première leçon »

« Approche »

C’était délicieux de te voir t’approcher de moi, inquiète et docile.

« Approche plus »

« Tourne toi et mes tes mains sur la tête »

Ton obéissance me comblait. J’ouvris ma mallette.

« De toutes les façons Sarah, je n’attends pas de réponse de ta part. Tête en l’air ou rebelle, c’est la même faute »

Je posai le bout en cuir de ma cravache sur l’intérieur de ta cuisse et le fait remonter lentement sur le bas de ton sexe, en le frottant dessus légèrement.

« Tu vois Sarah, cela aurait pu être le début de la récompense d’une bonne élève »

Je  retire la cravache et la pose sur ta fesse.

« Mais c’est réservé aux bonnes élèves obéissantes »

« Met toi toute nue et va te mettre au coin »

Je te regarde ôter ta lingerie et te diriger vers un des coins de ton bureau et prendre ta position.

« Au coin c’est les mains sur la tête et les jambes écartées »

Je te laisse ainsi quelques instants…. Puis je me lève et viens vers toi.

Je fais claquer deux fois ma cravache sur tes fesses.
« Maintenant tu vas répondre clairement à la question que je t’ai posé hier soir et tu vas me dire aussi pourquoi tu aimes que je te fesse »
« Allez et fait un effort pour m’expliquer cela clairement, une directrice de banque doit être capable de parler clairement n’est-ce pas »
« Je veux comprendre ce qui t’excite, pourquoi ton sexe était trempé et tes seins tout pointés »
"Je vous écoute Mademoiselle la Directrice"

L entendre le dire que j avais commis une faute
m intimida de plus belle
Je retirais mes sous vêtements honteuses et j allais lui expliquer que je m étais levée en retard et que je n avais plus pensé à sa requete mais finalement je craignais qu il ne se mette en colère alors je voulais lui dire que je n avais pas de sous vêtement blanc mais d un ton sec il le dis d approcher les mains sur la tête j obéis. Cet ordre déclencha en mot un vague de chaleur.
Dos à lui, je l entendais chercher quelque chose dans sa malette
Je lui dis monsieur je n ai pas de sous vêtement blanc
Mais quand il me répondit que c était pas la peine de m expliquer je ne dis plus rien
Quand je sentis quelque chose de froid et dur me caresser, je frissonnais. Et ses paroles avaient un effet multiplicateur sur mon excitation 
Je me déshabilla comme il le souhaitait et j allais me mettre au coin comme une gamine 
Un long silence puis je ressentis sur mes fesses deux coups sec
Il me demandais pourquoi j aimais la fessée

De larme de honte roulait sur mes joues et je lui expliquait mon travail à la banque qui m obligait
À être méchante avec les gens en difficulté et que je me sentais coupable de cela

Et hier soir après son passage j ai enfin pu m endormir le cœur léger 
Te voir à la fois gênée et excitée doublait mon plaisir. Finalement c’était bien plus excitant qu’avec Natacha qui ne rougissait pas.
Je pose ma main sur ta fesse en faisant une caresse affectueuse.
« C’est très bien Sarah de reconnaitre que tu es méchante avec les gens en difficulté »
Ma main glisse entre tes cuisses bien écartées et passe sur ton sexe.
« Hummm, mais ton sexe est vraiment trempé, je ne sais pas si c’est dans tes habitudes de mouiller autant, mais j’ai rarement vu une telle humidité après juste une légère fessée. Ah, c’est vrai je ne te l’ai pas dit, mais si je fréquente tous ces clubs, c’est que j’adore  avoir une femme à mes pieds »
Je sens ton bassin qui se met à bouger sous l’effet de la caresse.
« Chut, ne bouge pas, profite »
Mon doigt écarte légèrement les lèvres de ton sexe et en caresse un peu l’intérieur.
« Sache quand même que je suis à moitié satisfait de ta réponse et vu comment tu mouilles avec la fessée, je pense qu’il y a d’autres raisons. Nous en reparlerons. »
Mon doigt te pénètre très lentement, très en profondeur.
« Bien Mademoiselle la Directrice, je vais devoir vous laisser maintenant, j’ai mon rendez-vous mensuel avec Pole emploi. Sachez que j’ai vraiment apprécié cet entretien dans votre bureau».
« Ah, j’allais partir en oubliant le plus important, le club privé a eu la bonne idée de m’envoyer une invitation pour deux personnes pour demain soir. Une façon de remercier le client fidèle que je suis. Je serai ravi que vous m’y rejoignez à 21 h. »
Je te masturbe un peu plus fort, tout en embrassant ta nuque, puis j’approche ma bouche de ton oreille et te murmure « A 15h précise, tu iras te mettre nue dans les toilettes de ton agence, tu te feras jouir en pensant à moi. Puis de retour à ton bureau, tu m’enverras un mail pour me confirmer que tu m’as obéis ».
Je retire mon doigt de ton sexe… Puis en sortant de ton bureau…
« A demain soir Mademoiselle la Directrice »

L entendre dire qu il aimais avoir une femme à ces pieds et penser que cela pourrait être moi..
Instinctivement mon bassin bougeait sous ses doigts.
J étais trempée et quand il partit je me rhabillais rapidement.
J avais des courses à faire pour le rendez vous de demain soir.....je cours les magasins pour trouver ma tenue de fille sage pour demain soir 
Sous vêtements blanc virginal, jupe plissée à carreau et chemisier en coton blanc et des chaussures plates noires vernies. Finalement tous ces achats m excitent et je reviens à la banque en retard à quatorze heures trente.
Je file au toilette et je n ai pas besoin d avoir eu l ordre de la faire tellement j ai chaud je me déshabille et enfin je me masturbe jusqu à la jouissance, je remet mes habits et je retourne dans mon bureau essoufflée
https://mail.google.com/mail/images/cleardot.gif 
EMail de Sarah à 15 h 00

Monsieur Dupuis
Il est quinze heures et je viens de me masturber nue dans les toilettes en pensant à vous 
Je vous ai obéis et vous serez fier de moi demain soir
Votre Sarah


Te voir ainsi, la jupe bien relevée face à moi devenir toute rouge devant Peter était un délice.
« Elle est très mignonne ta culotte Sarah et tes bas sont parfaits, félicitation ma petite Sarah »
« Approche »
« Plus près »
Je pose le dos de mes doigts sur la dentelle qui couvre ta cuisse et la caresse un peu.
« Humm, très agréable au touché en plus »
Ma main glisse entre tes cuisses, passe sur tes fesses  et d’une légère pression sur elles je fais rapprocher ton bassin vers moi.
« Hé bien petite coquine, moins d’une minute et déjà une auréole, il est vrai que pour cela le blanc n’est pas très discret ».
Je pose mes lèvres sur la tâche, puis après ce baiser, ma langue goute ta petite tache.
« Hummm, délicieux…. »
Je refais un deuxième passage avec ma langue, puis un troisième.
« Oui, vraiment délicieux »
Ma main caresse un peu tes fesses pour te montrer mon plaisir.
« Mes tes mains sur la tête »
« Ecarte un peu mieux tes jambes »
Je déboutonne ta jupe et la fait glisser sur tes jambes.
Peter entre avec le plateau et dépose les boissons sur la table.
« Votre coupe Monsieur Dupuis et le cocktail de fruits pour Mademoiselle »
« Merci Peter. Je disais à Mademoiselle la Directrice que sa lingerie était magnifique, qu’en penses-tu ? »
« Oui en effet Mr Dupuis, magnifique c’est le mot. Je mets le cordon au rideau Mr Dupuis ? »
« Oui Peter, c’est gentil. A au fait, si Natacha a quelques minutes de libre, cela me ferait plaisir qu’elle passe partager une coupe »
« Bien Monsieur, je lui dirais, je vous souhaite une bonne soirée »
« Merci Peter »
« Ce Peter est vraiment adorable, c’est un homme très cultivé et en plus il a bon gout »
« Mais, ne restez pas debout Mademoiselle, asseyez-vous, les fauteuils sont là pour ça »
Je me lève, prend ton cocktail et te le tends »
« Votre cocktail »

J'étais contente d'être ainsi flattée et complimentée sur ma tenue. J'avais peur qu'il ne se moque de la tache sur ma culotte blanche

Le passage de son doigt sur mon bas, et sa langue sur ma culotte augmentait encore mon humidité. Si cela continuait, cela risquait de couler aussi sur mes cuisses. A chaque fois qu'il me demandais de mettre les mains sur ma tete, un long frisson me parcourait le corps et résonnait au plus profond de mes entrailles. L'arrivée de Peter alors que j'étais juste en sous vêtement augmenta mon trouble encore plus. Et ce fut pire quand ils parlaient de moi avec ce ton. Il demanda à Natacha de venir. Mon dieu cela va être gênant pourvu que cela ne soit pas une cliente.
Pourvu qu'il m'autorise à remettre mes habits. Il me demande de m'assoir et me tend mon verre. Est ce que cette Natacha, était sa favorite dans le club. Je sentais une pointe de jalousie qui piquait un peu mon cœur. Je ne voulais pas non plus être vu comme cela.
Et je demandais d'une petite voix suppliante, " Mr Dupuis, pourrais je remettre mes habits avant l'arrivée de Madame Natacha, s'il vous plait ?"
 

