012 - Première visite médicale

Sommaire


Je suis à remettre mes textes en place sur ce blog. Certains ont déjà été publiés sur des sites ne les mettant pas en valeur et de ce fait très peu lus. Ce sont des récits de fictions ou de situations vécues par mon entourage ou par moi-même.
Le récit que je vous présente aujourd’hui se passe lors d’une visite médicale à la médecine du travail. J’espère qu’il vous plaira. Je partais en vacances et j’étais pressée de le publier. 
J'espère que vous aurez autant de plaisir à me lire, que moi de les avoir écrits !


 Sommaire
Dans la salle d'attente

(M. QUENTIN)
Cela fait maintenant plus d'une heure que j'attends dans la salle d'attente. Il est 18h et je me demande si je ne vais pas avoir à revenir demain...
Déjà que cette visite annuelle est une corvée, cela serait le bouquet.
À ma grande surprise, la porte s'ouvre. La doctoresse arbore un large sourire et m'invite à entrer.

( La doctoresse )
Quelle journée fatigante aujourd'hui, la chaleur était caniculaire toute la matinée et après le repas, c'était encore pire. En plus la climatisation est en panne. Heureusement que nous avons encore pu mettre en route les anciens ventilos. Pendant la pause déjeuner, j'avais décidé de quitter ma robe pour ne garder que ma blouse. Un coup d'œil dans le miroir me rassure sur ma tenue. On ne voit pas le contraste entre mes sous-vêtements noirs et la blouse blanche dont le fin tissu reste néanmoins opaque.
 Ouf 17 h 50, la journée se termine. Je peux me détendre un peu. Je détache mes cheveux, passe mon visage sous l'eau. Une envie subite de rafraîichissement me pousse à retirer mon soutien-gorge pour que mes seins profitent aussi de la fraîcheur de l'eau. Je les asperge ainsi que ma nuque et mon cou.
Je remets ma robe pensant rejoindre le parking au sous-sol, quand Sophie, la secrétaire, vient frapper à la porte de mon bureau;
  • Docteur, il reste un Monsieur en salle d'attente!
Et là, je vois sur mon carnet de rendez-vous qu'il y a, en effet, un nom que je n'ai pas rayé. Mince ! Je regarde c’est un M. Quentin! Vite, j’enfile à nouveau ma blouse, sans prendre le temps de me sécher.
Sophie, coutumière du fait, n'est pas plus choquée que cela. Elle me regarde faire. Et elle me demande si elle peut y aller. Je la congédie. Puis je prends le dossier de ce monsieur.
C’est bien pour la visite annuelle. Je regarde les données le concernant, encore un homme!
Je n'aime pas trop avoir les hommes en visite enfin surtout les jeunes qui se pensent supérieurs souvent arrogants ou trop dragueurs.
Tiens, celui-là semble intéressant. Il n’a juste que quatre ans de plus que moi. Il travaille dans l'industrie, un poste physique au moins il ne sera pas barbant. Cela va me changer de tous ces jeunes qui ont tenté de me draguer aujourd'hui. En plus je ne sais pas pourquoi, mais la chaleur, la moiteur, tous ces corps nus qui sont passés devant moi aujourd'hui ont un peu réveillé ma libido. Vivement que je quitte mon travail, pour aller prendre un verre dans mon bar favori. Qui sait, je trouverai peut-être un homme à mon goût pour assouvir mes envies de ce soir.
J'ouvre la porte. Je vois que sa jambe marque des signes d'impatiences. Il m'inspire! C’est bien ce que je pensais, il se dégage de lui une impression sauvage à couper le souffle. De plus en plus intéressant, je m'approche avec un grand sourire et je lui dis :
  • M. Quentin, entrez je vous prie!

