015 - Deuxième visite médicale

Sommaire

Impatient

(M. QUENTIN)
Pour une fois, cette journée de travail commence bien avec cette enveloppe de la médecine du travail dans la case de mon courrier. Je souris en découvrant ma convocation pour le lendemain 17 h 30. Cela fait un mois que je repense à ce moment où elle m’avait masturbé l’anus et le sexe avec une sublime dextérité.
Arrivé cette fois-ci presque trop en avance, excité à l’idée de la revoir, je regarde impatient les minutes s’écouler. Je suis bien loin de ma mauvaise humeur du mois dernier. Mon esprit est partagé. Je ressens des pulsions dans mon membre à l’idée de la voir apparaître dans l’encadrement de la porte de son bureau tout en ayant aussi une sorte d’appréhension, de fébrilité à me trouver à nouveau face à elle.
Mon cœur s’emballe lorsque j’entends ses pas et sa voix, raccompagnant le patient précédent. Je me dis, l’espace d’un court instant : « Pourvu qu’elle ne soit si « coquine » qu’en ma présence ! »
(La doctoresse)
Il fait encore très chaud en ce début septembre. Je regarde mon carnet de rendez-vous pour la dixième fois au moins. En fait, depuis ce matin, quand Sophie, mon assistante, m’a donné la liste des noms, je n’ai eu d’yeux que pour le dernier de la liste. Était-ce un hasard ? Je ne repensais qu’à notre dernière fois. Je me souvenais de ne pas avoir osé lui dire que je voulais le revoir.
Je n’en revenais toujours pas du comportement que j’avais eu avec lui. Cela ne m’était jamais arrivé avec un autre patient auparavant. Je crois que tout s’est déclenché lorsque je l’avais vu assis sur le banc attendant nerveusement d’être appelé. Puis, lorsqu’il s’est levé, j’avais eu soudain l’envie de l’avoir, de le posséder. Enfin, je savais bien que ce devait être impossible. Pourtant, quand il s’est trouvé devant moi, dans mon bureau, je me suis transformée en véritable assoiffée, non pas de sexe, mais uniquement de lui.
Maintenant il allait être là de nouveau. Je ne savais plus comment faire, intimidée, la gorge nouée tout en raccompagnant ce patient juste avant lui.
J’ouvre alors la porte, il est assis sur sa chaise, droit devant moi, un léger sourire sur les lèvres. Je passe devant lui droite comme un i et je lui dis d’un air détaché :-
- M. Quentin, bonjour ! Suivez-moi je vous prie !
(M. QUENTIN)
Mon cœur se met à battre encore plus lorsque la porte s’ouvre. Ma mémoire se rafraîchit de l’image de cette femme avec sa blouse et ses formes si excitantes. Elle jette juste un bref regard sur moi, comme elle le fait sans doute avec n’importe quel patient. Une réflexion me traverse l’esprit : « A-t-elle oublié ou est-ce que je ne l’intéresse plus ? »
Mon regard la suit avec un mélange de délice et d’appréhension. Je m’attends à un regard complice et je la retrouve aussi professionnelle que lors du début de mon premier examen.
Je n’imagine pas une seconde qu’elle puisse faire comme si rien ne s’était passé.
Tout en attendant que j’arrive près d’elle devant sa porte alors que nous sommes seuls dans cette salle d’attente, elle ne marque aucune familiarité.
Passant derrière elle pour aller à son bureau, je profite pleinement du plaisir d’admirer la forme de ses hanches, de ses fesses, de ses cuisses que je devine sous sa blouse plus transparente que la dernière fois. Ce plaisir est juste terni à l’idée affreuse qu’elle aurait tout oublié pour une triste visite médicale classique.
Elle se dirige directement vers son bureau et s’assoit. Elle se saisit de ce qui doit être mon dossier. Je suis déconcerté par son attitude et je reste debout, hésitant à m’asseoir alors qu’elle ne m’a pas encore invité à le faire.
Je retrouve la dernière image que j’avais eu d’elle : le bouton de sa blouse dégrafé qui me permet d’admirer les formes bombées de ses seins.
(La doctoresse)
Une certaine gêne s’est installée depuis qu’il est entré. Je ne sais pas comment faire, les images de la dernière fois me reviennent. J’aimerais beaucoup refaire comme la dernière fois mais j’ai honte de ce que j’ai fait. C’est contre ma déontologie.
Je ne peux quand même pas encore me laisser aller et pourtant il me fait autant d’effet. Je vois bien que son regard est empli de doute, devant s’attendre à autre chose qu’une simple visite :
  • Asseyez-vous M. Quentin ? Voilà, je dois vous avouer quelque chose !
Je sens alors que je deviens rouge écrevisse et une chaleur que je ne peux trop définir m’envahit. Je m’apprête à lui révéler ceci : « Je dois vous présenter des excuses, pour mon comportement du mois dernier. En fait, euh, euh… »
Mais non tout de même je ne peux lui avouer que j’ai abusé de lui, que je n’aurais pas dû, et qu’il me plaît terriblement. Je risque gros, En plus s’il voulait porter plainte, il l’aurait fait.
Non je ne peux pas recommencer sans être sûre qu’il soit d’accord. Je suis troublée : « Je ne peux quand même pas lui demander s’il aimerait coucher avec moi ! » J’en ai pourtant si envie !
Je fais mine de regarder son dossier, en même temps, je dégrafe le deuxième bouton de ma blouse laissant entrevoir la naissance de mes seins. Je le regarde et je lui souris. Je veux voir sa réaction. Il me semble qu’il sourit, je croise et décroise mes jambes.
J’appréhende sa réaction.
Il peut mettre ma carrière en l’air comme il veut… Malgré tout je craque. Doucement mon pouce passe dans l’échancrure de ma blouse, je me caresse la naissance du sein en regardant son dossier.