Je faillis éclater de rire en t’entendant formuler ta requête. Tu étais si mignonne ainsi que je ne voulus pas te mettre à ce point mal à l’aise et je me contentai de te répondre.
« Nous verrons Sarah, pour l’instant laisse-moi profiter de cette superbe vue. »
Je te regarde, avec juste un petit sourire, me disant que le temps où tu te permettais de dire que Natacha me chevauchait était bien loin.
J’approche ma coupe de ton verre.
« Un toast pour ta jolie culotte que tu trempes si joliment et à ton obéissance si ravissante »
Je porte la coupe à ma bouche en te regardant.
« Au fait Sarah, tu dois savoir qu’une femme obéissante comme toi ne dois pas croiser les jambes devant celui qu’elle considère comme son Maître ».
A mon grand plaisir je te vois décroiser les jambes. Je me baisse et ouvre un discret tiroir qui se trouve sous la table.
« Avec toutes ces émotions j’allais oublier que je t’ais promis une récompense suite à ton mail »
Je sors du tiroir un bandeau noir en soie. Puis je me lèvre, je prends ton cocktail, le pose sur la table. Je passe derrière toi et glisse le bandeau sur tes yeux. Je te prends la main et t’invite à te lever. Je dépose tes deux mains dans ton dos, sur tes fesses.
Tu sens mes lèvres se poser sur ta joue, glisser vers ton oreille, je te murmure.
« Tu vas voir, le noir va décupler tes sens, écartes bien les jambes »
Tu sens mes lèvres se poser sur ton soutien-gorge, puis ma langue lécher délicatement le coton qui recouvre ton bout. Puis ma langue quitte ton sein…
Mes lèvres se posent sur ton sexe et après quelques bisous ma langue lèche le coton trempé. Puis tout en continuant à te lécher la culotte mes paumes de main se posent sur le bout de tes seins et les caressent.
Ma langue fait des mouvements de plus en plus amples sur ton sexe.
« Tu as vraiment bon gout Sarah »
Puis sentant ton bassin commencer à faire des petits mouvements. Je cesse de te lécher et de te caresser les seins.
Ma bouche embrasse ton coup je te murmure.
« Ne bouge pas, je ne veux pas que tu bouges. Garde le plaisir en toi, résiste, cela sera meilleur. Sinon ce sera la fessée. C’est compris Sarah ? »

ouf il n'a pas dit non pour les habits, donc quand elle arrivera je sera peut être dans une tenue correcte
son toast me fit encore plus d'effet je sentais ma jouissance couler le long de mes cuisses quand il me dit qu'il était mon maitre mon corps réagit instinctivement et mes jambes s'écartèrent. Les anciens reflex revenaient. Le bandeau sur le yeux me fit un peu peur car la dernière fois que j'étais dans cette position, il s'était passé beaucoup de choses dont je ne voulais me souvenir mais dont mon corps se souvient encore . Ce compliment comme si j'étais un fruit que l''on goutte me rassura et me fit mouiller encore plus et malgré sa menace de la fesse je dus serrer les cuisses très fort pour empêcher ma jouissance de sortir.
Le combat fut difficile de résister. Et je lui demandais de me laisser venir, de me laisser me caresser.

« Résiste encore un peu, tu es toute mignonne avec ce plaisir que tu retiens »
Mes doigts glissent sous la dentelle de ta culotte.
« La prochaine fois, il faudra que tu penses à prendre plusieurs culottes… Entre nous deux cela va, mais imagine si j’avais prévu un invité, cela serait indécent»
« Mets tes mains sur la tête »
Mon autre main glisse sur tes fesses, remonte sur ton dos et dégrafe ton soutien-gorge et te l’ôte. Ma bouche se pose sur la pointe de ton sein et ma langue le goute.
A ce moment-là, je reconnais la démarche de Natacha dans le couloir. Je cesse de te lécher et te murmure à l’oreille.
« Ne bouge pas, tant que je te donne pas la permission »
Puis je m’assois dans le fauteuil.
« Bonsoir Natacha, très content que tu es pu te libérer quelques instants »
« Bonsoir Chérie… Hummm, Peter m’a dit que tu étais en bonne compagnie, et je vois que tu n’as pas l’air de t’ennuyer »
« Oui, en effet. Ma banque a eu la bonne idée de nommer une nouvelle Directrice et comme tu peux le voir elle est charmante »
« Oui, oui, je vois ça, charmante et docile à ce que je peux voir»
« Ce n’est que sa deuxième leçon, mais elle apprend vite. Au fait, tu aurais la gentillesse  d’aller chercher une de tes culottes propres et de la lui changer. Je voudrai lui enlever le bandeau mais j’ai peur qu’elle soit trop gênée en voyant comment elle l’a inondée »
« Oui, oui » dit Natacha en riant et sortant.
Je te murmure à l’oreille.
« Ne bouge, je vais commander un autre verre »

Une minute passe et tu entends les pas de Natacha qui revient.

Il me demande de me retenir encore, mais c'est peine perdue quand il glissa ses doigts sous la dentelle blanche de ma culotte. Le retrait du soutien-gorge et la caresse de sa langue ne fit rien pour arranger les choses.

Quand il me demande de ne plus bouger, je sentais mon désir s'écoule sur mes cuisses. Les yeux bandés, les mains sur la tête avec pour seule parure ma culotte et mes bas blancs, je fus pétrifié dans j'entendis Mr Dupuis saluer Natacha, et parler de moi comme si je n'entendais rien.

Je me retrouve seule dans l'alcôve, et j'entends des talons dans le couloir. Je ne bougeais pas en espérant que cela serait Natacha qui revienne. J'attends la porte s'ouvrir et les talons qui claquent sur le sol. C'est Natacha, je la sens qui s'approche de moi.
"Alors ma petite, comme ca tu n'arrive pas à te retenir. Et tu as tous lâché dans ta culotte. Elle me prend la main et me dit
"Viens un peu par ici que je vois les dégâts dans ta tenue". Une fois debout, j'ai  l'impression au son de sa voix qu'elle est beaucoup plus grande que toi. "Je vois, tu joue les grandes dans ta banque, en refusant de l'aide à beaucoup de monde alors qu'en fait tu es une gamine qui a juste besoin d'être un peu calmée."

Elle s'assoie sur le divan devant moi, la tête juste devant mon intimité. "ben dis donc ma petite, tu dégouline tellement que cela coule sur tes cuisses, avant un peu que j'arrange cela." J'hésite à m'approcher et elle se relève "Allons sale gamine, je te conseille de m'obéir sinon je vais devoir prendre des sanctions contre toi. Elle me tire par le bras en se rasseyant et elle me posa en travers de ces genoux pour me mettre deux claques sur les fesses. "regarde un peu l'état dans lequel tu t'es mise, ce n'est même plus tache à ce stade là c'est, c'est ...oh cela mérite plus que deux claques sur les fesses. Il en faut un peu plus...Elle pris ma culotte et la redescendit sur mes cuisses.

Les fesses à l'air face à elle, cette situation troublante, j'apprendrais et en même tems je jouissais  de la situation.
Elle commença à me donner des claques sur les fesses de plus en plus vite, une dizaine environ et elle me  dit voila à quoi on reconnait les petites filles pas sage, à la rougeur de leur fesse. Maintenant approche, je vais réparer les dégâts que tu as fait avant que Mr Dupuis ne reviennent. Mais tu es encore plus trempée, il va falloir assécher tout cela.