(M. QUENTIN)
En quelques secondes, la vision de cette femme, son sourire et sa silhouette des plus agréables viennent effacer ma mauvaise humeur due à ma longue attente.
Pour une fois que  je ne tombe pas sur une grincheuse désagréable mais sur une femme qui doit cacher de très jolies choses sous sa blouse. Elle me dit de m’asseoir à son bureau. Tout en m’asseyant, je la regarde refermer la porte et je prends un malin plaisir à regarder ses jolies jambes et ses escarpins. Lorsqu’elle se retourne, je n’ai d’yeux que pour la belle forme de sa poitrine enrobée par sa blouse. 
Avant que des pensées coquines envahissent mon esprit, je me mets à contempler mes propres pieds. Un petit malaise traverse mes pensées. Je ne veux surtout pas subir la honte de l’homme pris d’une érection lorsque la doctoresse lui demande de se mettre en slip. J'essaye, comme je peux, de chasser toutes ces visions sensuelles de ma tête...


La rencontre

(La doctoresse) 
Je ferme la porte et… « Pas mal du tout cet homme ! » Mes sens endormis par la chaleur se réveillent. Je dégrafe ma blouse de deux trois boutons en haut jusqu’à la naissance de mes seins, le bas de ma blouse est déjà échancré.
Lentement, je retourne m’asseoir. Je pose son dossier sur mon bureau en verre. Je m’assieds et je relève ma blouse sur mes genoux.
Je croise mes pieds l’un sur l’autre. Hum, voir cet homme, les yeux baissés dans une position d’humilité, me donne des élans que j’aime ressentir. De nature assez timide, j’ai envie de le provoquer encore plus par jeux. Je croise les jambes sous le bureau, cela a pour effet de relever encore plus la blouse. Je me penche sur son dossier :
  • M. Quentin, alors quoi de nouveau depuis la dernière fois ?
Je le regarde dans les yeux et passe mon stylo sur mes lèvres, nonchalamment, ma langue joue avec.

(M. QUENTIN)
Je me plonge dans mes pensées pour éviter de réagir en pensant à mes rendez-vous du lendemain afin de chasser mes visions érotiques.
Lorsque sa voix résonne de son : « M. Quentin », je suis ébranlé de tout mon être. Pour la première fois depuis bien longtemps je me sens bête… Je lève les yeux de mes chaussures machinalement et croise son regard. Oh, quel regard, quelle attitude, quelle femme ! Ce stylo avec lequel elle caresse ses lèvres est des plus érotiques.
Un nouveau réflexe, sans doute de protection, me fait baisser à nouveau les yeux. Puis ma fierté me dicte de relever la tête : « Heuu, et bien Madame… Heuu… » Voilà maintenant que je bafouille… Intérieurement, je dois faire un énorme effort pour reprendre mon assurance.
  • Bien Madame, cela va bien, je n’ai pas été malade cette année !
À peine mes mots prononcés, je les trouve stupides. Je retrouve le désagréable souvenir d’un petit garçon mal à l’aise devant sa Maîtresse d’école. Machinalement, je baisse les yeux une fois de plus.
C’est alors qu’un nouveau spectacle fige mon regard, spectacle de ses jambes croisées, dénudées et de ses escarpins. Pourvu qu’elle ne suive pas la direction de mon regard et je me prends à baisser encore plus mes yeux.

 (La doctoresse)
  • Ah tant mieux si vous n’avez pas été malade mais je vois que votre employeur nous a signalé un accident de travail au niveau de la cuisse et de l’aine ? Vous avez été heurté… C’est cela… Par un fenwick. Bon, il faut vérifier cela !
Je vois de plus en plus sa gêne. J’ai vraiment envie de le provoquer de plus en plus :
  • Il a fait chaud aujourd’hui, non !
Je me dirige vers le petit lavabo dans le coin du bureau sur la gauche. Je fais doucement couler l’eau. Je prends une éponge douce que je passe sous le robinet, passe mes poignets également sous le robinet. Je porte l’éponge sur mon front puis en tendant ma tête en arrière, je la passe aussi sur mon cou depuis le menton jusqu’à la base du cou. Une goutte descend dans le creux de mes seins.
  • Hum un peu de fraîcheur ne fait pas de mal, si vous voulez, M. Quentin, vous pouvez en profiter.
  • Non merci !
  • Bon, si vous voulez bien passer de l’autre côté du paravent pour vous déshabiller, s’il vous plaît, que l’on regarde tout cela ensemble !