Remémoration

(M. QUENTIN)
Pour la première fois, à mon grand plaisir, je ne la vois plus comme une doctoresse mais plus comme une femme que je désire. Elle me paraît encore plus belle, plus excitante sous sa blouse lorsque je fais abstraction de sa fonction.
Ravi, mais quand même angoissé à l’idée qu’elle voulait m’avouer une chose, je me risque à une question :
  • Vous voulez m’avouer quoi, s’il vous plaît ?
Son sourire est craquant, ses gestes si excitants. Mon regard suit ses doigts et lorsqu’elle dégrafe le bouton de sa blouse laissant apparaître un peu plus ses seins, je retrouve l’image de ma bouche goûtant la douceur du tissu recouvrant son sein, moment délicieux et quelque peu frustrant de ne pas avoir pu y goûter plus.
  • Non, rien, je réfléchissais en me remémorant votre dernière visite.
Mon esprit revient inlassablement sur le déroulement de cette visite : sa double masturbation si jouissive, mes lèvres sur sa poitrine… Tout cela est si excitant que mon sexe commence à bander.
Je n’arrive pas à lui exprimer que ce qu’elle m’avait fait vivre ce jour-là avait été divin. Je cherche comment le lui dire, mais je bloque. Je ne trouve pas les mots. Je voudrais lui dire que j’ai pris un énorme plaisir, que depuis, chaque jour, j’y repense et que j’en veux encore plus.
Sa beauté et son côté si professionnel m’intimident toujours autant. Machinalement je décroise les jambes, j’espère que son regard se porte sur mon pantalon, sur la bosse qui devient de plus en plus visible. Je veux lui montrer ce que je n’arrive pas à exprimer par les mots.
(La doctoresse)
Je me rassure en me disant que j’ai raison de ne pas m’excuser. Il avait semblé tellement prendre de plaisir. Je ne sais pas si c’est mon imagination, mais il me semble que je vois une bosse dans son pantalon.
Je reprends son dossier et je lui pose les questions habituelles. Je lui précise :
  • Votre prise de sang montre juste un problème qu’il faut explorer. C’est au niveau de votre prostate. Je vais d’ailleurs avoir besoin de vous poser quelques petites questions.
Et, lui tendant un questionnaire,
...j’ajoute :
  • Je vous prie de remplir cette feuille du mieux que vous pouvez. J’ai conscience que ce questionnaire comprend beaucoup de questions et que peut-être vous n’avez pas toutes les réponses, remplissez ce que vous pouvez et pour celles dont vous ne connaissez pas la réponse, nous verrons cela ensemble. Quand vous aurez terminé, vous irez derrière le paravent, voici une chemise d’auscultation. Je dois vous laisser un instant, j’ai un coup de fil perso à passer. Je n’en ai pour pas trop longtemps.