Elle approche sa bouche, de mes cuisses et elle commence à les lécher, "Mr Dupuis avait raison, tu as très bon gout pour une sale gamine" . Et elle continuait sur l'autre cuisse à lécher toutes les traces de ma jouissance. Elle remonta sur mon sexe, écarta mes lèvres et continuer sa caresse avec la langue.

Je n'en pouvais plus, je tenais à peine debout et je me retenais comme je pouvais à ces épaules.

Un long frisson me parcouru et je jouissais à grand jet dans sa bouche. Quand elle a tout bu, elle se relève, se penche vers moi et m'embrasser fougueusement, elle remis sa main dans mon sexe pour la tremper de ma jouissance, puis elle me la passa sur le visage "pour me nettoyer" me dit elle. Ensuite elle s'écarta de moi et je sentais sur moi son regard/

Bon ma petite, il va falloir que je nettoie tous cela mais avec quoi, elle prit ma culotte puis l'utilisa pour sécher mon sexe et retirer les traces qu'elle avait fait sur mon visage avec sa main sur mon maquillage.

Bon voila c'est mieux maintenant, mais je ne sais pas si je vais te remettre tout de suite une culotte car tu mouille encore beaucoup

"S'il vous plait, Madame, je voudrais en ravoir une"

"Ecoute je ne sais pas, je vais laisser au soin de Mr Dupuis de décider pour cela"

En entrant dans l’alcôve et te voyant les fesses à l’air, toujours les mains sur la tête et punis dans le coin de la pièce. Je m’attendais au pire.
« Natacha, je t’avais dit que Mademoiselle la directrice était novice. Vu la rougeur de ses fesses tu n’as pas pu te retenir. »
« Je lui ai juste donnée une bonne fessée, en plus de mouiller sa culotte et de couler sur ses bas, elle allait tacher la moquette. »
« Oui je sais, tu prononces simplement le mot obéir et elle devient une vraie fontaine »
« Elle doit être sacrément en manque. C’est un peu le problème de ses femmes qui passent leur temps à faire la leçon aux autres et qui sont incapables de gérer leur libido »
« Oui, c’est exactement cela, l’autre soir chez elle, quand je l’ai raccompagné et quelle s’est rendu compte qu’un homme était face à elle, elle ne s’est même pas retenue et s’est mis à se masturber devant moi. Elle était tellement en chaleur qu’elle n’a même pas eu la retenue de se dire que j’étais son client. »
« Cela ne m’étonne pas… Par contre, elle a vraiment bon gout. Je te laisse, j’ai une réservation. Mais un conseil ne tarde pas à lui mettre un bon coup. Conseil de Pro.  Allez amuse toi bien et toi aussi petite coquine, sois obéissante. »
Je te regarde un peu embêté par la vision de tes fesses toutes rouges.
« Ah, vraiment cette Natacha est très naturelle et directe. Si tu as trop mal, je sais que Peter a une pommade miracle.»
Je m’approche de toi et t’enlève le bandeau.
« Ecoute, je pense que Natacha a raison, tu vas rester sans culotte, c’est plus prudent »
« Viens approche »
J’ouvre à nouveau le petit tiroir et en sort un joli collier noir, puis te le met.
« Voilà, tu vois, tu m’as supplié d’être ma chose, ainsi parée tu commences à le devenir. En plus il te va à ravir ».
Je te prends par la main, nous sortons de l’alcôve, faisons quelques pas dans le couloir. Puis devant la première glace plein pieds.
« Tu vois, tu es très belle ainsi, regarde, lève les yeux »
« Et maintenant je veux, je t’ordonne même de me dire ce que tu ressens. »

Toujours dans mon coin, quand Mr Dupuis arrive, je me sentais un peu plus en sécurité, et gênée aussi lorsqu'ils discutaient de moi comme si je ne pouvais pas les comprendre. Je sentais que mon désir reprenait le dessus, comme à chaque fois que l'on employait ce ton.

Le petit collier et les mots qu'il dit quand il me le mit, me firent frissonner plus que de raison. Il nous fit sortir de l'alcôve et s'arrêta devant un grand miroir. Il me demande de regarder. "Oui Monsieur," Et la je me vois juste avec les bas, les souliers et le collier, les joues en feu et les fesses un peu rougis.

Il me demande ce que je ressens. En fait je ne ressens rien, je suis bien, un peu honteuse d'être surprise ainsi, j'avais le sentiment de lui appartenir. Mais je n'arrivais pas à parler.

Je ne pu que bredouiller un "euh je ne sais pas Monsieur Dupuis, je suis gêné, je suis excité aussi, j'ai honte, et j'ai chaud aussi".

Je finis par baisser les yeux et attendre...

Je te relève le menton pour te faire t’admirer encore un peu.
« Je sais bien ma petite soumise, je sais bien que tu es excitée, je sais aussi que tu as honte et je sens que tu brules. Décidément tu es bien moins bavarde que derrière ton bureau de l’agence»
Je sors un mouchoir de ma poche, et t’essuie le sexe avec.
« Tu vois, un Maître est là pour prendre soin de sa soumise »
« Regarde-toi dans la glace, regarde ma main qui t’essuie, c’est mignon n’est-ce pas »
Peter arrive dans le couloir.
« Monsieur Dupuis, il ne reste plus que les initiés dans le club, du coup le petit show va pouvoir commencer. Je vous ai réservé votre fauteuil»
« Parfais Peter, nous te suivons »
« Eh quoi Peter ? »
« Eh bien, vous seriez plus tranquille et Mademoiselle la Directrice aussi, si vous lui mettiez… vous voyez ce que je veux dire.., c’est dans le tiroir…»
« Ah, oui, tu as raison, tu es un ange Peter »
Je continue à essuyer machinalement ton sexe
« Merci Monsieur Dupuis. Et, si vous voulez il me reste aussi de la pommade pour les rougeurs de Mademoiselle »
Peter sort de sa poche un petit tube et me le tend
« Tu es vraiment un ange Peter »
« Sarah je crois que tu peux dire merci à Peter »
« Le show commence dans dix minutes Monsieur Dupuis »
« Parfais Peter »
Je te prends par la main et nous retournons dans l’alcôve.
« Tu vas voir, ils ont prévu un petit show, juste une Domina qui vient présenter sa petite soubrette male et un Maître qui veut nous montrer comment sa petite chienne est obéissante »
« Ne t’inquiète pas, ce sera très soft comme show »
« Allez met tes mains sur la tête que je te pommade un peu les fesses, en plus cela fera passer un peu les rougeurs,  sinon les invités vont me prendre pour fesseur hard ou bien ils vont croire que tu as été très vilaine»

Il me force à relever la tête pour nous voir, j'ai l'esprit dans le brouillard, tellement les sensations sont intenses.
Il me parlait mais j'étais perdu, j'avais chaud et mon entrejambe encore plus, je coulais de plaisirs.

La fraicheur de son mouchoir augmentait encore mon excitation. L'arrivée de Peter, me fit l'effet d'une douche froide, j'étais bien ici avec lui seul et j'y prenais du plaisir.  Au fil de leur discussion, mon inquiétude grandit. Heureusement Mr Dupuis gardait son contact rassurant au travers du mouchoir sur mon sexe.

La pommade estompe un peu le feu de la fessée. Et il me dit que nous devons repartir voir un show. Il me dit d'attendre, qu'il manque quelque chose dans ma tenue pour ma sécurité. Il ouvre le petit tiroir de la table et en sort une laisse en argent avec une poignée en cuir. Il la fixe à mon collier et  me dit "voilà comme ca tout le monde saura que tu est déjà prise"

Nous nous rendons dans le show room, il y a une estrade au centre, et autour sont disposés des fauteuils en ronde, beaucoup d'hommes et de femmes sont déjà présents, dans des tenues élégantes, ils sont confortablement installés dans les fauteuils et proche d'eux se trouve une ou plusieurs autres personnes homme ou femme dans une tenue différente, certaines en latex avec des baillons boules, d'autres entièrement  nu, d'autres vêtus de cuir. Mais tous avaient un point commun, un collier avec une laisse qui les reliaient à leurs maitres. Parmi ces personnes, quelqu'une étaient debout, d'autre assise au sol, et d'autres les accoudoirs.