    Être mal à l'aise

    (M. QUENTIN)
    Décidément cette femme a le chic pour me déstabiliser. L’accident du travail m’est complètement sorti de ma mémoire… Et voilà que je me surprends à nouveau à bafouiller :
  • Heuu, oui en effet, cet accident m’est déjà sorti de la tête !
Au fur et à mesure que le temps passe, je me sens de plus en plus ridicule avec mes réponses d’écolier.
La voir se rafraîchir ainsi ajoute à mon trouble.
Son invitation à en faire de même provoque un nouveau bafouillement de ma part :
  • Heuu, non Madame, merci, cela ira !
Je me sens pétrifié au milieu de cette pièce. Je ressens un mélange de gêne et d’excitation que je n’arrive pas trop à contrôler.
Le coup de grâce survient lorsqu’elle prononce les mots « déshabillez-vous ! ». Instantanément je sens mon sexe se dresser légèrement dans mon slip. Une grande bouffée de chaleur envahit mon visage et j’ai l’impression de devenir rouge pivoine.
Je me dirige comme un automate derrière le paravent. Tout en déboutonnant ma chemise, je me force à concentrer mon esprit sur des choses sérieuses. Plus je me concentre, plus je sens mon sexe se durcir. J’enlève lentement mes chaussures et chaussettes comme pour gagner du temps et retarder un moment des plus embarrassants.
J’entends ses talons sur le parquet et je commence à paniquer sérieusement. Les bouffées de chaleur se succèdent.
J’essaie de calmer au mieux ma respiration mais sans grand succès.
Toujours aussi lentement j’ôte mon pantalon.
Parfois ses pas se rapprochent avec qu’une peur, la voir venir assister à la fin de mon déshabillage.
Une fois en slip, je m’accorde quelques instants de répits, en constatant la petite bosse rebelle.

(La doctoresse)
  • C’est bon ?
  • Oui !
Je passe du côté de la partie consultation. Oui, décidément c’est vraiment un homme très attirant. Je m’approche de la table et je lui dis :
  • Allez hop ! Grimpez là-dessus !
Il s’assied sur le bord de la table d’examen. Je vais d’abord tester vos reflex, ces genoux arrivent à hauteur de ma taille. Je me penche légèrement devant lui pour tester ses reflex du genou avec le marteau. Mais à peine ma main effleure le dessous de sa cuisse pour la lever que déjà sa jambe bouge. Je souris en lui disant :
  • Eh! Ce n’est pas bien ça ! Attendez que j’utilise le marteau au moins ! N’êtes-vous pas en train de tricher par hasard et d’essayer de me dissimuler quelque chose ?
Je continue de le questionner sur l’accident et ses éventuelles séquelles. Je trouve bizarre sa réaction lors de ce premier examen :
  • Vous avez encore mal au dos depuis l’accident ?
  • Euhhh non Madame…
Sa réponse bafouillée me conforte dans le fait qu’il me cache quelque chose.
Je prends alors sa tension. Insidieusement son bras effleure mon sein provocant l’érection de mes tétons sous ma blouse!
  • 16/8 Oulà c’est beaucoup vous avez combien habituellement ? Bon, allongez-vous s’il vous plaî!
 
(M. QUENTIN)
Je me sens de plus en plus perdu. Maintenant elle me traite vraiment comme un petit garçon. Ses mots « tricher », « dissimuler » me font perdre tous mes moyens. Il faut que je me reprenne, mais chacun de ses gestes, chacune de ses attitudes m’empêchaient de me ressaisir. Depuis mon entrée dans ce bureau, je ne me reconnais plus. Je perds de plus en plus mes moyens. Je me sens ridicule…
  • Euhh, ma tension, ma tension, je ne sais pas, je ne sais pas Madame 
Tout en prononçant cette phrase je sens ma tension monter d’un cran. Je ne peux m’empêcher de regarder sa blouse qui moule son corps…
Sentir cette blouse qui frotte ma peau nue… Sentir mon sexe grossir un peu plus.
Je m’allonge sans un mot, avec la vision très gênante de cette bosse de plus en plus visible sur mon slip.