Le questionnaire

(M. QUENTIN)
Le mot « problème » aurait dû m’inquiéter fortement, mais je reste sous son charme. Mon regard est comme aimanté par sa poitrine, sans doute la frustration de n’avoir pu la goûter plus avant. Ses seins, légèrement découverts exercent sur moi un effet diabolique. Je n’ai qu’une envie, poser à nouveau mes lèvres sur eux. Je n’espère qu’avoir sa poitrine à portée de mes lèvres lorsqu’elle me tend le questionnaire.
Je le saisis. Elle se penche pour me tendre son stylo, me faisant découvrir les jolies rondeurs et l’échancrure. Je suis énorme la regardant sortir du bureau.
Je commence à étudier les questions. Qu’elle n’est pas ma surprise devant l’indiscrétion contenue dans chacune d’elles. J’étais venu dans son bureau sans la gêne qui m’avait accompagné lors du premier examen et à la lecture de ces questions je retrouve cette même gêne.
Je suis d’autant plus gêné qu’à chacune de mes réponses je me demande comment elle va les interpréter. C’est la première fois de ma vie que je dois parler de mes masturbations. Je me dis que cette épreuve aurait pu être pire, mon embarras aurait été décuplé si elle m’avait posé ces questions de vive voix.
Je me place devant son bureau pour remplir ce questionnaire.
Avez-vous des érections sans difficulté ? oui
Si oui à quelle fréquence ? plusieurs fois par semaine
Quand vous avez une érection, vous soulagez vous à chaque fois ? non
Votre éjaculation est-elle forte ou faible ? forte je crois
Quelle quantité d’éjaculat avez-vous à chaque éjaculation ? je ne sais pas
En répondant à ce « devoir », surtout en écrivant : « je ne sais pas », en plus de la gêne, je retrouve le même souvenir que lors de la dernière visite : celui d’un petit garçon mal à l'aise devant sa maîtresse d’école.
Votre éjaculat est-il plutôt épais ou clair ? clair il me semble
Avez-vous beaucoup de liquide pré-séminal (*) ?
Je dois relire trois fois la question avant de comprendre qu’elle me demande si je mouille beaucoup avant. Je me sens devenir rouge en répondant « oui »
Sinon au niveau urinaire, vous vous relevez la nuit pour uriner ? non
Éprouvez-vous des difficultés à uriner ? non
Vous arrive-t-il de laisser quelques gouttes d'urine sortir par mégarde ? non
Depuis quand remonte votre dernière analyse d’urine ? un an env.
De sperme ? jamais eu
Au moment où je termine ma dernière réponse, j’entends ses talons dans le couloir. Comme un petit gamin qui a peur de rendre son devoir en retard, je pose précipitamment le questionnaire sur le bureau, je prends la chemise et me précipite derrière le paravent.
Je commence à ôter ma chemise lorsqu’elle entre dans le bureau. Me mettre nu en sachant qu’elle est sans doute en train de lire mes réponses décuple mon excitation. Je bande déjà beaucoup en enfilant la chemise et je retrouve l’excitant contact du tissu sur mon sexe qui se raidit encore un peu plus.
Je sors de derrière le paravent pour lui montrer que je suis prêt. Cette fois, je n’éprouve aucune honte à me présenter devant elle tout bandant sous la chemise. J’ai quand même une certaine gêne à savoir qu’elle a lu mes réponses. En avançant vers elle, je sens mon gland se gonfler et devenir humide. Je ne peux m’empêcher de repenser à ses questions, ce qui augmente encore plus ma gêne.
(La doctoresse)
  • Bon, je viens de voir vos réponses. Il me faut certains compléments, votre analyse d’urine date un peu, nous allons en refaire une. Vous dites avoir des érections plusieurs fois par semaine, mais vous ne vous soulagez pas à chaque fois, votre problème vient peut-être de là. Bon, nous verrons cela plus tard, voyons déjà la suite.Ah vous n’avez pas connaissance de la quantité de sperme, il va falloir aussi vérifier cela.Bon beaucoup de liquide pré-séminal est plutôt bon signe, vous ne devez pas avoir de problème avec votre partenaire lors de l’acte.
  • Il vous semble que votre sperme est clair ; il faudrait être sûr aussi de cela, c’est important.
  • Oui vous avez une éjaculation forte mais c’est plutôt normal vu que vous ne vous soulagez pas à chaque érection.
Puis tout en souriant et le regardant droit dans les yeux :
 (*)
  • Ah oui d’ailleurs, on peut le constater sur cette chemise que vous venez d’enfiler !
Continuant de le regarder, j’ajoute :
  • Nous allons d’ailleurs procéder dès maintenant à ces prélèvements. J’avertis Sophie d’apporter le matériel. Nous serons plus tranquilles et cela sera plus confortable pour cela.
Appuyant sur l’interphone pour prévenir Sophie, je continue de m’expliquer tout excitée des images coquines qui se bousculent déjà dans ma tête, commençant à m’ouvrir de désirs.
  • Nous allons faire ces prélèvements pour gagner du temps et envoyer cela a un labo spécialisé. Vous passerez dans la salle à côté pour cela. Je vous rejoins.
    Je suis désolé M. Quentin, mais cette pièce n'est pas équipée pour faire les prélèvements d'urine, il faut aller dans la pièce à coté. C'est donc Sophie qui va se charger de vous expliquer comme on doit procéder pour ne pas contaminer le prélèvement. Vous voyez c'est un peu compliqué car il faut désinfecter avec un produit et ensuite il ne faut pas analyser le premier jet mais le deuxième. Bref, Sophie est parfaitement au courant, elle vous aidera.

    Quand vous reviendrez, nous discuterons du reste.

(*) : Liquide pré-séminal ou pré-éjaculatoire: (Source Wikipédia: pourquoi vous expliquer, Wiki le fait si bien à ma place!)
Le liquide pré-éjaculatoire est un liquide visqueux et incolore secrété par les glandes de Cowper, et émis par l'urètre de l'homme lorsqu'il est excité sexuellement, avant qu'il n'atteigne l'orgasme et n'expulse le sperme au cours de l'éjaculation.
Il sert à la lubrification, facilitant à la fois le coït (tout comme la cyprine chez la femme) mais aussi le mouvement du prépuce sur le gland. Il sert également à protéger les spermatozoïdes de l'acidité du vagin et des restes d'urine dans le canal urétral. Il a également des propriétés immuno-défensives et joue un rôle dans la coagulation du sperme.
Il est secrété en quantité variable selon les individus : certains n'en produisent pas du tout, d'autres jusqu'à 5 millilitres.
Il est aussi différent du liquide séminal produit par la stimulation de la prostate (doigté ou gode).