Je regardais la scène avec un peu d'appréhension, c'est la première fois que j'apparaissais dans cette tenue devant autant de personnes, d'autant plus que mes bas blancs avaient fait lever un bon nombre de regards lubriques dans l'assemblée non seulement chez les hommes mais aussi chez certaines femmes.

Instinctivement, je me rapprochais de lui, je recherchais sa protection qu'il m'accorda aussitôt en me faisant signe de m'assoir sur l'accoudoir en cuir. Ce que je fit aussitôt. Malgré la fraicheur du cuir sur mon sexe chaud, l'accoudoir était un peu petit et trop haut, j'avais un peu de mal à tenir assise dessus et je gigotais un peu. Il s'en aperçu et me dit "Si tu n'arrête pas de bouger comme cela, il va falloir que tu t'installe à mes pieds, attention ca va commencer" . Cette menace me stoppa net, et je me concentrais pour me tenir tranquille et ne pas tomber.

La lumière s'éteint et la scène s'illumine, une femme entre en scène vêtue entièrement de cuir tenait en laisser une servante habillée comme dans les grandes maisonnées bourgeoises, mini jupe noir, chemisier blanc, bas noir, culotte blanche, et une petite coiffe sur ces cheveux courts. Au début elle restait en retrait
dans le noir, tête baissée. Quand la femme lui intima de s'approcher d'elle, tout le monde vit qu'il s'agissait d'un homme.
Elle le présenta à l'assemblée, j'entendais à peine ces mots, tout ce que je retenais de cette scène c'est que l'homme qui se prénommait Michel acceptait de se soumettre à sa maitresse et qu'il était prêt pour cela s'il le fallait être habillé en soubrette. Ensuite viens le maitre et sa "chienne", il était habillé très chique et la tenait en laisse aussi, sauf qu'il l'a fit rentrer sur scène à quatre pattes. Il posa une gamelle à ces pieds et lui fit boire dedans. Puis il lui tendit un biscuit pour qu'elle se dresse et face la belle. Cette scène me fit froid dans le dos, et d'effroi je touchais mon collier avec ma main.

Au début, je l'avais senti comme une protection, mais maintenant il me pesait de plus en plus. Et je ne souhaitais plus qu'une chose sortir de la pièce et m'enfuir de peur que je ne subisse le même traitement

« Chut, cesse de gigoter et de tirer sur ta laisse… »
Puis te voyant encore t’agiter.
« Bon ça suffit met toi à genoux »
Je te montre la moquette à mes pieds.
« Regarde un peu les autre soumis et soumises à genoux, ils écartent tous les jambes, allez ! »

Je passe ma main dans tes cheveux et te les caresses.

« Regarde la petite rousse à genoux, masturbe toi un peu comme elle, cela va te détendre »

Le spectacle se termine, je te fais te lever et nous nous dirigeons vers l’alcôve. Je croise une vielle connaissance. Nous échangeons quelques propos, sa soumise étant à quatre pattes, je te fais comprendre d’en faire de même. Avant de partir il me dit « nous devrions prendre un verre à l’occasion, que nous femelles puissent jouer ensemble ». Je te fais relever pour retourner dans l’alcôve.

Une fois de nouveau seuls, je te fais mettre les mains sur la tête. Je passe ma main sur tes fesses, te caresse.

« Bien Sarah, je suis assez fier de toi, tu fais des efforts pour être une bonne élève. »

Ma main se glisse entre tes cuisses, massent ton sexe et te pénètre avec un doigt.
« Par contre, la première fois que je te demande de dire merci à quelqu’un, je veux te l’entendre dire et pas faire comme devant Peter ou tu as juste baisser encore plus les yeux.»

Mon doigt te pénètre encore plus et je t’embrasse dans le cou ».

« Je vais devoir y aller Mademoiselle la Directrice »

Je te masturbe de plus en plus fort.
« Nous avons rendez-vous dans une quinzaine de jours dans votre bureau pour faire le point, cela me plairait d’avancer ce rendez-vous. Si votre planning vous permet de me consacrer un peu de temps, et si vous en avez envie, envoyez moi un petit mail, votre heure sera la mienne ».
Je détache ta laisse, la range dans le tiroir.

« Pour le collier, il est à toi maintenant Sarah, prends en soin »
« Bien, à très bientôt j’espère, j’attends de vos  nouvelles donc ».

De retour dans l'alcôve, le cerveau encore embrume, par toutes les images de ce que j'avais vu et ce que je viens de vivre, il me laisse là à moitié nue, en me parlant de son rendez vous qu'il voulais avancer.

Non Sarah, que fait tu cela recommence tu avais pourtant juré que tu ne recommencerais pas, que tu ne revivrais jamais ce cauchemars. En colère contre moi même, j'arrache le collier et le jette par terre. Je renfile mes habits, et je m'enfuis dans le couloirs. Arrivée chez moi, je prend une douche, je me frotte pour enlever l'odeur de cette antre de perdition. Je prend mes habits, je les enfouis au fond de ma lingerie.

Je tombe sur mon lit en pleurant toute la nuit.

Le lendemain,  j'enfile mon habit de Directrice de banque et fois de Sarah cette fois, je ne dérogerais pas de ma route.
Arrivée au bureau, je convoque Virginie, "Vous me convoquerez Mr Dupuis pour 14 h, vous lui direz bien qu'il s'agit pour lui de recouvrir son découvert."

Bien décider à reprendre en main mon destin et ma vie, je ne compte pas le laisser prendre le dessus, j'avais trop souffert la dernière fois ou l'on m'avait forcé à faire cela. Je suis un être humain, oui j'ai des penchants sexuels particuliers mais je ne suis pas une chienne que l'on promène en laisse avec un collier.

La rage m'envahissait peu à peu et lorsqu'il viendrait à 14 h je pense que je serais chaude mais pas comme il le crois.

J'allais lui montrer qui commandait dans cette banque
En allumant  mon ordinateur, vers 10h, je ne pus retenir un grand sourire en voyant un mail de ma banque. Décidément, elle n’avait pas tenue longtemps et voulais déjà sa troisième leçon.
En découvrant le message, une petite fureur s’empara de moi. Elle aurait quand même pu faire l’effort de m’écrire elle-même, le fait de passer par son assistante était une grosse faute. Une fessée en perspective voilà comment allait commencer sa leçon. En plus je ne pouvais même pas lui donner mes consignes par retour de mail.
Je me remémorai les propos de mon Maître en la matière qui ne cessait de répéter : « Tu dresses au début, ou tu t’épuises par la suite ». C’est évident j’avais été trop coulant et il fallait remettre les pendules à l’heure.
En plus, elle prendrait une deuxième vraie fessée, uniquement par la faute de son assistante qui ne connaissait pas la politesse et ne savait que convoquer sans aucune finesse.
Sur le chemin de la banque, je faisais dans ma tête la liste des manquements et des reproches afin de ne rien oublier et de lui donner une vraie fessée constructive et pédagogique.
Je pris un malin plaisir à indiquer à  l’hôtesse que j’avais rendez-vous avec Sarah. Elle ne devait vraiment pas être habituée à voir sa Directrice être appelé par son prénom vu la grimace qui traversa son visage.
Je pris aussi un malin plaisir à la couper lorsqu’elle tenta de m’indiquer le chemin, en lui claquant un « Merci je connais le chemin».
Je ne pris pas la peine de frapper et entrai dans ton bureau directement. Si j’avais eu besoin d’une motivation supplémentaire pour te donner ta première vraie leçon, elle aurait été toute trouvée. Au lieu de te voir debout, avec ton petit collier et tes bas blancs, Mademoiselle était plongé dans ses dossiers à son bureau. Je refermai la porte derrière moi et me raclai la gorge bruyamment pour te signifier ma présence.  

Je levez un œil vers le nouvel arrivant, je lui jettais un "veuillez vous assoir, je termine"

Je prenais mon temps et je le sentais bouillir d impatience je conservais toujours mon air sévère

Il me dit "Sarah, tu....."

Je le coupa avec un regard noir

Impressionné il se tut

Je dis miné de chercher son nom "euh ...monsieur ...Dupont. ?"