Gênée ou provocante

(La doctoresse) 

Je vois bien que quelque chose le gène mais je suis habituée en 10 ans de métier. Beaucoup d’hommes devant se mettre presque nu devant moi ont la même réaction :
  • Je vais vous faire des tests de mobilité pour voir si vous avez des problèmes au niveau des disques vertébraux.
Je prends sa jambe puis je la lève pour voir jusqu’où elle monte. Je fais pareille à la deuxième. Je laisse ma main sur sa cuisse lorsque je lui parle :
  • Bien, vous n’avez pas de problème de motricité ! Mais compte tenu de votre accident, je dois vérifier que vous n’avez pas de lésions persistantes au niveau de votre abdomen et de votre cuisse. N’ayez pas peur cela ne vous fera pas mal.
Rien qu’à mes mots, je sens que cela lui fait de l’effet.
Je m’approche du côté droit de ma table d’examen. Je plaque mon bassin tout contre, approche mes mains de son corps tout en lui disant :
  • Excusez-moi ! Pour faciliter l’examen, il va falloir que je descende légèrement votre boxer.
Mes mains se posent sur son abdomen. Sa peau douce me donne envie d’insister un peu plus longtemps.
Je lui caresse doucement le ventre avec les doigts en faisant semblant de chercher une quelconque lésion. Je vois que l’effet commence à se voir. Je continue comme si je ne remarquais rien. Puis je redescends vers son aine.
Par inadvertance, ma main effleure son sexe déjà bien tendu. Je retire vivement ma main comme si ce contact était fortuit. Je semble un peu gênée et lui dis :
  • Tout semble parfait de ce côté !
Je me recule :
  • Depuis quand date votre dernière prise de sang. Avez-vous fait les PSA.

(M. QUENTIN)
Chacun de ses mouvements, chacune des manipulations qu’elle me fait subir a le délicieux goût d’une caresse. Sa voix douce et assurée, voire réconfortante, commence à me faire fondre. D’un côté elle semble très professionnelle et d’un autre côté j’ai l’impression qu’elle joue avec moi. Je ne sais quoi penser !
À mesure que son examen avance, je sens mon sexe se durcir et mon slip se tendre. Lorsque sa main se pose sur ma cuisse, une forte pulsion parcourt mon corps. Voir ses doigts abaisser légèrement mon slip, et mon sexe se raidit d’un coup. Je sens mon gland se gonfler.
Ses doigts sur mon bas-ventre provoquent chez moi une forte excitation. Je ne peux retenir un mouvement du bassin. Je perds tout mon contrôle. Mes jambes s’écartent un peu comme pour m’offrir à elle.
Quand sa main effleure mon sexe, je me pince mes lèvres comme pour refréner un possible gémissement. Plus de doute, elle joue avec moi, avec mes sens… Et ce jeu commence à me plaire.
Sa question, le ton sérieux de sa voix me font retomber en un éclair dans le réel ! Non, je fantasme, elle ne fait que son travail… Me retrouver ainsi allongé tout bandant et la honte m’envahit à nouveau. Une grosse bouffée de chaleur enflamme mon visage :
  • Ma prise de sang, heu… Pas depuis l’accident, Madame !
Sa question sur ma prostate, enfonce encore plus le clou :
  • Heuuuuu, heuuuu, non Madame !