Le prélèvement d'urine
 (La doctoresse)
Sophie arrive avec un « haricot » et le matériel en disant :
  • Venez par ici M. Quentin !
Connaissant Sophie et ses pratiques, je ne peux pas retenir mon excitation. J’imagine déjà cet homme un peu timide que Sophie ne va pas manquer de gêner encore plus. Sophie est tellement consciencieuse à ce niveau qu’elle va même aller jusqu’à l’aider, quitte à le tenir elle-même afin qu’il n’y ait pas d’incident.
Humm je pense qu’après ce petit intermède, il sera encore plus facile de faire le prélèvement de sperme.
(M. QUENTIN)
C’est quand même moins gênant que de devoir répondre oralement à ces questions. Le temps qu’elle relise et commente ainsi mon questionnaire, je reste là, planter face à elle, de plus en plus gêné. Son ton professionnel est intimidant, pourtant son regard s’attarde quelques secondes sur le bas de ma chemise. Elle doit bien voir combien je bande et combien elle m’excite. Mais elle semble imperturbable et je n’arrive pas à déceler le moindre de ses sentiments.
Tout comme la première fois, je n’arrive pas à savoir si elle joue avec moi ou si son côté professionnel prend le dessus. Elle est pourtant forcément coquine en ayant déboutonné sa blouse ainsi.
Lorsqu’elle fait allusion à la tache sur ma chemise, je ressens une grande bouffée de chaleur et pour tout arranger une encore plus grande humidité soudaine sur mon gland. Je ne peux m’empêcher de regarder ma chemise et d’en constater l’auréole.
La gêne que j’éprouve n’est qu’un faible échantillon de ce que l’on peut ressentir. Lorsqu’elle appelle Sophie, je faillis vaciller. Non, elle ne peut me faire subir cela. Je me tourne un peu pour espérer échapper au regard de sa collaboratrice. Sa phrase suivante me fait comprendre que c’est peine perdue. Quel idiot je suis ! Je me sais seul avec cette doctoresse et je suis tout fier de lui montrer mon excitation puis, d’un trait, je me sens le plus confus et surtout le plus bête des hommes.
Je ne me suis jamais senti aussi gauche qu’en quittant le bureau pour suivre sa collaboratrice, d’autant plus gauche que j’imagine la doctoresse s’amuser de me voir ainsi.

Sophie était bien moins jolie et désirable que la doctoresse. À chaque pas j’espère sentir mon sexe se détendre mais il n’en est rien. Ce maudit tissu qui me caresse le gland à chaque pas m’excite bien malgré moi.
Sophie saisit deux flacons. Alors qu’elle me les tend son regard se fixe sur le bas de ma chemise. Sa surprise ne fait qu’amplifier ma gêne, et quand je dis ma gêne c’est bien parce que je n’ai pas d’autres mots pour exprimer cela.

Elle semble encore plus professionnelle que sa patronne et ne se démontant pas :
  • Ha, de vous voir ainsi, ce sera plus simple pour un prélèvement de sperme !
Je ne sais plus ou me mettre pendant qu’elle ajoute :
  • Bien suivez-moi, Dites-vous bien que ce n’est pas le premier à qui cela arrive…
Elle ouvre la porte des toilettes de la pièce et pose les deux récipients sur un rebord :
  • Soulevez votre chemise, je vous prie !
Ma gêne doit se voir à des kilomètres mais elle n’en fait nullement cas, du moins rien ne laisse transparaître de ses émois. Tout penaud, je m’exécute lentement :
  • Ah, cela ne va pas du tout, attendez-moi et ne bougez pas !
Je me sens ridicule, tout bandant, la chemise relevée. Elle fait l’aller-retour vers le placard :
  • Il ne faut surtout pas mélanger ce liquide pré-éjaculatoire avec l’urine, cela ferait curieux. Enlevez votre chemise, s’il vous plaît !

Sans trop comprendre, je m’exécute à nouveau. Puis elle me tend une compresse :
  • Essuyez votre gland !
Décidément, rien ne m’est épargné et j’essuie mon gland sous son regard :
  • Mieux que cela enfin !
Elle sort alors une deuxième compresse de la poche de sa blouse et m’en entoure le gland, voilà que je ressemblais à une bouteille avec sa cravate servie par un maître d’hôtel…
Je sens mon sexe se raidir encore plus. Je ferme les yeux quelques secondes. Avec le creux de la paume de sa main elle appuie à plusieurs reprises sur mon gland. Je me mords la lèvre pour ne pas réagir mais je ne peux éviter un mouvement du bassin :
  • Ne bougez pas enfin !
Je me mords la lèvre encore plus fort tout en me disant que tout compte fait elle me plairait bien aussi, les images coquines ne manquent pas d’affluer !
Elle enlève la compresse :
  • Parfait, cela doit aller maintenant.
Avec deux doigts, elle saisit mon sexe et le fait pénétrer légèrement dans le flacon :
  • Allez et je ne veux que du pipi, concentrez-vous sur des choses sérieuses et arrêtez de rêver…
L’impression d’être un gamin devant la doctoresse est bien faible par rapport à ce qu’elle me fait subir. Je fais un effort pour me concentrer, et je réussis à lâcher quelques gouttes d’urine. Sans relâcher mon sexe, elle présente le deuxième flacon sur mon gland :
  • Allez, un dernier effort !
Toujours la lèvre entre mes dents, je réussis à libérer suffisamment d’urine :
  • C’est parfait, vous pouvez retourner voir la doctoresse pour la suite de votre consultation. 
Je me saisis de la chemise, mais à peine j’esquive le moindre mouvement pour l’enfiler qu’elle me l’arrache des mains :
  • Ah non, vu comment vous l’avez tachée, c’est hors de question de la remettre !
Pour couronner le tout, elle me met une petite claque sur les fesses en ajoutant, mi-amusée :
  • Allez, hop, chez la doctoresse et en vitesse !
Je ne me fais pas prier et traverse la pièce tout penaud. Et c’est encore plus penaud que j’ouvre la porte du bureau.
La doctoresse est à ranger des dossiers dans son armoire. M’entendant, elle tourne brusquement la tête et son regard se fixe sur moi, plutôt vers le bas que droit dans les yeux…
En plus de me sentir ridicule avec mon sexe dressé, je me mets à avoir peur qu’elle me demande ce que j’ai fait de la chemise.