"non Dupuis"

"ah oui enfin pont ou puit c est toujours une histoire d eau" 

Tiens un histoire d o comme c est drôle mon petit monsieur vous avez de la chance j au de l humour ce matin

Bon vous venez pour un délai pour votre découvert .....je vous vois étonné ?

vous n aimez pas le changement de règle du jeu 

Je vous explique dans la vie il y a des choses qu on veut et d autres pas

Voilà je fixe les limites vous pouvez fixer vos règles.

Maintenant je dois vous tenir informer des nouvelles règles de tenues de vos comptes

Je sors une feuille de l imprimante 
Et je lui tends

Je restais médusé, je la retrouvai comme lors du premier rendez-vous. 

Pire même, cette fois elle se moquait ouvertement de moi. Cette petite garce faisait semblant de ne plus se rappeler de mon nom et repartait dans les « mon petit monsieur ». 
Elle appelait cela de l’humour, et je ne trouvais pas cela drôle du tout. Et vraiment de moins en moins drôle. 

Je ne comprenais rien à son histoire de limites et de règles.  
Elle avait dû se réveiller tellement honteuse de sa soirée d’hier, qu’elle avait tout chassé de sa mémoire. 

Je n’eus guère le temps de trouver des explications et je pris le papier qu’elle me tendit froidement. 
Je découvrais avec effroi qu’elle divisait par deux mon autorisation de découvert, avec une semaine pour régulariser ma situation. Qu’elle me retirait ma carte de crédit, et que dans sa grande bonté, elle m’accordait une carte de retrait limitée à 100 euros par semaine. 

« Mais Sa.. Mademoiselle, ce n’est pas possible » 

« Ce n’est pas possible Mademoiselle. » 

« Vous connaissez ma situation » 

Elle restait impassible, le regard noir et une sorte de sourire qu’elle avait du mal à masquer. 

« Ecoutez Mademoiselle, si je suis allez trop loin, je m’en excuse » 

Son regard restait tout aussi noir et sa bouche ne se décidait pas à prononcer le moindre mot. 

« Mademoiselle, je vous présente mes excuses, je, je me suis laissais emporter par le jeu » 
« Revenez sur votre décision, je vous en prie »  

Soit ! Non seulement vous vous êtes emporté par le jeu mais vous n avez pas l air de comprendre les règles 

J aime aussi beaucoup jouer, j ai des besoins, j ai des envies et je ne veux pas aller contre mais il y a des choses que je n accepte pas

Vous repasserez demain dans mon bureau pour me dire ou vous en êtes dans votre réflexion maître

Mr Dupuis se lève me salue et quitte le bureau 

mince je l ai perdu j aimais vraiment lui obéir mais je ne pouvais me résigner à faire des soirées hard avec son ami et sa chienne et si j acceptais jusqu'ou irait il ensuite ?

J aimerais tant qu'il revienne à la raison qu' il comprenne que je ne suis pas prête 
Et que demain on recommence cette sage relation

En quittant l’agence, mes pensées commençaient à s’éclaircir. Elle voulait bien être ma soumise, mais uniquement très soft. 
Elle m’avait appelé Maître pour la première fois. Il était clair que je ne ferais pas d’elle tout ce que je veux et de toutes les façons je n’avais pas le choix, mes finances ne me permettaient en aucune manière de faire le difficile.  
C’était quand même une situation cocasse, elle avait le pouvoir sur moi et je la dominais. Dans son bureau elle m’avait appelé Maître et dans la phrase suivante elle m’avait donné un ordre. Finalement elle voulait que je sois son Maître mais aux services de ses désirs. 
Le lendemain matin je commençai ma journée par aller directement à l’agence. Cette fois, je ne fis pas le fanfaron et demandai si je pouvais avoir un rendez-vous avec Madame la Directrice. Après vingt bonnes minutes d’attente, son assistante m’indiqua que la Directrice pouvait me recevoir. 
Contrairement à la veille, je pris mon air sérieux en pénétrant dans son bureau. Il fallait que j’assure et lui démontrer combien je pouvais être un Maître docile. 
« Bonjour Mademoiselle. » 
« Avant tout, je voudrais encore vous présenter mes excuses. Je pense que j’ai bien compris la leçon. » 
« Je ne sais pas trop comment procéder, mais par exemple si vous m’indiquez vos limites ou bien si vous me dites ce qui ne vous a pas convenu depuis le début de notre relation. Je m’appliquerai à être le Maître qu’il vous faut ». 
Assise derrière son bureau, son regard était bien plus apaisé que la veille et j’étais impatient d’entendre les premiers sons sortir de sa bouche 

Voilà Mr Dupuis, je pense qu au fond de vous vous connaissez les limites, le jeu est simple, je veux que vous jouiez avec le fil du rasoir sans faire de faux pas.... Au moindre faux pas il y aura une sanction je validerais une des nouvelles conditions de fonctionnement de votre compte.

Ces limites sont simples de la fermeté douce, du solf, une lente montée du désir, le dérapage à eu lieu lorsque vous m avez fait quitter l accoudoir je n aime pas être une soumise ni  etre traitée en femelle. Je veux pouvoir en fière d'exhiber mon maître le meilleur qui me fera avoir du plaisir sans m avilir à devenir un animal
Je veux un apprentissage doux et lent des choses de la vie

Je veux bien reprendre mon collier seulement si vous méritez que je le porte. Tout votre art sera de ne pas franchir trop vite ou trop loin la limite

Je vois un signe de consentement sur son visage

Je me lève, je le regarde puis je baisse les yeux je me décale du bureau, je défais un à un les boutons de ma robe et je je la fais glisser par terre. J apparais ainsi uniquement vêtue de sous vêtements blancs, bas blancs et chaussures vernies noires.

J ouvre le tiroir de mon bureau et je saisis le symbole de notre nouveau contrat, je fixe le collier autour de mon cou je te tend la poignée de la laisse, je pose les mains sur ma tête un instant puis je le remet le long du corps

J’étais sidéré. « je veux, faux pas, sanctionnerai », de la part d’une soumise, un seul de ces mots aurait mérité une mémorable correction.

Et je n’avais encore rien entendu, « fière d’exhiber son Maître », manière de dire vous croyez qu’il me tient en laisse mais en fait c’est moi. Et, de toutes les façons l’expression « elle me tenait » était parfaitement adaptée à la situation.

Apercevant ses bas blancs, la tempête qui sévissait dans mon esprit se calma. Et, sa façon de se déshabiller me fit oublier quelques secondes cette situation ubuesque.

Je saisi la laisse et tira dessus tout en douceur pour te faire venir vers moi. J’incline un peu la tête afin que ton sein se pose sur mes lèvres. J’embrasse la dentelle de ton soutien-gorge, puis mes lèvres glissent vers ton cou et je te murmure. « Remet tes mains sur la tête et écartes tes jambes ».

J’avais l’impression d’être devant un sucre d’orge et d’avoir l’interdiction de le croquer, juste la permission de le sucer lentement.

Je glisse la poignée de la laisse entre tes dents, puis je me laisse glisser vers le sol, pose un genou à terre et embrasse ta jolie culotte. Mes mains remontent sur tes jambes, tes cuisses, les frôlent, et se posent sur tes fesses. Ma langue caresse ton sexe sur la dentelle, pendant que mes mains te caressent lentement les fesses.

Curieuse image que ce Maître, prenant une position de soumis face à sa soumise. Une façon pour moi de te dire que j’avais bien compris. Pour te l’exprimer encore plus nettement, entre deux coups de langue.

« Vos désirs sont des ordres Mademoiselle »

Lentement je baisse un peu ta culotte, découvre ton sexe et ma langue s’applique à lécher ton sexe nu chaud et déjà si humide.

Je ne me reconnaissais pas et dans chacun de mes gestes résonnait ta phrase « Au moindre faux pas il y aura une sanction ».
Je me redresse, prend tes mains et les pose sur mes hanches, puis je reprend la laisse d'entre tes dents.

« Montre-moi, comment tu sais donner du plaisir à ton Maître maintenant »

Hum il a pris la laisse et me met la poignée entre les dents comme pour me dire que j'étais maitresse de ma soumission. il a compris le message. Son genou à terre me fit chavirer de désir, sa langue me fit couler de plaisir.

J'avais envie de lui faire plaisir à mon tour. je me met à quatre pattes et j'avance vers lui doucement je pose ma tete sur sa main comme si je cherchais une caresse, je posais ma tête sur sa cuisse et d'un coup de tête je lui écartais les jambes.