(La doctoresse)
Sa réponse négative résonne dans ma tête et m’excite encore plus. Instantanément ma chaleur intérieure monte d’un cran.
Comment rester professionnelle, avec l’envie qui me submerge. Pour reprendre une contenance, je me tourne et je me dirige vers le tiroir pour y prendre des gants.
Je me rapproche de lui et lui dis en souriant pour le détendre et pour cacher mon émotion :
  • Vous savez, ce n’est pas sérieux, vous devriez faire ce contrôle régulièrement. Surtout après 45 ans, il faudrait au moins une fois par an. Là, cela me pose problème, je ne peux pas vous délivrer votre aptitude tant que ce contrôle n’est pas fait. Je suis obligée soit de vous envoyer vers un confrère soit faire ces deux examens moi-même.
    Bon ! Vu l’heure, j’ai du temps devant moi ! Je vais déjà vous faire la prise de sang. Je sors mon matériel. Vous tendez votre bras.
Pendant que je fais sa prise de sang,
...mon sein vient se loger sur sa main. Je ne bouge pas de peur de lui faire mal.
Une fois l’acte réalisé, je lui demande de se préparer pour le deuxième examen. Je lui tends une chemise d’hôpital qui va lui permettre d’être plus à l’aise au lieu d’être entièrement nu.
Je profite de ce moment pour remplir son dossier :
  • Appelez quand vous serez prêt, d’accord ?


Tentation coupable

(M. QUENTIN)

Je me suis vraiment fait des idées. Cette doctoresse prend son rôle très au sérieux. Ce sentiment fait monter de plusieurs crans la gêne qui est en moi. À plusieurs reprises, j’ai senti son regard se poser sur la grosse bosse de mon slip ! Que doit-elle penser de cet homme de 50 ans qui bande devant une femme dès qu’il se met en sous-vêtement ? J’ose penser que cette gêne, cette honte traversant mon esprit, va faire disparaître mon érection, mais il n’en est rien !
Bien au contraire, me faire sermonner par elle comme un petit garçon qui a fait une bêtise m’excite un peu plus. La pression sur mon sexe est d’autant plus forte et sans doute plus visible depuis qu’elle a légèrement baissé mon slip pour m’examiner.
Le comble se produit au moment où elle rapproche l’aiguille de mon bras.
Et, si je chancèle ce n’est pas dû à la piqûre ni à la vue du sang, mais bien dû au contact de sa blouse sur ma main.

La douce chaleur et la forme de son sein qui englobe une partie de la paume de ma main sont si délicieuses, voir aussi ses cuisses par l’échancrure de sa blouse…
…Un afflux de sang monte jusqu’à mon gland. Ces quelques secondes sont interminables et je sens mon gland devenir de plus en plus humide.
J’ai l’impression d’être dans un état second lorsqu’elle me tend la chemise :
  • Oui, merci Madame !
Dès qu’elle s’assied à son bureau, je passe derrière le paravent. Je me sens encore plus ridicule une fois mon slip enlevé en voyant mon sexe si dressé et mon gland si humide. Je l’assèche rapidement avec le tissu de mon slip puis enfile la chemise. Je prends soin de bien refermer les deux boutons. Mais malgré cette chemise, mon érection reste toujours visible. Pour ne rien arranger, cette inhabituelle impression d’être sans culotte sous cette sorte de blouse, plus le frottement du tissu sur mon sexe ne font rien pour calmer sa raideur.
Après quelques secondes d’hésitations, je retourne vers la table d’examen.
  • Voilà Madame, je suis prêt !
En prononçant ces mots, une nouvelle bouffée de chaleur envahit mon visage.

(La doctoresse)
 Hum voir cet homme nu légèrement gêné sûrement par la tournure des événements, par ce que je devine sous la chemise ouverte dans le dos, me fait frissonner.
Heureusement que j’arrive à conserver mon calme, sinon il se rendrait vite compte des envies qu’il provoque en moi.
Je ne pense pas qu’il voit mon état au travers de ma blouse tellement il est ému.
Le voir ainsi, plein d’appréhension, vulnérable si je puis dire, augmente encore plus mon désir.
Normalement je ne fais jamais ce genre d’examen et là, je ne sais pas ce qui me prend de répondre à cette envie soudaine de l’avoir à ma merci, en l’obligeant à accepter cela de ma part.
Je m’approche de la table, les yeux brillants, je prends des gants en latex, je le regarde dans les yeux, je lui explique en quoi va consister l’examen :
  • Ne vous inquiétez pas, je sais que c’est un examen délicat. Je vous promets que je ne serai pas brusque, de plus je vais utiliser du gel pour faciliter le passage mais par contre vous ne serez pas surpris, cela va être un peu froid !
Je le regarde l’œil rêveur tout en mettant le gel sur les doigts de ma main gauche. Je me place à sa gauche. Je lui demande de relever les jambes, je pose ma main sur son ventre et là doucement je mets mon index contre son anus. Il sursaute légèrement. Je retiens ma respiration, ma bouche s’assèche.
Hum quelle sensation merveilleuse, je l’enfonce doucement, tout en souriant et le regardant dans les yeux. Je sens mes seins qui pointent sous la blouse et mon excitation devient de plus en plus intense au point de sentir une humidité naissante couler dans mon string, je mouille !
Je le masse délicatement pour sentir sa prostate. J’attends de voir sa réaction. Je me surprends à vouloir stimuler sa prostate que je sens gorgée par sa production de liquide séminale sous son excitation…



