003 - La lune se repose sur un lit de coton blanc
La lune se repose sur un lit de coton blanc
Cela fait des jours et des nuits que je l'attends
Elle est notre astre de lumière noire, si froide
Parfois devant nous sans cœur elle parade
La nuit sera longue sous son éclat de glace
Nue une danseuse dans le pré suit sa trace
Elle survole le reflet de l'astre, tel un papillon de nuit
Perdue dans ses pensées, et suit le ruisseau qui fuit
Les gorges abruptes et profondes de la montagne ciselée
Jettent leurs ombres comme autant de sombres pensées
Où périssent dans des feux de glaces les âmes damnées
Torturées par un amour insensé torride et bien mal né
Jettent leurs ombres comme autant de sombres pensées
Où périssent dans des feux de glaces les âmes damnées
Torturées par un amour insensé torride et bien mal né
Notre danseuse se moque de tout cela, son corps est libre
De toutes entraves, elle chante une douce mélodie qui enivre
Et les anges attirés par ce chant, descendent des cimes bleues
L’entourent de leurs ailes et ensemble forment un cœur mélodieux
De toutes entraves, elle chante une douce mélodie qui enivre
Et les anges attirés par ce chant, descendent des cimes bleues
L’entourent de leurs ailes et ensemble forment un cœur mélodieux
L'amour est au rendez-vous, les Anges et cette fée, sous l'éclat de lune
Ils sont là tous les deux, les amoureux tendrement enlacés sur la dune
Leurs corps fusionnés scintillent de mille éclats de diamant
Fermons ce rideau de nuit sur nos deux tendres amants
Ils sont là tous les deux, les amoureux tendrement enlacés sur la dune
Leurs corps fusionnés scintillent de mille éclats de diamant
Fermons ce rideau de nuit sur nos deux tendres amants
Seuls leurs soupirs se perdent dans la brume infinie
Serments éternels et volonté de suivre leurs envies
Au petit matin, alors que l'astre s'efface du ciel encore sombre
La danseuse aux seins nus s’éclipse doucement dans l’ombre
Serments éternels et volonté de suivre leurs envies
Au petit matin, alors que l'astre s'efface du ciel encore sombre
La danseuse aux seins nus s’éclipse doucement dans l’ombre
Laissant l'Ange, envahi de souvenirs brûlants et de saveurs délicieuses
Sentant encore la douceur de sa peau tendre douce merveilleuse
Il n'y aura jamais rien de plus grand et plus beau
Que deux cœurs purs s'aimant si haut
Sentant encore la douceur de sa peau tendre douce merveilleuse
Il n'y aura jamais rien de plus grand et plus beau
Que deux cœurs purs s'aimant si haut
CmY novembre 2012
1
RépondreSupprimerChloéMaudChris Profil de ChloéMaudChris
Jeudi 12 Février 2015 à 06:14 Supprimer le commentaire
ChloéMaudChris
Méli,
Quel merveilleux poème auquel je suis très sensible. Les photos ouahhhhhhh superbe.
Tu écris vraiment bien. Cela mérite vraiment d'être publié sur un site qui te met en valeur et non pas sur un site fouilli comme avant hihihi
Bisous