Je  dépose un baiser sur l'entrejambe de son pantalon. Je me caresse le front dessus, et je lui dit "oui maître, je veux vous donner du plaisir. Je me redresse et je me caresse les seins sur son sexe.

Je déboutonne sa braguette et je sors son sexe, je pose ma bouche dessus, j'entrouvre les lèvres et je le glisse à l'intérieur.
je serre le bout entre mes lèvres et je le caresse avec la langue, je commence de long va et vient jusqu'au fond de ma gorge. Sa main se pose sur mes cheveux et accompagne le mouvement, il bouge le bassin en même temps et c'est presque lui qui me prend la bouche maintenant. Je sens son sexe vibre contre mes joues..............Humm son sperme coule à flos dans ma bouche, je ne l'avale pas tout de suite, je me relève, et fière je lui montre.....puis j'attends son autorisation pour l'avaler.

Je jouais avec le sperme dans ma bouche et faisait passer ma langue sur mes lèvres jusqu'à ce qu'il me fasse signe.

Lorsque j'eus le signal, je l'avalais goulument. Puis j'ouvris ma bouche pour lui montrer.

Il me tendit ma laisse avec un carton d'invitation pour le soir au club.

Je repris ma robe au sol et je la renfilais, je laissais la laisse prendre dans mon dos.

et je repris ma place à mon bureau...et je repris le travail.
Mon esprit et mon corps était totalement détendu maintenant. Je failli exploser de rire en te voyant t’assoir à ton bureau la laisse pendant dans ton dos. Dans d’autres circonstances, j’aurais vraiment explosé de rire, mais j’avais l’image de ce sucre d’orge qu’il m’était interdit de croquer. Je m’avance vers toi et détache la laisse.

« Mademoiselle, je reprends mon bien, le collier est à vous, la laisse est à moi »

« Je vous souhaite une bonne journée, à ce soir Mademoiselle »

Sur le chemin du retour, une idée lumineuse me traversa l’esprit.

Dès mon arrivée, j’appelai James au téléphone en lui demandant de me réserver Natacha pour 20h45 sans faute pour une prestation un peu spéciale et qu’elle mette sa tenue d’écolière.

Très fier de ma trouvaille, je me languissais d’être au soir.

Dès mon arrivée au club, je m’affairai à briffer Natacha et à l’installer dans l’alcôve. Natacha n’était pas vraiment réjouie, mais bon, c’était moi le client.

Une fois fait, je retourne voir Peter et lui tend un carton.

« Peter, tu donnes cette enveloppe à mon amie la Directrice, elle doit absolument lire mon petit mot avant d’entrée dans l’alcôve. Tu viens me prévenir dès qu’elle sera dans l’alcôve, je vais attendre dans le show-room».

Tu as l’air surprise quand Peter te tend le mot et qu’il t’invite à l’ouvrir.

« Mademoiselle la Directrice,

Natacha a eu une attitude inexcusable à votre égard l’autre soir. Je n’ai pas eu la présence d’esprit de lui montrer quel Maître attentionné je dois être. Je souhaite réparer cela. Natacha ne mérite qu’une bonne fessée. Si vous le souhaitez-vous pourrez la lui donner vous-même, sinon je m’en ferais un plaisir. J’ai envie que vous soyez fière de votre Maître. Attendez-moi dans l’alcôve, je ne vais pas tarder ».

Tu entres dans l’alcôve et découvre Natacha, debout, un bandeau sur les yeux, sa jupe plissée relevée et sa culotte sur les genoux. Elle tient une cravache entre les dents.

 Il était intelligent et il avait compris je pense ce que j'attendais de lui, je me prépare dans la tenue favorite de mon maitre,
Bas blanc, culotte blanche, soutiens gorges blanc, chemisier blanc et chaussure vernis, le collier ne me quittais plus et j'allais d'un bon pas vers le club.

J'arrive dans le club et Peter me donne une enveloppe, j'en pris connaissance, étonnée, j'arrive dans l'alcôve, je vois Natacha,.

Euh Natacha, je ne veux pas vous faire de mal, je ne vous en veux pas pour l'autre soir, je ne souhaite pas que vous soyez punis pour cela, je vais prendre votre place, si vous m'y aider, mais il faudra bien dire à Mr Dupuis que je ne veux pas recevoir de coup de cravache.

Natacha eut un sourire et elle m'aida à prendre sa place. debout le bandeau sur les yeux ma jupe relevée et culotte baissé
la cravache entre les dents, je coulais littéralement de plaisir, Natacha était assis derrière moi et un sourire aux lèvres se délectait de ton arrivée



Pendant la courte attente dans le show-room, je me demandais si tu oserais lui donner toi-même la fessée et si tu m’en laisserais le soin. Finalement je pariai pour la deuxième hypothèse.
En pénétrant dans l’alcôve, j’étais stupéfaits par la vision de Natacha tout sourire et te voir en position de la fessée. J’étais assez furieux, très furieux même. Cela dépassait les bornes, maintenant c’était toi qui faisait les mises en scène. En plus j’avais l’air de quoi devant Natacha.
En claquant des doigts je fis mettre à quatre pattes Natacha instantanément.  
Dans le même mouvement, ma main donna une grosse claque sur tes fesses. Tu sursautas tellement que tu lâchas la cravache d’entre tes dents.
Je l’attrapais au vol et j’enchainai trois bons coups de cravache à  chacune de vous deux.
En voyant les trois marques rouges sur tes fesses, je me dis que quand même j’y étais allé un peu fort. D’un ton sec j’ordonnai à Natacha d’aller me chercher une coupe de champagne et de ramener la pommade magique de Peter.
Pour me faire pardonner, je posai la main sur tes fesses pour te les caresser.

Mince ça fait un peu mal moi qui ne voulais pas que Natacha n ai à subir à cause de moi 
Les trois coups furent singleton et vexant

Mais sa main fraîche avec la pommade me fit frémir d'envie. Sa caresse douce et tendre ressemblait  à une demande de pardon de sa part

Quand il me dit, "tu vois ce que tu m'a obligé à faire, à cause de toi à Nathalie, tout cela parce que tu n'a pas voulu suivre mes directives. Viens par ici Natacha, il lève sa jupe et baisse sa culotte,

"Met toi à genoux, et regarde"  je baisse les yeux. Il insiste, il me force à regarder, je vois trois zébrures sur les fesses de natacha

Allons Ma petite Sarah "*Regarde les fesses de Natacha, il va falloir que tu remédie à cela, tu ne peux pas la laisser ainsi", il me donne la pommade, déjà tu va lui faire une bise sur chaque fesse.

Natacha trouvais la situation cocace, et je pensais même qu'elle se retenais de rire vu le tressautement de ces fesses sous mon nez.

"Allez Sarah applique toi"

Je lui fis donc une bise sur chaque fesse, puis je pris une noisette de crème sur l'index puis je la passait sur les zébrures.

Il me retire le tube des mains et me dis mais non voyons, il prit ma main paume en l'air puis il mit de la pommade sur tous les doigts puis appliqua ma main sur les fesses de Natacha et il me fit la caresse en me guidant la main.

Il me fit lui caresser les fesses puis le sexe, il utilisait ma main comme Sextoy. Je sentis Natacha se cambrer et trembler. Puis je sentis un liquide couler sur ma main. Je l'a retirais vivement.

Ah ton tour me dit il.
Avec la laisse je te fis te mettre à quatre pattes, puis je te fis écarter les jambes au maximum et te tapotant les cuisses avec la cravache.
« Allez Natacha, embrasse ses petites fesses rouges !! »
« Encore, elles méritent plein de bisous !! »
Je m’installai confortablement dans le fauteuil, avec ma coupe de champagne pour bien profiter du spectacle.
« Lèches lui les fesses maintenant !! »
Je me délectais du spectacle de ces deux femelles, me disant que finalement c’était bien en femelle que tu voulais être traitée.
« Allez, la pommade maintenant, en douceur et tu t’appliques ».
Pendant qu’elle t’appliquait la pommade, je m’amusai à caresser tes seins avec le bout de la cravache… Ravi de voir tes petits seins pointer de plaisir.
« Bien, nettoie son sexe avec ta petite langue, elle va finir par tacher la moquette »
C’était tout excitant de la voir te lécher ainsi, elle était allongé sur le dos et te donnait de larges coups de langue
« Nettoie bien en profondeur »
Un régal de voir tes seins pointer autant et ton bassin commençait à se trémousser.
« Fait la jouir, je veux l’entendre jouir !!! »

Je ne savais pas quelle attitude à adopter, obéir ou partir...je jouais à un jeu dont je ne maitrisais pas toutes les règles.
mais j'avais tellement envie de m'abandonner, c'était la première fois que je me faisais caresser par une femme. J'avais honte, et je prenais du plaisir à la fois.