  • Stimulation

    (M. QUENTIN) 

    Plus cette femme s’approche de moi, plus je me sens tout petit, tout faible… Mon érection ne m’a pas quitté depuis les premières minutes de mon entrée dans son bureau. Du coup j’ai l’impression que je ne cesse de lui dire « Vous me plaisez ! », « Vous m’excitez ! ». Quelle faiblesse de ne pouvoir cacher ses sentiments, ses envies ainsi.
    Son regard m’hypnotise. Le ton de sa voix et son sourire me font fondre. J’ai l’impression qu’elle me dit : « Vous allez voir je vais bien m’occuper de vous, cela va bien se passer ! » Sous ses gestes harmonieux, je me plais à devenir sa propriété…
    Lorsqu’elle pose sa main si délicatement sur mon ventre, un énorme frisson parcourt mon corps.
    Mon sexe devient très dur et mon gland double de volume. Cela ne me gêne plus, j’ai envie de lui montrer sans honte mon excitation.
     Elle est si troublante que je fonds sous son charme. Son regard me transperce. Il est si profond que j’ai envie de l’implorer, de la supplier… Puis son doigt qui se pose et pénètre mon intimité couronne sa prise de possession.
    Je ne peux retenir un léger gémissement. Son lent massage est divin. Je sens qu’elle pratique cette stimulation (*) comme pour donner du plaisir et non comme un vulgaire acte médical. Mon sexe se dresse sous la blouse comme jamais… Je ne peux me retenir :
  • Hummm, ohhhh…
Je perds tout contrôle :
  • Ohhhh…

(La doctoresse)

Je suis de plus en plus troublée par ce que je suis en train de faire, de voir ses réactions. Mon envie devient de plus en plus grande et je sens que je vais craquer et perdre pied.
Plus je le touche et plus je vois son sexe se tendre. J’ai de plus en plus envie d’aller plus loin. Je voudrais sentir sa prostate se vider et placer son sexe en ma gorge pour recevoir se liquide si divin…
J’essaye de chasser ce désir… Mais je ne peux pas le faire. Voir cet homme ainsi, j'ai envie de continuer mon massage...Non il faut que je me raisonne, il faut que j’arrête. Je n’ai pas le droit d’aller plus loin...
Pourtant mon corps me dit le contraire, je ne vais pas résister longtemps à son charme, son envie, doucement ma main droite caresse doucement son ventre puis glisse vers ses jambes et effleure son gland. Aussitôt il réagit, il ferme les yeux.
Hummm doucement ma main continue, puis effleure son sexe, mon doigt continue toujours son massage. J’aime procurer cette douceur aux hommes, puis mettre leur sexe en ma bouche, les goûter, goûter ce liquide qui n’est pas le sperme.
Je me dis : « Reste pro ! » mais je continue… J’ai l’impression que cela l’empêche de se rendre compte de ce que je fais avec ma main droite. Ma main mue par une volonté qui lui est propre enserre son sexe. Je fais de lents va-et-vient. 
Mes pensées m’entraînent ailleurs, je fantasme à fond, je l’imagine en train de me tenir la main pendant que je le masturbe et ainsi donner un accord à ce que je suis en train de faire. Humm si seulement j’avais son assentiment…