Il ose

(La doctoresse)
Le voyant revenir, nu comme un ver, le sexe en érection, mes sens s’échauffent. Je me doute que Sophie a bien fait son travail mais jusqu’où ?
Je ne voulais pas le mettre trop mal à l’aise mais je dois lui demander quand même.
Alors en lui souriant, je lui dis :

  • Ça y est les prélèvements sont faits, les urines et le sperme ?
Il baisse les yeux et ne répond pas.

 Heureusement Sophie arrive à cet instant avec un flacon et une blouse pliée elle les pose sur le bureau et je lui demande :

  • Sophie alors tu as fait les deux prélèvements ?
  • Non Docteur, finalement, je n’ai fait que le premier et encore heureusement que j’ai surveillé sinon il m’aurait mélangé l’urine avec du liquide pré séminal. Je dois y aller maintenant pour porter le prélèvement au laboratoire avant sa fermeture. Je ferme à clé le cabinet derrière moi comme ça, il n’y aura pas de problème d’intrusions !
Sophie sort en fermant la porte.
À ce dernier mot, sa tête se relève, il me regarde et je fais de même, je lui souris. Sophie avait le don pour mettre mal à l’aise certains patients.
Je lui dis :

  • Mais je vois que vous avez dû tacher votre blouse, pour que Sophie vous la retire.
Puis riant en le regardant droit dans les yeux :

  • Il ne reste que deux solutions : soit je retire la mienne, soit je vous en redonne une.
Tout en disant cela, je dégrafe deux autres boutons de ma blouse. Puis j’ajoute, sur un ton très coquin :

  • Détendez-vous ! C’est une blague, vous pouvez prendre la blouse posée sur le bureau. Bon, il reste encore l’autre prélèvement à faire, si vous voulez bien passer derrière le paravent voici un flacon. Je vous laisse faire, si vous n’y arrivez pas, je viendrai vous aider. Je suis sûre que vous le voudriez bien non ?

(M. QUENTIN)
Voir ces deux femmes parler de moi, de mon sperme, et me voir nu le gland tout sorti, je ne peux que baisser les yeux. Je me dis : « Ce n’est pas possible, elles le font exprès, ce ne peut être aussi naturel de mettre un patient dans une telle situation gênante. »
La sortie de sa collaboratrice fut une libération. Je relève la tête en exprimant dans mon regard l’envie que j’avais d’elle en la regardant droit dans les yeux avec un demi-sourire.
Comme pour me remettre à ma place, elle prend grand plaisir à me rappeler combien j’ai mouillé la chemise.
Lorsqu’elle propose d’enlever sa blouse, une grande joie m’envahit, mais avant même que j’acquiesce à sa proposition, son rire et sa formule : « C’est une blague », me font déchanter. Elle a pourtant dégrafé un peu plus sa blouse et je peux ainsi voir encore mieux l’objet de mes désirs. Je n’en peux plus. Je sens mon gland redevenir tout humide. J’ai envie de me jeter à ses pieds, de l’implorer, de lui avouer tout l’effet qu’elle me fait.
Au lieu de cela, je prends la blouse sur son bureau et le flacon pour me diriger, tout penaud, vers le paravent.
Non, ce n’est pas possible, je ne peux pas me masturber ainsi, si près d’elle. J’ai un mal fou à mettre ma fierté de côté, à lui dire que je ne peux pas, que ce serait divin avec elle, que j’ai envie d’elle, de lui malaxer les seins tout en lui titillant les mamelons.

Je suis de plus en plus excité. Je me mets à me parler comme pour me donner du courage : « Ce n’est pas possible, ose, tu es seul avec elle… Allez fonce… ».
 Je prends alors une grande respiration, me mets bien droit comme lorsque je draguais plus jeune : « Allons, tu n’as pas oublié… Pas perdu la main… Fonce ! »
Alors, gonflé de désir, sans réfléchir que je dois être énorme, je sors de derrière le paravent toujours la blouse dans une main et le flacon vide dans l’autre et je m’écrie :

  • Madame, Madame, je crois que cela serait mieux avec votre aide !


Enfin...

(La doctoresse)

  • Bon, je vois que vous avez besoin d’aide, est-ce qu’une aide visuelle vous aiderait ?
Lentement, je dégrafe encore un bouton, puis un autre. Je ne sais pas ce qui me prend, mon excitation augmente. Je me prends à défaire tous mes boutons tout en lui souriant, en le regardant droit dans les yeux.
Tous les boutons de la blouse sont défaits, les pans sont restés l’un contre l’autre. Doucement je les écarte pour laisser entrevoir ma lingerie, bas noirs, porte-jarretelles, string en dentelle noire et soutien-gorge, le tout assorti.

Il ne bouge plus paralysé, tenant toujours la blouse dans une main et le flacon dans l’autre.
Je lui dis, mi-sarcastique :

  • Vous savez si vous voulez y arriver, il faut que vous preniez votre sexe en main et faites des va-et-vient…
Voyant qu’il ne bouge toujours pas, je m’approche de lui. Je le repousse sur le bord de la table d’examen. Je lui prends le flacon des mains, je l’ouvre et de l’autre main, je prends son sexe.