Le fait d'être obligée de "subir" me dédouanait de tous sentiments de culpabilité, et je pouvais profiter pleinement de ses caresses sans me poser de questions sur mes envies et désirs.

Sans que je ne m'en aperçoive, la jouissance arrive lentement subrepticement, par vague, comme un ressac.
Mon corps bouge au rythme de cet océan de sensations, et je suis là gémissante, frémissante, et réclamant plus de caresses
encore.

Il l'encourage à me faire encore plus de bien, à me donner encore plus de plaisir. Quand arriva enfin le grand moment de jouissance intense je ne pouvais plus retenir mes cris rauques et sensuels. Ma tête retomba sur mes bras et mon corps ne tenant plus s'effondra de bonheur sur le sol. La jouissance m'avait anéantie et je m'endormais instantanément sur la moquette à ces pieds.

Il fit signe à Natacha de partir, et tout en sirotant sa coupe, me regarde pensivement

Je te regardai dormir paisiblement à mes pieds.
Finalement, tu avais besoin de cette autorité, tu refoulais cette envie de douces humiliations et l’épisode dans l’agence n’était qu’une résurgence de ce refoulement.
Je te caressais doucement les fesses, tout en imaginant la suite de ton éducation.
Puis ma main se glissa entre tes cuisses et je te fis te réveiller avec de douces caresses sur ton sexe.
« He bien ma petite soumise, j’ai rarement vu une petite coquine exprimer un tel plaisir »
Je t’invitai à te lever.
« Approche que je goute ton plaisir »
Je posai ma bouche sur ton sexe et te le léchai tout en te caressant les fesses.
« Tu vois Sarah, j’ai le sentiment que tu as envie de progresser dans ton éducation »
Tu ne disais rien et entre deux phrases ma langue passait sur ton sexe.
« Demain soir je reçois chez moi une Maitresse avec son soumis »
« Je pense que cela serait idéal pour te faire faire un pas de plus dans ta soumission. J’ai réserver Natacha pour l’occasion, me je serais ravi que tu prennes sa place et de pouvoir la décommander. »
« Je te promets que cela sera très soft, je les connais très bien, la Maîtresse est sévère avec son soumis, mais elle reste soft. »
« Je ne te demande pas une réponse maintenant, je te laisse la nuit pour y réfléchir. Par contre je veux ta réponse au plus tard demain midi par mail »
Je te mis une petite claque sur les fesses.
« Allez habille toi maintenant et va terminer ta nuit chez toi. Si ta réponse est positive je te veux à 19h précise chez moi que j’ai un peu de temps pour t’éduquer avant leur arrivée »

Je me réveillais sous son regard, un peu honteuse, mais apaisée. Il me dit qu'il recevait chez lui et qu'il avait demandé à Natacha de venir. J'étais partagée entre le sentiment de jalousie qui pointait à cause de Natacha  et l'appréhension d'une soirée avec de tels invités. J'avais peur de ce qui pouvait arriver.

Je n'osais pas imaginer ce qu'il entendait par soft. Je sentais bien qu'il voulait me soumettre un peu plus mais qu'il me laissait le choix. Je ne voulais pas paraitre non plus comme avide de soumission, mais je restais quand même très curieuse de ce qu'il pouvait se passer.
La curiosité allait elle l'emporter sur l'appréhension.... Je décidais que la nuit portait conseil et que je prendrais ma décision le lendemain seulement.

Ma nuit fut peuplé de rêve curieux ou je me transformais en animal, tantôt panthère, tantôt louve, parfois chienne.
Tous ces rêves étranges avait un seul point commun, j'étais à croupie sur un tabouret de cirque dans une cage et à chaque fois le dresseur qui faisait claquer son fouet pour me faire obéir était Mr Dupuis.

C'est avec cette image dans la tête que je partis au travail le matin.

Le lendemain midi, j'appelais Virginie pour lui dire d'envoyer un message à Mr Dupuis.....quand elle me demanda le contenu du message. Je sortis une pièce de ma poche et Pile c'est oui....Face c'est non....

Je laissais le destin décider pour moi
Il était midi moins dix et toujours pas de nouvelle de ma petite soumise. Je commençais à me dire qu’elle n’avait pas osé franchir ce nouveau pas.

Lorsque, je reçus un message de la banque et que je vis que c’était son assistante qui m’écrivait, je fus pris d’une grande déception et même d’un léger sentiment de frayeur à l’idée que Sarah avait du faire une rechute.

Le contenu laconique du message me rassura pleinement. Le fait qu’elle ait fait écrire par son assistante « Votre rendez-vous avec notre directrice est confirmé » en disait long sur l’état psychologique en disait long.

A 18h55, le doux bruit de la sonnette de ma porte me rassurait pleinement.

Avec grand plaisir je découvrais ma petite Sarah, vêtue d’un très joli tailleur et d’une paire de bas blancs que je ne lui connaissais pas encore. Elle baissa les yeux et cette image était charmante.

« Bonsoir Sarah, je suis ravi de ta venue »

« Au fond du couloir, c’est ma chambre, va te mettre toute nue, et attend moi, je vais venir te préparer »

Je te regarde parcourir le couloir et entrer dans ma chambre.

J’attends quelques minutes et te rejoint. Un grand plaisir de te voir, debout, nue, à côté de mon lit.

« Parfait Sarah, pour ce soir, tu ne porteras que ce joli petit tablier »

Je te mets le tablier blanc et te caresse les fesses pour te montrer le plaisir de t’avoir comme soumise.

« Tu iras toi-même ouvrir à mes invités. Tu les inviteras à entrer et tête baissée tu diras tout simplement à Maîtresse Sandra « Bienvenue Maitresse Sandra, mon Maître vous attend dans le salon »

« Ensuite tu accompagneras son soumis Bertrand dans la chambre afin qu’il mette la tenue choisi par sa Maîtresse. Puis vous attendrez que l’on sonne la cloche et vous viendrait tous les deux vous présenter à nous »

Je passe ma main sur ton sexe, avec une douce caresse, j’embrasse tes seins, puis tes lèvres.

« Bien, je te laisse, ils ne vont plus tarder, détend toi, je suis sûr que je serais très fier de toi »

"Pile, mince moi qui priais pour le Face", en fait je ne sais plus ce que je voulais mon esprit oscille entre la passion et la raison. Plus vite je dictait le mail à Virginie et plus vite je ne pouvais plus changer d'avis. Je décidais de jouer pleinement le jeux de ce coup du sort.

C'est pleine d'appréhension que je sonne à la porte, et que je suis ses indications.

Nous retournons dans la salle quand la sonnette de la porte d'entrée retentie, avec un sourire timide, je fis une petite révérence vers lui "Excusez moi, Monsieur on a sonné je vais ouvrir".

J'ouvre la porte d'entrée et je vois une femme habillée avec une grande jupe en cuir, une chemise à jabot et un corset en cuir lassé dessus, l'homme ou plutôt Bertrand était habillé dans une combinaison en latex noir un collier autour du cou, il se tenait en retrait par rapport à sa maitresse et semblait avoir les mains croisées dans le dos.

« Bienvenue Maitresse Sandra, mon Maître vous attend dans le salon ». Je renouvelais ma révérence, je les accompagnais jusqu'au salon. Elle me remit son imper ainsi que la laisse qui retenait Bertrand par le cou.

Quand j'accompagnais Bertrand dans la chambre je m'aperçus qu'en fait ces mains étaient lié dans le dos, et qu'il portait un bâillon.  Aussi la porte de la chambre refermé sur nous, je défis son bâillon et je lui demandais s'il avait besoin de quelques choses, s'il avait soif ou fin, s'il voulait que je le détache. Mais il me dit juste "remettez le" je compris qu'il parlait du bâillon et je lui remettais en place, je m'assis sur le lit en attendant et fis signe à Bertrand de faire de même mais il restait debout la tête baissée.