(M. QUENTIN)
Sous ses gestes si doux, j’ai envie de m’abandonner, de lui avouer mon envie, de la supplier… Je sens sa main glisser de mon ventre, passer sur mon bas-ventre et mon sexe. Le contact du dos de sa main et de mon gland déclenche en moi un puissant frisson. Je me mords les lèvres pour ne pas gémir, mes mains s’agrippent à la table de consultation. J’ai une envie énorme de m’adonner, mon sexe contre la peau de sa main. Je ne vais plus pouvoir me contrôler. Je ne peux retenir un léger râle de plaisir, mes jambes s’écartèrent légèrement comme pour lui dirent « Oui ! »

Mes mains serrent de plus en plus fort le bord de la table. Je sens ses doigts délicatement se poser sur mon sexe. Hummmmm, moment divin ! Mes jambes s’écartent plus franchement… Sa main prend possession de mon sexe qui se raidit comme jamais. Je n’ai jamais ressenti un tel plaisir d’être stimulé. Je savais que cela existait mais me le faire offrir ainsi… Oh ! Sa délicatesse était divine… Quelques secondes et je ne peux plus retenir un premier vrai gémissement :
  • Ohhhhhhhh, ouiiiiiii, ouiiiiii…
Mes yeux ne voient plus que la forme tendue de sa poitrine sous sa blouse.
Ma bouche est irrésistiblement attirée, mes lèvres se posent sur le tissu qui couvre son sein…Cette lente et divine stimulation me fait couler, je ne peux rien retenir… Je suis dans un état second. Je sens que je coule et voudrais jouir… Pourvu qu’elle me masturbe ensuite bien à fond. J’ai envie d’exploser à la suite de cette douce et longue sensation. Le contact de mes lèvres sur ce tissu, sur cette forme tant désirée, me procure une explosion de plaisir, ce téton qui pointe de plus en plus sous sa blouse, une merveilleuse et enivrante invitation. Mes lèvres parcourent son sein, puis s’écartent légèrement pour laisser passer le bout de ma langue. Ma langue titille, mes lèvres pincent… Ces tétons sont énormes…

(*) Chez l'homme la stimulation prostatique lui permet de "couler" ce qui n'est ni un orgasme ni du sperme mais son liquide séminal.
Jouissances

 (La doctoresse)

Ma main continue sa caresse le long de son sexe. Lorsque sa langue vient effleurer le bout de mon sein, une décharge électrique me traverse le corps, je ne vois plus qu’une chose, son sexe gonflé sous ma main.
Je le caresse de plus en plus. Je penche ma tête en avant, je le touche avec mes lèvres. Prise d’un désir irrépressible, je ne peux m’empêcher de le prendre dans ma bouche en entier. Je veux l’entendre frémir en ma bouche. Je le veux en mon pouvoir, je veux qu’il jouisse sous mes doigts. Je ne sais pas si c’est la chaleur ou son magnétisme, mais je me conduis de manière de plus en plus bizarre. Je masturbe goulûment son gland dans ma bouche. Je ne veux qu’une chose le sentir encore plus en ma gorge.
Sa main vient se poser sur mes cheveux. Je redouble mes caresses. Mon doigt à l’intérieur de son corps, son sexe dans ma bouche, je ronronne de plaisir en même temps que je lui fais subir les caprices de mes envies.

(M. QUENTIN)
Je suis de plus en plus fou. Je me sens empli de plaisirs… Son doigt qui me pénètre me fait tressaillir, je coule. Puis enfin, sa bouche qui prend possession de mon sexe. J’ai l’impression d’être son jouet… Je n’ai jamais ressenti de sources de plaisirs aussi intenses et variées.
À chacune de ses caresses,
...à chacun de ses coups de langue, je sens mon sexe devenir de plus en plus brûlant, de plus en plus dur… Je lui appartiens, je suis son jouet… Je ne retiens plus mes gémissements:
  • Ouiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, c’est bon… hummmm merci de me faire vivre cette sensation nouvelle…
Je caresse ses cheveux comme si je caressais un trésor…
Je sens le plaisir monter en moi, c’est divin d’être ainsi pris entre son doigt et sa bouche…
  • Ouiiiiiiiiiiiiiii Madame, c’est bon… Ohhhhhhhhhh
Je me laisse aller, je veux m’abandonner à ce plaisir… Je sens la jouissance qui se rapproche…
(La doctoresse)