Je commence à le masturber lentement d’abord puis de plus en plus vite. Mes seins bougent à chacun de mes mouvements. Il commence à sortir de sa torpeur, pour émettre de petits gémissements.
(M. QUENTIN)
À chaque bouton qu’elle défait je sens un élancement dans mon sexe. Je reste immobile de peur de la voir s’arrêter.
La vision de ses dessous ne me fait pas regretter d’avoir mis ma pudeur aux oubliettes. Je n’ai qu’une envie, me coller à elle, à toutes ses dentelles, frotter mon sexe sur sa lingerie, lécher sa poitrine.
Non, je ne veux pas me masturber, cela serait un gâchis devant toute cette beauté qui se trouve face à moi. J’écarte légèrement les jambes comme pour mieux lui présenter mon sexe, comme pour la supplier.
Sentir sa main prendre mon sexe est divin.

Hummmm, son corps est à ma portée, à portée de mes lèvres. Elle sait divinement bien masturber… Je sens le plaisir envahir tout mon corps. Je laisse échapper un premier gémissement comme pour lui montrer le plaisir qu’elle me donne… Elle accélère lentement ses mouvements :

  • Hummmm, ouiiii... 
Je ne peux résister et ma bouche se pose sur la dentelle que couvre son sein… Cette odeur, cette forme, je mets fin à un mois de frustrations. Mes lèvres s’entrouvrent et ma langue goûte sa dentelle. Elle me masturbe de plus en plus vite. Ma langue commence à lui lécher le sein. Son téton est dur et gonflé. Je me mets à le titiller au rythme de sa main sur mon sexe :


  • Ouiiiii, ouiiiiiii…
Entre des coups de langue je laisse échapper des gémissements. Ma main se pose sur sa hanche et glisse sur sa fesse.
(La doctoresse)
Quelle audace me prend, je suis en train de le masturber et en plus j’y prends du plaisir, un tel plaisir que je vais peut-être même jouir en même temps que lui.
Quand sa bouche se pose sur mon sein, je sens son souffle chaud, ce qui augmente encore plus mon désir.
Mes seins durcissent, sa langue qui se pose sur la dentelle de mon soutien-gorge me fait frissonner encore plus si cela est possible. Le mouvement de ma main sur son sexe s’amplifie mais une seule envie remplit mon esprit: j’aimerais le sentir encore plus près de moi. Plus sa langue bouge et plus ma langue bouge aussi.
Sa main sur ma hanche puis sur ma fesse, me fait l’effet d’un choc électrique. Je ne peux empêcher mon bassin de basculer et je tends mes fesses vers sa main. Quelle douce caresse de cette main sur ma peau !
Elle caresse alors mes fesses avec plus de précisions. Cette main me fait fondre. Je continue de le masturber encore plus. Toujours plus vite, je lui murmure à l’oreille de se laisser aller afin que l’on en finisse avec cette histoire de prélèvement.
Pendant ce temps je vais en profiter pour vérifier la grosseur de sa prostate. Je passe ma main entre ses fesses et je lui glisse un doigt.

Je le caresse délicatement puis de plus en plus je malaxe cette prostate que je sens gonfler, pleine, prête à se vider…
Soudain dans le feu de l’action, je lâche cette phrase :

  • Vous savez c’est dommage de gâcher pour un prélèvement, j’aimerais tellement pouvoir en profiter, vous goûter !


Plaisirs naissants

(M. QUENTIN)
Elle me masturbe divinement. Le goût et la consistance de son sein sont un pur plaisir pour ma langue. Pouvoir tenir sa fesse ainsi était inespéré… Mes gémissements de plaisir se perdent sur son sein. Cette coquine aime cela. Sa façon de venir frotter ses fesses sur ma main m’enchante et m’excite.
Non, je ne veux pas en finir, je la veux tant, prendre et lui donner du plaisir. Je ne veux pas qu’elle me fasse jouir ainsi, si vite, dans ce récipient si froid, mais jouir pour elle.
Son doigt qui commence ses caresses entre mes fesses provoque une onde de plaisir dans tout mon corps, mais je veux absolument résister le plus longtemps possible, jouir de ce délicieux moment « masturbatoire ». Je me dis : « Profite de ce moment, laisse-toi aller, ne gâche rien, vraiment rien »
Je sens sa main ralentir. Elle est divine et sait parfaitement maîtriser une masturbation : « Oui, je ne vais rien gâcher, mais je voudrais aussi la goûter ! »
Mon autre main se pose sur son autre fesse, ma bouche glisse vers son ventre : « lui donner envie de m’offrir son bas-ventre… »
Je me laisse glisser, jusqu’à poser un genou à terre, mes lèvres effleurent la dentelle de son string, puis se posent sur son sexe… : « Hummmmm, c’est si bon, de sentir cette chaleur, cette humidité, à travers la dentelle… »
Puis ma langue lèche la dentelle sur son sexe… Mes mains commencent de lentes caresses sur ses fesses, suivant le mouvement de ma langue… Je veux la goûter pleinement. Sa dentelle est de plus en plus trempée de son plaisir et de ma salive…
Délicatement mes doigts font glisser son string pour offrir son sexe à ma bouche.
Un premier doux baiser sur son sexe nu, pour lui montrer le plaisir d’être là ainsi, puis un deuxième plus prononcé. Ma langue prend plaisir à lécher son suc et écarte délicatement les nymphes de sa vulve. Mes caresses sur ses fesses sont plus énergiques, je palpe, masse… J’hésite à passer sur sa noisette…