Soudain dans le silence, on entendis raisonner la cloche, (pourvu que ce ne soit pas le glas). Et je repris en main la laisse de Bertrand pour vous retrouver dans la salle. En faisant encore une révérence, je disais "Nous voici, Monsieur"

« Tu vois Sarah, mon petit male a été puni pour avoir bâclé le ménage »

Tout en prononçant ces paroles Maitresse Sandra se leva et ôta le bâillon et détacha les mains de Bertrand. Puis elle sorti de son sac un petit tablier blanc identique à celui que tu portais. Tout en te tendant le tablier elle t’invita à aller aider Bertrand à ôter sa combinaison.

« Tu serais gentille Sarah, d’aller l’aider à mettre son tablier, tu vas voir, dès qu’il va porter son tablier il va se mettre à bander, c’est d’un ridicule. Normalement il se masturbe avant de se présenter à moi, je pense que tu te feras un plaisir de faire ce qu’il faut pour lui ramollir la queue. »

Je me délectai de la scène. J’avais expliqué à Sandra que tu étais novice et qu’il ne fallait pas te brusquer et j’étais satisfait de la voir te commander si gentiment.

Au moment où vous vous retourniez pour aller dans la chambre, je m’adressai à toi.

« Sarah, quand tu auras finit de le rendre présentable aux yeux de sa Maîtresse, il te montrera où se trouvent les choses dans la cuisine. Vous nous servirez un apéritif, nous avons déjà soif »

Dès votre départ, Sarah me félicita pour le choix de ma nouvelle soumise et lorsque je lui expliquai que tu étais la Directrice de mon agence bancaire, elle éclata de rire, en me disant « il va falloir que j’aille ouvrir un compte chez elle, je l’imagine très bien toute nue à son bureau en train de remplir mon dossier. Elle est bi ? ».  Je lui racontai l’épisode au club ou Natacha t’avais fait jouir rien qu’avec sa langue.

J'étais un peu choqué qu'elle me tende le tablier et qu'elle me demande de l'aider à se préparer. Avec Bertrand dans la chambre, je n'osais pas le regarder et je lui dis qu'il fallait mettre le tablier sinon il allait avoir des ennuis. Il ne bougeait pas et restais dubitative sur la conduite à tenir.

Finalement je me décidais à prendre les devant et je commençais à le déshabiller , le latex était comme une deuxième peau et j'avais l'impression de l'éplucher comme une banane. Quand il fut nu devant moi, son sexe s'est tendu et je vis qu'il avait un piercing sur le bout et sur les têtons. J'étais hypnotisée par celui implanté dans son sexe.

Je m'assis sur le lit et je lui demande d'approcher, il se rapproche de mes yeux et je vois de très près ce dont il s'agit.
Je le regarde en lui demandant si cela lui fait mal mais il ne réponds toujours pas. Je vois que son bout est gonflé sans doute le contact avec le latex, je lui met le tablier, et l'effet est immédiat, son sexe double de volume.

Je passais à la salle de bains et le fit assoir sur le rebord de la baignoire. Je prend un gant que je passais à l'eau froide pour calmer ses ardeurs mais plus je m'activais et moins cela le calmait je crois bien que cela augmentais encore plus le problème.

Finalement je me dis que la seul solution pour calmer un homme dans cet état était la même qu'il soit soumis ou maitre.
A peine je posais ma bouche sur son bout qu'il se mit à bouger et à me tenir la tête en même temps, en venant jusqu'au bout de son plaisir.
Une fois son désir apaisé son sexe repris une taille normale.

Il me guida dans la cuisine et montra ou était le bar, nous préparons les plateaux en silence pour les emmener dans la salle

Vous voir arriver tous les deux, avec votre petit tablier les plateaux à la main était ravissant.

J’étais très fier de toi.

Sandra devait ressentir les mêmes choses que moi au vue de sa réaction.
« Ils sont mignons tu ne trouves pas. On dirait qu’ils ont été dressé ensemble »
« Oui oui, en effet, c’est très mignon je trouve »

Alors que Bertrand terminait de servir sa Maîtresse, elle tira sur la ficelle de son tablier.
« Tu vois, après trois mois d’apprentissage il a enfin réussi à s’épiler correctement le sexe. »
« Bertrand, montre à Monsieur comment tu as un sexe de bébé maintenant »
Bertrand sans un mot se tourna vers moi et me présenta son sexe mou parfaitement épilé.

Sandra avait l’air bien plus ludique qu’à l’accoutumé.

« Au fait Bertrand, as-tu remercié notre la petite femelle pour t’avoir aidé à te branler »
« Non, Maitresse, pardonnez-moi, je suis un incapable Maîtresse »
« Oui, c’est le mot, un incapable, qui mérite tout juste de me servir et de m’accompagner en sortie »

Sandra se tourna vers moi.
« Ce petit male est incroyable, sais-tu que j’arrive à le faire éjaculer simplement en claquant des doigts. Si tu veux bien demander à ta femelle de le faire bander, j’aimerais bien tenter une expérience »

Tu me regardes à la fois interrogative et un peu paniquée.
« Oui, bonne idée »
« Sarah, tu nous montres comment tu sais faire redresser une queue en berne »
Je te donnais une petite claque sur les fesses pour t’encourager et te donner le signal de l’action.

Je m'approche de Bertrand, je commence à le caresser mais rien n'y fait il reste les yeux fixées sur sa maitresse.
Je fais tous ce que je peux pour faire plaisir à mon nouveau maitre, mais de guerre lasse, Bertrand était droit comme un I mais seulement son corps. J'étais à genoux devant lui en essayant encore quand Sandra me regarde et te dit ...."Eh bien ta petite, elle n'a pas l'air très douée, je ne sais pas si tu as fais une bonne affaire.
Regarde " et elle claque dans les doigts, aussitôt le sexe de Bertrand se met au garde à vous...et elle te redis "et attends tu n'a pas tout vu" "Bertrand GO"  Et la Bertrand éjacule sur moi sans même que je n'ai eu à le toucher.
L'ordre de Sandra claqua dans le silence de la pièce. "Debout Sarah, Bertrand va te nettoyer".

Et la Bertrand se mit à me lécher pour retirer chacun des gouttes qu'il avait lâché sur moi.

Tu as encore du travail avec elle mon petit Alain....Peut être tu aurais besoin d'un stage de remise à niveau ?

J’étais un peu vexé par sa réflexion. Et je ne pouvais pas lui dire pourquoi je devais rester soft avec toi.

Avant même que je pus reprendre la parole elle se leva.
« Bien Sarah, je sens que ton Maître n’est pas dans son assiette ce soir. Je vais te faire un petit bout d’éducation. »
Elle se lève, et t’ordonne de tendre la main. Puis elle s’adresse à son soumis.
« Allez toutou, apporte ta petite queue »

Bertrand s’exécuta et déposa ses testicules dans la paume de ta main. Puis elle te prit l’autre main et la dirigea vers la fesse de Bertrand. Ta main claqua sur la fesse de Bertrand.

« Regarde, sa petite queue se redresse déjà un peu. Tu vois c’est ainsi que l’on refait bander un petit male. Continue !!!»

« Tu dois aussi l’encourager avec la voix, ordonne lui de bander et tu verras sa queue t’obéir»

« Allez, que ton Maître soit fière de sa femelle ! »

"Allez Sarah prouve lui que tu es à moi"

Je n'avais pas aimé la façon dont elle parlait de lui et je trouvais qu'elle le rabaissait un peu de trop surtout que c'était à cause de moi qu'il ne pouvait lui montrer l'étendue de son pouvoir sur moi.

Je me décidais à lui montrer comment je pouvais être appliquée à obéir et tant pis pour Bertrand, il recevait peut être la fessée la plus magistrale qu'il avait reçu de sa vie, en cinq minute, il éjacula tellement loin que son sperme atteignit le visage de sa maitresse.

Ensuite je viens m'assoir à tes pieds et posais le genoux sur ta cuisse en signe de soumission.
Et c'est l'œil triomphant que tu te retournais vers elle en lui disant. "Je pense que c'est toi qui devrait prendre des cours"


 



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