Hum ! Ces réactions me font déraisonner. J’ai envie de le goûter, de connaître la saveur de son liquide puis de le faire jouir pour me rassasier de son nectar onctueux.
Ses gémissements et ses mots, ne font qu’accroître mon envie. Plus je sens son sexe gonflé dans ma bouche et plus je masse sa prostate. Je le sens trembler et vibrer. Je sens sa sève qui monte lentement. Je pousse aussi un gémissement :
  • Ouiii c’est bon Olivier jouissez…
J’attends, je suis folle voilà que je l’appelle par son prénom. Je le veux tellement. Je veux qu’il vienne pour me donner son plaisir pour m’abreuver à sa source.

(M. QUENTIN)
Je ne peux plus me retenir. Les mouvements de mon sexe dans sa bouche, combinés à son massage font que je vais exploser. Mon bassin devient incontrôlable. Je me donne. Sous l’effet de son doigt qui me masse de plus en plus fort, sentir les volutes de sa langue sur mon frein, sur mon gland turgescent, je me tortille de plaisir…
Cette magicienne du plaisir me fait monter de plus en plus fort… Son gémissement m’excite au plus haut point… L’entendre lâcher prise m’appelant par mon prénom, je veux être à elle, jouir pour elle…
Brutalement l’excitation devient ingérable… Mon sperme monte… Mon point de non-retour :
  • Ouiiiiiiiiiiii, Ouiiiiiiiiiii, Hummmmmm
J’explose en sa bouche gourmande. Je sens sa langue lover sous mon puits, chaque long jet m’arrache des râles, c’est divin… Que c’est bon de se perdre en elle… De la sentir ne pas en perdre une seule goutte…

(La doctoresse)

Hum trop occupé sans doute il n’a pas vu que depuis un long moment je me caresse ayant glissé mon doigt dans mon minou. Je n’en peux plus de le sentir perdre pied qu’à mon tour mon orgasme envahit mon être. Je jouis presque en même temps que lui tout en ne perdant pas une goutte de sa sublime liqueur chaude et parfumée.
Tout se télescope dans ma tête au fur et à mesure que mon excitation retombe. Je me redresse gênée. Je passe ma langue sur mes lèvres, je n’ose le regarder. Je retourne à mon bureau en lui disant :
  • Bon, je crois que je peux vous délivrer votre certificat d’aptitude !

(M. QUENTIN)
Je reste là sous l’effet du plaisir, abasourdi. Je ressens encore le plaisir de son doigt me pénétrant. Jamais je n’avais connu une telle sensation et une telle jouissance.
Je retourne presque penaud derrière le paravent afin de remettre mes habits.
Puis, le regard gêné, je m’approche de son bureau afin de récupérer mon papier d’aptitude. Elle est penchée comme pour ne pas affronter mon regard. Elle n’a pas eu le temps de replacer sa blouse qui me laisse entrevoir deux jolis mamelons. Quelle belle femme pulpeuse !

(La doctoresse)
J’ose le regarder enfin droit dans les yeux, essayant de dissimuler le plaisir qu’il m’a donné juste en se laissant aller.
Je lui tends son papier et lui dis en souriant :
  • Je vous ai mis apte pour un mois car j’aimerais vous revoir pour un contrôle plus régulier…

(M. QUENTIN)

Je quitte le Centre avec le cœur léger… Je suis un peu surpris, elle pouvait me dire tout simplement qu’elle a envie qu’on se revoit ! Mais non, très curieusement elle est restée dans son cadre professionnel… Finalement, même si un mois c’est long, cette situation et son comportement ont beaucoup de charme.
 FIN (de la première partie)

Commentaires