(La doctoresse)

Je me laisse porter par les caresses, dans un brouillard de plaisir. C’est plus fort que moi cet appel au plaisir. Pourquoi cet homme me fait cet effet ?
Ses deux mains me font me cambrer et me tendre encore plus. J’en arrête de le masturber. Sa bouche sur mon ventre, qui descend lentement, sa bouche qui touche mon sexe au travers de la dentelle, ses doigts écartant mon string, tout décuple mon désir.
Debout, de me laisser ainsi caresser, je suis pratiquement à chanceler. Je tiens à peine debout, tellement le désir est de plus en plus fort. J’hésite à m’offrir, à m’allonger sur une des deux tables pour complètement m’abandonner.
Je ne peux retenir mes mains de se poser sur sa tête pour ne pas tomber. Mes gémissements et soupirs remplissent la pièce.
J’ai l’impression que mon désir coule littéralement dans sa bouche. Mes jambes tremblent, sentir ses joues contre mes cuisses augmente encore l’intensité de mon désir.
Je suis appuyée contre le meuble bas, les jambes écartées au maximum. Je veux lui dire de me prendre là tout de suite mais je reste méduser, tétaniser par ma folie, la gorge nouée par le plaisir.

(M. QUENTIN)

Je prends un grand plaisir à m’appliquer pour lécher son sexe. Ma langue pénètre de plus en plus. Que son goût m’enivre. Mes mains caressent ses fesses de plus en plus fortement, pressent son bassin sur mes lèvres afin que je puisse la pénétrer plus profondément. Je sens ses tressaillements que la musique de ses gémissements amplifie.
J’adore la façon qu’elle a de s’offrir en écartant les jambes et en gémissant de plus en plus fort…
Je me redresse, caressant ses jambes puis ses cuisses avec mon sexe tendu et brûlant. C’est magique de se frotter ainsi. Ma langue reprend le chemin de ses seins, et s’en empare goulûment.
Je pose mes doigts sur son sexe.
Je me mets à la masturber par des massages amples de plus en plus prononcés, mon autre main quitte ses fesses pour dégrafer son soutien-gorge.
Ma langue excite maintenant ses seins nus, puis se dirige vers sa bouche, ses lèvres. Elle joue à aller chercher la sienne pendant que mon index pénètre son sexe. Mon autre main glisse à la rencontre de son humidité comme pour me préparer à honorer son intimité…

(La doctoresse)

Appuyée contre le meuble bas, je sens sa langue, ses caresses. Je défaille, tressaille, me donne lorsque je le sens se relever. Je fonds de plus en plus lorsque je sens son sexe caresser mes jambes puis mes cuisses, sa langue s’emparant d’un de mes tétons.
Ses doigts me pénètrent et s’enfoncent en moi. Je suis trempée de désirs. Je m’accroche à ses épaules.
Mon corps suit les mouvements de ses doigts. Mon bassin ondule au rythme de ses envies. Je suis passée du statut de docteur et celui de femme avec les sens en émoi, avide de plaisir et n’ayant qu’une envie de plus en plus grandissante de me laisser aller…
Prendre mon plaisir, et en donner sont les seules choses qui m’importent en cet instant. Mon souffle s’accélère, je gémis je l’encourage : « Oui, prenez-moi, c’est si bon… »



Explosions

(M. QUENTIN)
Je me prends au jeu de la faire gémir ainsi, de sentir son sexe s’inonder de plaisir à chacune des pénétrations de mes doigts. Je sens s’ouvrir le chemin de sa noisette, l’étau de cette autre intimité cacher entre ses fesses. J’aime la sentir vibrer entre mes mains… Ma langue se perd dans sa bouche, allant et retournant sur ses seins.
Je sens le plaisir monter de plus en plus fort en moi, je suis gonflé de désir. Je sens que je ne vais plus pouvoir me contenir trop longtemps mais je ne veux pas être ce mufle, la laisser m’implorer, me guider : Que c’est encore plus fort… À chaque mouvement de mes doigts dans son sexe, je frotte le mien sur la dentelle de son bas qui recouvre sa cuisse.
Lentement je ralentis la pénétration de mes doigts. Je frotte mon sexe sur le sien. Je suis au paroxysme de mon envie de la pénétrer là, de suite, violemment, être en elle, la posséder… Mon gland écarte doucement les lèvres de son sexe…

(La doctoresse)
Une immense chaleur m’envahit soudain. Il va enfin me prendre… Cela fait un mois que je rêve de cela toutes les nuits, que je rêve de cette étreinte torride, que mon corps appelle le sien, que mes mains me touchent, enfin non mes mains sont les siennes, que ses mains me touchent, me pénètrent : c’est lui… Et je me réveille trempée de sueur, je le cherche, mes doigts ne rencontrent que le froid des draps, se crispant, à les froisser de mes envies, de mes orgasmes solitaires…
Quand je sens son gland se poser lentement sur mes lèvres, je ne peux retenir un cri : « Oooooooooooooh, ouiiiiiiiiiiii… »
Doucement mon sexe s’écarte pour le laisser entrer. Ce moment de total abandon, où je donne la « clé de mes envies » comme je l’appelle, où je le sens glisser en moi, s’enfoncer dans mon intimité… Ainsi offerte, tout décuple mon envie de crier… Il va et vient, je le sens coulisser à l’intérieur de mon corps.
Je le sens me posséder en entier. Il me remplit de son désir. Je le sens contre les parois de mon corps. Je le serre du plus fort possible. Je bouge le bassin pour anticiper les mouvements du sien… Je suis complètement à lui… Je veux mon abandon total… Cette fois le rêve est devenu réalité.

(M. QUENTIN)
C’est bon de commencer à la posséder ainsi. De plus, voir qu’elle ne me refuse pas mais qu’elle s’ouvre encore plus, que cela m’excite au plus haut point ! Elle m’avait tellement fait bander me semblant inaccessible que mon plaisir en est décuplé.
Mon sexe la pénètre enfin et c’est divinement bon. Je la sens si exciter, son corps se donne libre, profondément, ses gémissements font place à de doux miaulements, je perds de plus en plus pied. Je voudrais prendre mon temps en elle, faire durer ces moments, qu’ils ne prennent pas fin. Toutes les excitations qu’elle me donne depuis mon entrée dans son cabinet font que j’ai beaucoup de mal à me contenir : « Non ! Ne jouis pas retiens-toi,, délecte-toi de ce superbe moment ! ».
Mes coups de reins accompagnent ses mouvements, la laissant plus se faire aller, je ne veux pas exploser sans elle… Ses élans sont de plus en plus rapides et prononcés. Je guide et suis le rythme de son bassin la tenant par les hanches. Nos gémissements respectifs excitent tous nos sens.
Je sens mon plaisir grandir et ce sentiment est si puissant, pouvoir retarder, quémander cet instant, ces quelques secondes de Bonheur face au sien que je veux long, puissant, sentir les cascades de ses orgasmes sur ma hampe, sentir ses ongles me transpercer à la violence de sa passion… Je sens la jouissance irrésistiblement, je suis prêt à exploser… Je voulais tant jouir en elle, entendre ses cris de plaisir encore plus forts…

(La doctoresse)
Le sentir me posséder comme j’en rêve chaque nuit. C’est si délicieux de le voir avec tant de plaisir et de douceur. Je sens un énorme respect et cela ajoute à mon désir. Puis c’est tellement mieux que d’en rêver. Je veux le sentir encore plus en moi. Dans de longs va et vient profonds, je le sens à la limite de l’explosion. Ce pouvoir que j’exerce sur son désir me transporte encore plus loin dans le mien.
Je sens son sexe de plus en plus profond en moi. Il vibre, tressaille, il ne doit plus être loin de m’inonder. Alors je me donne de plus en plus longuement, fortement je veux exploser de sa joie en moi… Sentir sa jouissance en moi… Un long cri incontrôlé s’échappe bien malgré moi… Je perds tout contrôle, crie, explose, folie de mon corps… Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis comme rarement… Ohhhhhhhhhhhh… Auparavant. Je ne suis plus maîtresse de moi… Je suis à lui, je le voulais tant !
Puis après cet éclair foudroyant, je reviens vite à moi, à ce travail, à cet examen… Reprendre toute ma lucidité… Alors je sors son sexe juste à temps pour le nettoyer avec ma bouche et voir venir son sperme dans le tube… Spectacle si magique qu’un énorme cri rauque accompagne… Je suis heureuse de le voir autant jouir… Que c’est beau un homme qui jouit et pour cette analyse il y en aura eu…

(M. QUENTIN)
Je m’attendais à tout, sauf à vivre ce moment avec toute son intensité et surtout voir le plaisir de cette femme haletante, demandeuse… Je n’en reviens toujours pas !
Les caresses de sa langue pour lécher mon gland avec mon sexe tenu entre son index et son majeur pour me faire exploser dans ce tube complète mon excitation qui atteint son comble. Je sens la jouissance monter, je ne peux plus rien contrôler… J’imagine sa bouche ouverte pour accueillir mon nectar… Je ferme les yeux pour mieux profiter de ce plaisir… Je sens le contact du tube sur mon gland brûlant… Sa main me fait aller et venir avec vigueur et, n’en pouvant plus, j’expulse ma nacre amoureuse… Cela s’accompagne d’un divin cri de jouissance, ce râle animal et le sperme gicle… Je jouiiiiiiiiiiiiiiiis…
En ouvrant les yeux, je découvre mon sperme couler dans le tube sous le regard envieux de cette femme. Je suis ébahi, elle se penche, s’offre mon sucre d’orge et le lèche pour ne pas en perdre une seule goutte… C’est fou comme ce n’est que délice… Décidément cette femme était des plus surprenantes.

(La doctoresse)
Je referme le tube puis à moitié nue je vais m’asseoir sur mon siège. J’indique son nom sur le flacon, puis tout en lui souriant :
  • Finalement tout à l’air de bien fonctionner de ce côté-là. Je vais envoyer ce prélèvement en analyse.
Je sens alors le rouge me monter aux joues et je ne sais pourquoi je me justifie mais… :
  • Vous savez, je ne fais pas cela avec tous les patients mais je ne sais pas pourquoi vous déclencher en moi des pulsions si étranges…

(M. QUENTIN)
J’étais aussi embarrassé qu’elle, mais la voir rougir ainsi me fait oublier quelques instants le ridicule d’être nu, le sexe épuisé face à elle :
  • Docteur, c’est réciproque, je n’ai jamais ressenti autant d’excitation dans un cabinet médical. Ce fut une première délicieuse pour moi.
  • Pour moi aussi vous savez, je vous trouve très agréable puis j’en avais envie…
F I N









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